Enarque ancien banquier d’affaires, ex-ministre de l’Economie de François Hollande, Emmanuel Macron était devenu en 2017 le plus jeune président de la République, à seulement 39 ans. Né
👯 Rever Du President De La Republique
Discoursdu Président de la République devant les évêques de France . Publié le 10 avril 2018 . Monsieur le Ministre d’Etat, Mesdames les ministres, Mesdames, messieurs les parlementaires, Monsieur le Nonce, Mesdames et messieurs les ambassadeurs, Mesdames et messieurs les responsables des cultes, Monseigneur, Mesdames et Messieurs, Je vous
La première organisation politico-militaire tchadienne est le Front de Libération Nationale du Tchad, crée en 1966 sur l’initiative du feu Ibrahim Abatcha. En 1968, suite aux dissensions intervenues au sein du FROLINAT, d’autres groupes armés ont vu le jour. Plus tard, après la guerre civile des années 1979-1980, d’autres mouvements politico-militaires sont apparus, lors des rencontres de réconciliation nationale tenues au Nigeria. Ainsi Ä Lagos, les leaders de ces organisations ont manifesté leur désir de se regrouper au sein d’un Gouvernement d’Union Nationale de Transition/GUNT, placé sous la direction du président Goukouni Weddeye. Mais dans la gestion pratique du pouvoir politique, ces leaders et chefs de tendance politico-militaires n’ont malheureusement pas démontré leur capacité de travailler ensemble pour sauver le pays et épargner les populations tchadiennes des conflits armés. Aujourd’hui, soit plus de vingt-cinq ans après, quelle est la situation des organisations politico-militaires tchadiennes ? En fait, combien sont-elles réellement ? Quelle stratégie adoptent-elles face au pouvoir de NDjaména ? Quelle alternative proposent-elles au peuple tchadien? Leurs leaders ont-ils encore la volonté et la capacité de prendre le pouvoir? Seront-ils en mesure de gouverner un jour le pays, sans tomber dans les travers de leurs intérêts personnels ? Bref, pourrons-t-ils sauver le Tchad ? La prise de pouvoir par les armes est-elle encore possible ou du moins acceptée dans le contexte international actuel ? La Constitution tchadienne issue de la Conférence Nationale Souveraine et adoptée par référendum, interdit toute prise de pouvoir par les armes et suggère la désobéissance pacifique des tchadiens, au cas où cela se produirait. Alors, quelle autre alternative serait-t-elle possible ? Ces Organisations politico-militaires pourront-elles s’engager à participer aux prochaines élections présidentielles et législatives ? Mais avant cela, peuvent-elles adopter ensemble et proposer une plateforme réaliste de négociation politique sérieuse avec le gouvernement tchadien ? Auront-elles le temps nécessaire de le faire ou le voudront-elles ? Le régime actuel de NDjaména accepterait-il de telle initiative ou démarche ? L’intérêt supérieur la nation tchadienne ne mérite-t-il pas que les protagonistes et adversaires tchadiens ne trouvent enfin une issue politique consensuelle ? Cela éviterait ă nos populations d’interminables conflits qui deviennent un réel obstacle du développement économique et social du pays. Certes, il n’est pas question de procéder ici ă une classification rétrospective de ces organisations, moins encore de développer l’historique de leurs activités. Et comme, nous n’avons pas de préférence particulière pour tel Mouvement ou Organisation par rapport ă tel autre, cela nous permet d’aborder cette réflexion sans préjugé, ni jugement de valeur et de présenter notre opinion de manière simple sur cette question assez sensible et délicate. Peut-on savoir, si les organisations politico-militaires tchadiennes existent encore ? Depuis un certain temps, il n’y a pas d’échos majeurs de leurs activités militaires sur le terrain. Auparavant, il y avait quelques tentatives de regroupement et de réunion par-ci et par-lă. En fait, depuis la création du Frolinat aujourd’hui placé sous la direction du président Goukouni Weddeye, jusquâ€™Ä nos jours, il y avait plusieurs mouvements ou groupes politico-militaires. Certains sont anciens et d’autres de création récente. Compte tenu de la confusion même de leur Statut et surtout de leurs activités, il n’est pas facile de les identifier tous. Mais on peut citer quelques-uns uns comme, le CDR d’Acheikh Ibn Oumar, le MDD de Brahim Malllah, le MDJT du feu Youssouf Togoïmi, le CSNPD du feu Ketté Moise, le FDP du Dr. Nahor Mahmoud, les FARF du feu Laokein Bardé, le FNTR de Mahamat Moussa, le FPRN de Alio Abdoulaye, le RAFAT de Adoum Moussa Seif, le MUR de Gaillet Bourkoumandah ou encore la CDDC de Hassaballah Soubiane, énumération relative n’est pas exhaustive. Qu’elles soient divergentes ou semblables, certaines avaient réussi à constituer des alliances pour mener ensemble des actions communes. Ainsi les conclaves de leurs réunions avaient abouti Ä des regroupements tels, le Front Uni pour le Développement et le Progrès/FUDP ou encore l’Union des Forces pour le Changement/UFC. Mais les activités réellement connues de ces regroupements se limitent généralement Ä des publications communes des Communiqués de presse. Ainsi, les leaders de ces organisations, résident à l’extérieur et circulent un peu partout en Afrique, en Europe, aux États-Unis et au Canada. Certains sont mêmes poursuivis en justice, mais ils prennent le chemin de l’exil sous le couvert de l’opposition politique. Quelques rares parmi eux, semblent déterminés et engagés ă apporter un réel changement du système politique tchadien. Alors que les autres, en nombre de plus en plus croissant et souvent de moralité douteuse, se distinguent surtout par leur opportunisme de politique politicienne et sèment parfois, la confusion au sein de l’Opposition politico-militaire. Néanmoins, tous ces Groupes, Mouvements ou Organisations politico-militaires suivent activement l’évolution politique du Tchad et tentent d’influencer le cours de son histoire politique contemporaine. S’agissant de leurs activités opérationnelles, on peut noter - Certains comme le MDJT, semblent avoir des combattants armés sur le terrain et continuent de temps ă autre ă mener des offensives militaires sporadiques contre les forces gouvernementales, dans les régions Nord du pays. Mais depuis le décès de leur chef, feu Youssouf Togoïmi et avec le départ de certains de leurs dirigeants, leurs actions militaires restent limitées. Aussi, la composition tribale de leur organisation, et l’éloignement de leur zone d’opérations par rapport Ä la capitale tchadienne où s’exerce la réalité du pouvoir politique, constituent un de leurs grands handicapes. - D’autres comme le du feu Bâchar transformé en FNTR, faute de combattants sur le terrain ou encore par simple choix volontaire inspiré de la“real politicâ€, ont abandonné la lutte armée et la prise de pouvoir par les armes. Leurs dirigeants ont décidé de continuer la lutte politique de manière pacifique, tout en utilisant des méthodes modernes de communication avec leur site web, Al Wihdah. Le Web Site est certes un outil important, mais faut-il encore présenter des informations objectives pour être crédible devant l’opinion publique nationale et internationale. S’il faut s’en servir seulement comme un moyen de propagande politicienne et de désinformation, cela n’améliorerait pas la situation des peuples du Tchad. - D’autres organisations, regroupant quelques membres de la diaspora tchadienne, se sont transformées en partis politiques en exil. Celles-ci pourraient avoir peut-être quelques sympathisants à l’intérieur du pays, mais n’ont pas d’implantation des cellules locales, ni de réelles activités sur le terrain. En effet, leur activisme n’a pas grand impact sur les populations tchadiennes. - Aussi, il y a d’autres organisations qui sont restées hybrides, c’est-à -dire se considérant parfois comme de groupes ou mouvements politico-militaires et parfois comme des partis politiques, du fait qu’elles n’ont pas assez ou pas du tout des troupes sur le terrain, ni suffisamment des militants de base sur le territoire national. En effet, leur activisme n’a pas d’effet sur la grande masse des populations tchadiennes souvent indifférentes. - Parmi ces dernières, en cas de difficulté d’existence, certaines essaient d’impressionner le régime en place au Tchad, pour avoir une porte de sortie honorable et composer avec le pouvoir de NDjaména. D’autres par contre, malgré la dissidence de certains de leurs membres, persistent et continuent ă résister pour aboutir un jour ă un changement radical ou du moins profond de l’actuel régime politique du Tchad. Certes, il n’est pas interdit de rêver en politique... -Il y a également quelques mouvements ou organisations dont les dirigeants ne trouvent leur salut qu’en résidant de manière permanente à l’étranger pour le besoin de leur cause, souvent inavouée ou exprimée de manière confuse et contradictoire. Ces Âéternels opposants» se considérant eux-mêmes comme Âdes purs et durs», font de l’opposition politico-militaire, un outil de marchandage pour ne pas dire Âmendicité» auprès de certains officiels, ministres, ou chefs d’Etat des pays amis du Tchad. - Enfin, il y’a des mouvements qui n’existent que de nom et dont les dirigeants en quête d’audience politique, tentent d’impressionner l’opinion nationale et internationale par la publication des communiqués et décisions de nomination de leurs représentants, dont ils ne les connaissent que superficiellement et n’ont aucun contrôle. Ils préparent avec tapage des réunions dites de  concertation générale en vue d’adopter une plate-forme commune de l’ensemble de l’opposition tchadienne », mais n’aboutissent ă rien de sérieux et crédible. Pire encore, faute d’argumentations politiques convaincantes ou par incapacité de présenter une analyse profonde et claire de la situation du pays, ils se démarquent souvent par des diatribes stériles, contre le président Idriss Déby. Ces nouveaux politiciens, qualifiés par certains tchadiens  d’arrivistes », en tentant de se hisser au plus vite possible par rapport aux autres opposants tchadiens, s’en prennent parfois maladroitement ă d’autres leaders de l’opposition politique opérant ă l’intérieur du pays de manière pacifique, ou même contre tel autre chef politico-militaire qui semble leur porter ombrage. Face ă de telle situation que pourrait-on encore espérer des mouvements et organisations politico-militaires ? Depuis combien de temps les populations civiles tchadiennes ont fait recours ă la lutte armée ? Pourquoi certains ont-ils opté pour la prise de pouvoir par les armes ? Les victoires militaires n’ont jamais apporté de solution définitive aux conflits du Tchad, moins encore de paix réelle aux populations tchadiennes. Et malgré les multiples interventions des forces étrangères françaises et libyennes aux côtés des forces gouvernementales tchadiennes, cela n’a pas éradiqué la rébellion armée, moins encore rétablir la paix définitive et la sécurité dans le pays. Combien de perte de vies humaines notre pays a-t-il connues? Les leaders et dirigeants politiques actuels, de l’Opposition ou du Pouvoir en place ă Ndjaména, ont-ils évalué les conséquences des affrontements armés dans notre pays ? Les responsables politiques de tous les régimes qui se sont succédés depuis l’accession de notre pays ă l’indépendance, ont-ils tiré les leçons de leur expérience politique passée ? Ont-ils vraiment expliqué ă l’élite politique actuelle, la nécessité de bâtir un Etat viable basé sur le respect des libertés et droits fondamentaux des tchadiens? Pour régler aujourd’hui nos différends politiques qui sont certes surmontables, n’est-il pas enfin temps d’amorcer l’approche de négociation pacifique sérieuse et non de simple ralliement nous conduisant de facto au parti unique, méthode politique anachronique déjă révolue des périodes des anciennes dictatures africaines.  Les premières émeutes populaires des années 1963 ă Fort-Lamy actuelle NDjaména ne découlent-elles pas de l’interdiction du multipartisme par le feu président François/NGarta Tombalbaye et de l’instauration du parti unique, le PPT-RDA? La création de la première organisation politico-militaire, le Frolinat en 1966, n’est-elle pas une réaction contre les exactions des forces gouvernementales sur les populations civiles ? Le retard actuel de notre pays par rapport aux Etats de la sous région dans le continent, serait-il pas en partie dÅ Ä nos interminables conflits politiques et affrontements armés? La lutte armée serait-elle plus efficace que la confrontation pacifique de politique partisanne ? En conformité avec le contexte international de l’époque, et suite au renversement du régime dictatorial du président Hissein Habré, le multipartisme a été solennellement réintroduit au Tchad depuis 1990 par le président Idriss Déby. Aucun tchadien ne s’est opposé ă sa restauration, même les mouvements politico-militaires. Alors, pourquoi ne pas participer ă sa consolidation afin de bâtir des institutions étatiques crédibles dans notre pays ? La volonté politique des leaders et gouvernants au pouvoir semblait parfois faire défaut. En effet, cette volonté politique devrait accompagner les déclarations et décisions publiques. Mais faut-il encore que nos cadres et élites intellectuels chargés de son exécution l’appliquent de manière sérieuse et sans complaisance. Cela devrait se faire dans la gestion quotidienne des affaires publiques et surtout dans l’organisation, le déroulement et le suivi des opérations électorales aux niveaux locales, et nationales. Ainsi de là , résulterons des institutions fiables qui nous éviterait les multiples recours à la lutte armée, mais ne génerait pas les contestations politiques intempestives qui sont parfois nécessaires à l’évolution de la dialectique démocratique. Le drame du peuple tchadien est que la plus part des dirigeants politico-militaires, certains de nos leaders politiques et beaucoup même de nos cadres et intellectuels, n’ont d’autres objectifs que de préserver leurs intérêts personnels. La défense de leur région vient souvent avant les préoccupations nationales et d’intérêt général. La situation des organisations politico-militaires est complexe, mais elle ne doit pas faire obstruction à l’évolution du développement économique et social du pays. Les mouvements politico-militaires doivent comprendre l’évidence que la prise de pouvoir par les armes est aujourd’hui révolue. S’ils transforment leurs organisations en partis politiques de l’Opposition, cela serait salutaire pour les Tchadiens. Mais faut-il encore être en mesure de dégager de réelle stratégie de lutte pour la prise de pouvoir de manière légale et pacifique. Certains vont évoquer sûrement les problèmes de fraudes électorales, mais le vrai enjeu dans toute élection, peut se résumer en deux points importants -D’abord, la crédibilité des candidats eux-mêmes, c’est ce qui fait réellement défaut chez nos politico-militaires, car ils se sont presque tous discrédités devant l’opinion publique nationale et n’arrivent plus Ä convaincre les populations tchadiennes du bien fondé de leurs actions militaires ou politiques. - Avoir la capacité de mettre en place des structures politiques Ä dimension nationale, qui peuvent couvrir et suivre l’organisation et le déroulement des opérations électorales sur l’ensemble du pays. Là -aussi, vu les stratégies et calculs régionalistes ou tribaux de nos leaders politico-militaires, leurs succès au niveau national semblerait hypothétiques, pour ne pas dire, serait aussi un fiasco comme dans leurs activités militaires. La lutte politico-militaire est certes difficile et longue dans un pays comme le Tchad. Mais, la confrontation de politique partisane n’est pas aussi simple, ni donné Ä tout le monde, moins encore aux aventuristes. Après une profonde observation des acteurs et leaders politico-militaires, des enjeux qui les motivent et surtout des stratégies mises en place, il serait utile de rappeler à ces frères, qu’il est temps de cesser de perdre le temps et d’entamer courageusement une nouvelle phase réaliste de la vie politique tchadienne. Cela épargnerait á notre pays surtout la perte d’autres vies humaines. Mais aussi, c’est par un réel changement de méthode de gouvernance que le pourvoir de N’Djaména pourrait convaincre nos frères politico-militaires à participer au dialogue ouvert et Ä la reconstruction du pays afin d’assurer l’épanouissement des populations tchadiennes. Ainsi, nous espérons que cette réflexion sur les politico-militaires pourrait nous amener tous à réfléchir d’avantage et d’œuvrer ensemble pour bâtir enfin un Etat uni et crédible où toutes les sensibilités politiques pourrons s’exprimer dans le respect des droits et libertés fondamentales, en vue d’une alternance démocratique pacifique. Dr. Hassane Mayo-AbakakaDailleurs, l'ex de Sonia Rolland aurait, à en croire Closer, été approché par l'entourage du président de la République française, Emmanuel Macron.. Le principal intéressé "ferait partie
Thèmesdu programme d'EMC en rapport avec le projet "Si j'étais Président de la République des enfants". 1- Liberté, conflits et sens de la Loi. - Liberté, Responsabilité, Engagement, agir individuellement et collectivement. - Égalité. La loi, droits et devoirs, Droit et règle, vivre avec les autres, sens de la loi et de la sanction.
Monsieur le Président de la République du Rwanda, cher frère, Madame la Première Dame du Rwanda, Madame la Première Dame de Côte d’Ivoire, Monsieur le Vice-Président de la République de Côte d’Ivoire, Monsieur le Président de l’ Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire, Monsieur le Président du Sénat, Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Madame et Messieurs les Présidents des Institutions de la République, Mesdames et Messieurs les membres des Gouvernements de la République du Rwanda et de la République de Côte d’Ivoire, Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Chefs de Mission diplomatique, Majesté, Honorables Chefs traditionnels et Guides religieux, Honorables invités, Mesdames et Messieurs les Représentants de la Presse et des Médias, Mesdames et Messieurs, Je voudrais, au nom du Gouvernement, de la Première Dame Dominique OUATTARA, et du peuple ivoirien, ainsi qu’en mon nom propre, souhaiter, à Son Excellence Monsieur Paul KAGAME, Président de la République du Rwanda, à Madame Jeannette KAGAME, Première Dame du Rwanda, et à l’importante délégation qui les accompagne, la chaleureuse et fraternelle bienvenue. Akwaba en Côte d’Ivoire ! Monsieur le Président, En acceptant notre invitation à effectuer cette visite officielle en Côte d’Ivoire, la toute première d’un Président rwandais, vous manifestez ainsi votre volonté d’oeuvrer au raffermissement des relations entre nos deux pays. Je voudrais donc vous dire notre grande joie de vous recevoir et l’ambition que je nourris de voir la coopération entre nos deux pays se développer et se diversifier davantage. Nous sommes heureux d’accueillir le Président de la République d’un pays ami et frère, mais aussi un grand patriote et un homme de conviction et de devoir, qui oeuvre inlassablement pour une Afrique digne et responsable. Monsieur le Président, Grâce à la résilience de son peuple, à votre vision et au grand destin que vous construisez chaque jour pour vos compatriotes, le Rwanda s’est relevé d’une histoire difficile. Le parcours de votre pays, pour bâtir son unité et devenir une référence en matière économique et de bonne gouvernance, inspire fortement la Côte d’Ivoire, qui est sortie d’une grave crise socio-politique en 2011. Grâce à la volonté et à la détermination du peuple ivoirien, mon pays a réussi à préserver son modèle de société et de vivre ensemble et à renouer avec le développement inclusif. Monsieur le Président, Aujourd’hui, le Rwanda peut être considéré comme l’un des porte-flambeaux de l’Afrique de par sa stabilité, et son économie qui fait partie des plus dynamiques du continent et du monde. Votre plan de développement Vision 2020 » et la stratégie Made in Rwanda » sont des modèles efficaces, porteurs d’une économie ouverte aux secteurs de pointe et qui libère l’innovation et le génie de votre peuple, en particulier de votre jeunesse. Je voudrais vous féliciter pour votre leadership dans la transformation digitale de l’Afrique, avec Smart Africa ainsi que pour votre politique du genre, qui est en tout point exceptionnelle. En effet, les femmes représentent près de 67% des députés et sont à la tête de plusieurs structures publiques de premier plan. Nous adhérons pleinement à cette politique et nous oeuvrons à ce que, chaque jour, la femme ivoirienne prenne davantage de place dans le développement et le bon fonctionnement de nos Institutions, ainsi que dans la marche de notre pays. Monsieur le Président, La Côte d’Ivoire, en vue de réaliser son ambition de devenir un pays émergent à l’horizon 2020, a mis en oeuvre d’importants chantiers de réformes structurelles et sectorielles, avec, en ligne de mire, la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit, des Institutions fortes, l’assainissement du climat des affaires pour une meilleure attractivité. La mise en oeuvre de notre Plan National de Développement PND 2012 -2015 et 2016 - 2020, a permis à la Côte d’Ivoire de réaliser des bonds qualitatifs impressionnants dans tous les secteurs économiques et sociaux. Il n’est donc pas surprenant que le Rwanda et la Côte d’Ivoire soient, depuis plusieurs années, parmi les pays les plus réformateurs au monde et affichent une croissance économique soutenue et solide. Au regard de ces performances, nos deux pays peuvent, à juste titre, être considérés comme les symboles d’une Afrique qui gagne ; une Afrique qui donne à espérer et à rêver. Je voudrais donc saisir l’opportunité de votre séjour, pour me réjouir de la qualité des relations entre le Rwanda et la Côte d’Ivoire. Ces relations s’expriment, notamment, par des voies multiformes dont l’établissement des relations diplomatiques, les visites réciproques de hauts responsables ainsi que la coopération agissante au sein des organismes régionaux et internationaux. J’ajoute à cela le pont qui existe désormais entre nos pays et nos peuples avec la desserte, depuis l’année dernière, de la ligne Abidjan - Kigali par la Compagnie aérienne rwandaise. Monsieur le Président, Si nous pouvons légitimement nous réjouir de ces points positifs, il convient de relever que sur le plan économique et commercial, les échanges entre nos deux pays ne reflètent pas l’excellence de nos relations. En effet, les statistiques en notre possession indiquent que les échanges commerciaux sont quasi-inexistants. Nous avons le potentiel pour changer cette situation et booster les échanges économiques et humains entre nos pays. C’est pourquoi, je me réjouis de votre présence ici, qui constitue une agréable occasion pour examiner les voies d’insuffler un nouveau dynamisme à nos relations économiques et commerciales, mais aussi d’explorer divers autres domaines de coopération. Monsieur le Président, cher frère, Notre continent est à un tournant décisif de son histoire. L’Afrique a décidé de prendre son destin en main et de mener des initiatives allant dans le sens d’un développement harmonieux et endogène. C’est donc sans surprise que vos Pairs africains vous ont désigné, en janvier dernier, pour conduire les destinées de notre organisation commune, l’Union Africaine, afin de mener, en toute efficacité, les réformes cruciales à la consolidation du processus d’intégration du continent. Avec la signature, le 21 mars 2018 à Kigali, de l’Accord sur la Zone de Libre-Echange Continentale ZLEC, lors du Sommet extraordinaire de notre Institution commune, c’est une étape décisive dans la mise en oeuvre de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine que nous avons franchie. La réforme de notre Institution, dont vous êtes le Champion, a connu un succès sans précédent lors de notre Sommet extraordinaire des 17 - 18 novembre 2018, en Ethiopie, avec l’adoption de mesures qui consolideront l’indépendance et l’efficacité de l’Union Africaine. Nous devons poursuivre ce travail afin que chaque pays prenne sa part de responsabilité dans la bonne marche de l’Union et que les conflits cessent sur notre continent. Notre réussite sera totale lorsque la réforme de la Gouvernance mondiale sera effective. Je voudrais pour cela insister sur la nécessité de réformer profondément le Conseil de sécurité des Nations Unies afin que l’Afrique y soit représentée en qualité de membre permanent, et que cet organe important soit représentatif de la diversité de notre monde. Dans le cadre de la présidence ivoirienne du Conseil de sécurité, vous pouvez compter sur notre détermination à défendre les intérêts de l’Afrique et une vision solidaire des rapports internationaux. Pour terminer, je voudrais à nouveau vous remercier pour votre visite en Côte d’Ivoire ainsi que pour votre détermination à renforcer le partenariat entre la Côte d’Ivoire et le Rwanda. Honorables invités, Mesdames et Messieurs, Confiant en l’avenir radieux des relations ivoiro-rwandaises, je voudrais vous inviter à vous lever et à lever vos verres, à la santé et au bonheur du Président Paul KAGAME, ainsi qu’à la prospérité du peuple rwandais, afin que nous ouvrions une nouvelle page dans l’histoire des relations d’amitié et de fraternité entre le Rwanda et la Côte d’Ivoire. Vive la République du Rwanda ! Vive la République de Côte d’Ivoire ! Vive la coopération ivoiro-rwandaise! Je vous remercie.
Sa Majesté , le Roi aperçu sur son jet-sky dans une mer bleue , tout bronzé , le torse musclé à eu tout le temps de réfléchir dans son Fort de Brégançon ,au calme, loin de tout , à son discours de il nous annoncer que l'on sache déjà? la crise énergétique, l'inflation, le retour de la covid., çà ne pouvait être qu'une mauvaise je suis lors de son intervention à la tv il a refait sa tête des mauvais jours."La même tête quand, il a annoncé "nous sommes en guerre contre la covid et lors de son intervention du 14 juillet, visage fermé, sinistre , parlant un homme de théatre , après tout!. Un air qui fait peur et qui annonce de futurs la phrase tant attendue fut prononcée;" Ceux et celles qui ont vécu des années d'abondance".Signification abondance" aisance procurée par des ressources importantes".Abondance pour qui,?certainement pas pour moi,ni pour cette petite dame âgée , rencontré ce matin au rayon "anti -gaspi qui tourne et retourne un morceau de fromage pour finalement le replacer dans le rayon, et m'annonçant 2e40 trop cher pour moi, et repart le cabas pas, ces 2 travailleurs réparant la chaussée sous un soleil de pas, cette longue file d'hommes âgés et de sdf attendant que l'équipe du Secours Populaire dispose ses étals pour la distribution d'1 pas, pour ces femmes qui attendent la fin du marché pour ramasser les invendusCertainement pas aux plus démunis invitées par l' église évangélique à grand renfort de musique et de chants et remerciant le Seigneur, à un immense barbecue , pendant 3 soleil a dû taper trop fort sur le crâne de sa majesté, lui provoquant des hallucinations où il s'est vu entouré de son peuple riche ,bien portant, sa seigneurie, revenait sur terre, vous avez 9 millions de pauvres , des travailleurs, des étudiants , des agriculteurs , etc etc .Donc, le mot "abondance," ne me concerne pas ne les concerne nous demandez donc de nous resserrer la ceinture , la mienne est déjà très resserrée et je ne peux faire plus et j'ose à peine imaginer ce qu'endurent les attendent certainement avec impatience la prime de 100e/50 par enfant versée en en profitent pleinement , car si j'ai bien compris, la source est tarie et la suite ce sera ""système débrouille.""Mais , n'oubliez pas ""Mon bon roi"" que Noel arrivera très vite que vos petits sujets ont besoin de cadeaux , on doit voir leurs visages s 'illuminés .Ils ont besoin de rêver, ils ne sont pas responsables des problèmes que rencontre votre vous prévu? En cas de besoins financiers , vos amis du cac 40 pourraient -ils faire un geste ?, gracieusement,, d'abord ce sera une bonne action et ils auront la conscience tranquille et cela ne devrait pas trop entamer leur"" IMMENSE FORTUNE.""Pour ma part, je peux vous suggérer cette idée. "" La prime de Noel"" versée aux bénéficiaires des minimas sociaux rsa , ass, etc pourrait être élargie à un plus grand public à toutes les familles, celles qui travaillent et perçoivent des petits salaires .Vous verrez mon bon roi, vos sujets seront"" HEUREUX"" en ce beaux oublieront brièvement leurs problèmes.
Enarque ancien banquier d’affaires, ex-ministre de l’Economie de François Hollande, Emmanuel Macron était devenu en 2017 le plus jeune président de la République, à seulement 39 ans. Né