🏅 D Ou Viennent Les Naissains D Huitres

Ladouzaine d’huĂźtres fraiches est vendue 1500 francs (CFA). C’est beaucoup mieux que les 150 francs des huĂźtres sĂ©chĂ©es, proportionnellement parlant. Mais c’est tellement moins que les 4000 francs la douzaine des huĂźtres venues de France. Pour un toubab, 4000 francs ce n’est rien. C’est moins qu’en France. C’est 6€. A l’apĂ©ro comme au dĂ©jeuner, on adore la dĂ©guster Ă  n’importe quel moment de la journĂ©e. Mais savez-vous comment la reine du littoral est arrivĂ©e Ă  la carte de votre restaurant ? De la mer Ă  l’assiette on vous explique Ă©tape par Ă©tape le parcours d’une huĂźtre Ă  ChĂątelaillon. Suivez le guide ! Captage2©Captage2 Captage©Captage Les petits mollusques sont ensuite ramenĂ©s Ă  l’établissement oĂč ils sont dĂ©crochĂ©s Ă  l’aide d’une machine, avant d’ĂȘtre triĂ©s, puis mis en poches. Ces derniĂšres sont enfin disposĂ©es sur des tables en mer afin que les huĂźtres poursuivent tranquillement leur croissance. De l’eau, du soleil la dolce vita ! *Pssst, vous pouvez apercevoir des tables et leurs poches sur la plage des Boucholeurs Ă  marĂ©e basse. Ça vaut le coup d’Ɠil ! Parc Huitres2©Parc Huitres2 Poches©Poches 1 – Virer les poches Alors non, on ne les jette pas on vous conseille de courir vite sinon mais on les retourne rĂ©guliĂšrement pour favoriser le dĂ©veloppement des mollusques et limiter l’apparition des algues. 2 – Changer les poches Au bout d’un moment, on est forcĂ©ment Ă  l’étroit ! Les huĂźtres sont alors rapatriĂ©es Ă  l’établissement, transfĂ©rĂ©es en quantitĂ© plus faible dans des poches plus grande puis remises sur les tables. BichonnĂ©es et chouchoutĂ©es, les huĂźtres de ChĂątelaillon n’ont vraiment pas Ă  se plaindre. DĂ©couvrez de plus prĂšs ces deux techniques et bien d’autres en rĂ©servant votre visite des parcs Ă  huĂźtres ! Affinage Huitre Laurinda Hu©Affinage Huitre Laurinda Hu Ostreicultrice Laurinda Hud©Ostreicultrice Laurinda HudLaurinda Hudgens *Le saviez-vous ? Les tailles d’huĂźtres, ou calibres, sont Ă©galement rĂ©glementĂ©es par un accord professionnel. Elles vont de 0 Ă  5 pour les huĂźtres creuses et de 000 Ă  6 pour les huĂźtres plates. Plus le numĂ©ro est petit, plus le calibre est Ă©levĂ© ! Pour plus d’explications sur les huĂźtres de ChĂątelaillon, optez pour la visite d’une cabane ostrĂ©icole aux cĂŽtĂ©s de Laurence. Elle vous enseignera avec passion les rudiments de son mĂ©tier. Chaude ou froide, avec un zeste de citron ou juste pour son goĂ»t iodĂ©, il est temps de savourer l’huĂźtre de ChĂątelaillon ! Bon appĂ©tit ! Degustation Huitre Chatelaillon©Degustation Huitre Chatelaillon
AprĂšshuit mois, Denis et NathanaĂ«l viennent rĂ©colter les naissains, ils les ramĂšnent Ă  la cabane pour le dĂ©troquage : on dĂ©colle les huĂźtres des coupelles et les coquillages les uns des autres. Les huĂźtres sont alors grosses comme un ongle. Elles sont ensuite mises en poches et dĂ©posĂ©es dans l’un des parcs Ă  huĂźtres de la famille en mer, dans le Bassin de Marennes

Josiah H. Pit and Paul C. Southgate School of Marine Biology and Aquaculture, James Cook University, Townsville, Queensland 4811, Australie. La croissance des mollusques bivalves d'Ă©levage est trĂšs variable, tant en Ă©closerie qu'en nourricerie. Ces variations peuvent ĂȘtre observĂ©es chez des individus de mĂȘme Ăąge Ă©levĂ©s dans des conditions identiques. Dans le laboratoire de l'École de biologie marine et d'aquaculture de l'UniversitĂ© James Cook, les naissains d'huĂźtres perliĂšres sont gĂ©nĂ©ralement rĂ©partis en classes de taille dĂšs l'Ăąge de 3 mois et demi. Les individus Ă  croissance rapide hauteur de la coquille supĂ©rieure Ă  10 mm sont alors sĂ©parĂ©s de ceux qui se dĂ©veloppent normalement hauteur de la coquille comprise entre 5 et 10 mm et des avortons hauteur de la coquille infĂ©rieure Ă  5 mm. Ces derniers sont d'ailleurs frĂ©quemment Ă©liminĂ©s car on considĂšre qu'ils se dĂ©velopperont lentement pendant toute leur vie. L'Ă©tude prĂ©sente les rĂ©sultats de deux expĂ©riences visant Ă  Ă©valuer, dans chacune de ces trois classes de taille, les taux de croissance des naissains d'huĂźtre perliĂšre Ă  lĂšvres noires Pinctada margaritifera et d'huĂźtre akoya P. fucata Ă©levĂ©s en Australie du Nord. Des naissains de mĂȘme Ăąge prĂ©levĂ©s dans chacune de ces trois classes de taille ont Ă©tĂ© collĂ©s sĂ©parĂ©ment dans des sacs Ă  mailles en plastique identiques 55 x 30 x 10 cm qu'on a ensuite suspendus pendant six mois Ă  une palangre de surface Ă  six mĂštres de fond. À l'issue de la premiĂšre expĂ©rience, on a relevĂ© des Ă©carts importants entre les diffĂ©rentes classes de taille du point de vue de la hauteur dorso-ventrale HDV moyenne de la coquille des naissains de P. margaritifera F2,87 = 167,67, P10 mm respectivement. Chez les naissains des classes 5-10 mm et >10 mm, la croissance Ă©tait beaucoup plus importante que chez les individus de petite taille F2,87 = 15,99, P10 mm respectivement. L'augmentation de la HDV Ă©tait de 30,0 ± 0,5 mm, 32,1 ± 0,4 mm et 30,3 ± 0,4 mm chez les naissains des classes 10 mm respectivement. Les taux de croissance enregistrĂ©s durant l'expĂ©rience Ă©taient beaucoup plus Ă©levĂ©s chez les individus de la classe 5-10 mm F2,267 = 7,05, P = 0,001. Par contre, ceux relevĂ©s dans les classes 10 mm n'ont pas augmentĂ© de maniĂšre significative P = 0,903. Si les rĂ©sultats de ces deux expĂ©riences indiquent que les petits naissains ne rattrapent pas les individus de plus grande taille d'une mĂȘme cohorte dans les quatre mois qui suivent le calibrage, ils montrent aussi que des naissains classĂ©s dans la catĂ©gorie des avortons peuvent grossir dans les mĂȘmes proportions que les huĂźtres plus grosses s'ils sont Ă©levĂ©s dans des conditions adaptĂ©es. En consĂ©quence, il serait prĂ©maturĂ© d'Ă©liminer les avortons dĂšs la premiĂšre Ă©tape de calibrage.

Laperle des huĂźtres vient de Tamaris. Dans l’écrin unique de la baie du Lazaret, Ă  La Seyne-sur-Mer, Jean-Christophe Giol est le seul Ă  produire des huĂźtres creuses de A Ă  Z, pour une
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Ellesvont alors rencontrer les collecteurs posĂ©s au prĂ©alable par l’équipe Raymond et Fils et s’y coller. Quelques mois plus tard, nous allons rĂ©cupĂ©rer ces collecteurs et dĂ©coller minutieusement (Ă  l’aide d’une machine) les toutes petites huitres que l’on appelle le naissain. Le naissain est ensuite placĂ© dans des poches et
ï»żCe qu’il y a sous la coquillePour choisir des huĂźtres Ă  votre goĂ»t, outre la variĂ©tĂ© et la fraĂźcheur, d’autres ­informations sont Ă  votre disposition. Leur aspect nous renseigne À dĂ©faut de voir Ă  travers les coquilles, l’observation de la bourriche et la lecture de l’étiquette apportent quelques renseignements. D’abord, la forme, plate ou creuse. Les huĂźtres creuses, plus charnues, dĂ©tiennent le quasi-monopole de la consommation. Les plates ou belons, plus petites et dĂ©licates, sont plus rares 1 % des volumes et plus chĂšres. Ensuite, la taille. Le calibre indique le poids de l’huĂźtre par un numĂ©ro, de 0 Ă  5 pour les creuses, et de 000 Ă  5 pour les plates. Plus le chiffre est faible, plus l’huĂźtre est grosse, la n° 3 Ă©tant la plus consommĂ©e. Pour les creuses, les dĂ©nominations spé­ciales » et fines » indiquent le taux de chair. Les spĂ©ciales, beaucoup plus charnues, ont une couleur blanche du fait de rĂ©serves en sucres procurant un goĂ»t particulier
 plus sucrĂ©. Plus onĂ©reuses, elles sont plutĂŽt prisĂ©es par un public de connaisseurs. Les fines sont claires, avec une coloration gris perlĂ©, voire translucides, et ont une note marine et iodĂ©e. Elles se consomment crues. Le goĂ»t d’une huĂźtre dĂ©pendra de la variĂ©tĂ©, mais aussi du milieu dans lequel elle passe ses derniĂšres semaines salinitĂ© de l’eau, nature des planctons
 Ainsi, celles affinĂ©es en pleine mer ont un goĂ»t iodĂ© plus prononcĂ© que celles affinĂ©es en bassins, appelĂ©s claires ». Enfin, la fraĂźcheur. Une huĂźtre doit ĂȘtre lourde, signe qu’elle est restĂ©e fermĂ©e et qu’elle contient de l’eau, donc qu’elle est vivante. La coquille est de prĂ©fĂ©rence brillante. Quelques indices doivent vous alerter si la coquille est entrouverte, et qu’elle ne se referme pas si vous la tapotez, jetez-la. Si le panier est dĂ©trempĂ©, sale, n’achetez pas. AprĂšs l’achat, les huĂźtres peuvent se conserver Ă  une tempĂ©rature comprise entre 5 et 10 °C pendant une bonne dizaine de jours Ă  compter de la date de conditionnement, voire quelques jours de plus au frigo, mais il faut Ă©viter les variations de tempĂ©rature. Au cours de leur existence, les huĂźtres peuvent parcourir des centaines de kilomĂštres. Les larves naissain peuvent ĂȘtre rĂ©coltĂ©es en mer ou provenir d’écloseries. Lors de la phase d’élevage, elles peuvent voyager d’une rĂ©gion Ă  l’autre, voire sĂ©journer en Irlande oĂč les eaux plus froides et moins polluĂ©es amĂ©liorent leur robustesse. Puis vient la phase d’affinage, en claires ou en pleine mer. Des signes d’origine et de qualitĂ© un peu lĂ©gers Une seule IGP existe, la Marennes-OlĂ©ron, dont le cahier des charges se contente d’exiger un affinage final en claires pendant 28 jours ou 14 jours, d’avril Ă  octobre. Les produits Label rouge Fines de claires vertes » et Pousses en claires » sont plus exigeants. On trouve Ă©galement des mentions d’origine, telles que HuĂźtres de Normandie », HuĂźtres de Bretagne », Arcachon Cap Ferret », etc., qui sont des marques collectives dĂ©posĂ©es par les interprofessions. La certification bio existe, son point crucial est la qualitĂ© bactĂ©riologique des eaux. Son cahier des charges interdit la triploĂŻdie 1 mais pas le naissain produit en Ă©closerie cette derniĂšre devant ĂȘtre certifiĂ©e bio. Plusieurs indications sont obligatoires la date de conditionnement ne pas acheter au-delĂ  de 7-8 jours aprĂšs, le numĂ©ro sanitaire de l’établissement qui a conditionnĂ© les huĂźtres, la quantitĂ© dans la bourriche, le calibre, ainsi que la mention fine » ou spĂ©ciale ». On peut y lire des mentions supplĂ©mentaires comme fine de claire », belon »  Les Ă©tiquettes ne disent pas tout ! En revanche, difficile de savoir si les huĂźtres sont diploĂŻdes ou triploĂŻdes 1, exceptĂ© celles commercialisĂ©es en Ă©tĂ©, qui le sont forcĂ©ment, et les spĂ©ciales qui le sont en grande majoritĂ©. Si aucune Ă©tiquette ne le prĂ©cise, il n’est pas indiquĂ© d’oĂč viennent les naissains – ce sera nĂ©anmoins le cas d’ici Ă  quatre ans, puisque la loi Alimentation du 2 octobre 2018 dispose qu’ Ă  partir de janvier 2023, pour les huĂźtres mises sur le marchĂ© sur le territoire français, doit ĂȘtre indiquĂ©e la mention de la provenance du naissain selon qu’il provient d’écloseries ou d’huĂźtres nĂ©es en mer ». 1 Les huĂźtres triploĂŻdes ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es au dĂ©but des annĂ©es 2000. StĂ©riles, donc sans phase laiteuse en Ă©tĂ© causĂ©e par la semence, elles permettent de s’affranchir de la fameuse rĂšgle des mois en R » et d’ĂȘtre dĂ©gustĂ©es toute l’annĂ©e. Autre avantage, elles grossissent plus vite et prĂ©sentent un taux de chair plus important que les diploĂŻdes. EntrepriseostrĂ©icole recherche une personne disponible pour rejoindre notre Ă©quipe d'expĂ©dition. Sous la responsabilitĂ© du Chef d'Ă©quipe expĂ©dition, votre mission serait de : - ExpĂ©dier les huĂźtres - Conditionner et emballer des huĂźtres - Éditer les bons de livraison - Éditer les Ă©tiquettes sanitaires Profil recherchĂ© : - Permis de conduire voiture obligatoire - ExpĂ©rience
Midi Libre va suivre pendant une annĂ©e les Ă©tapes de production des huĂźtres Ă  Marseillan au mas familial de Christian Vila. Chez Coqui Thau, Ă  Marseillan, les huĂźtres sont collĂ©es et les cordes ont Ă©tĂ© mises Ă  l’eau. La seconde Ă©tape de la production est terminĂ©e. La premiĂšre consistait Ă  faire grandir les naissains qui viennent d’une Ă©closerie. Ils avaient Ă©tĂ© mis dans une nurserie pendant quelques mois pour grandir un peu pour passer de quelques millimĂštres Ă  2 ou 3 cm, NDLR. Ils ont Ă©tĂ© ensuite sortis de l’eau, nettoyĂ©s, calibrĂ©s et collĂ©s manuellement sur une corde. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Ce collage est un dur labeur, jalonnĂ© de patience, de minutie. Mais c’est aussi un tour de force pour ensuite aller sur l’étang suspendre, Ă  leur table, les "bĂ©bĂ©s" huĂźtres qui ne demandent qu’à pousser dans les eaux de Thau. Le travail n’est pas difficile en soi, il est simplement long et minutieux. Les “bĂ©bĂ©s” huĂźtres sont disposĂ©s par quatre sur une corde qui sera ensuite plongĂ©e dans l’eau. Ils ne sont pas trop de trois pour rĂ©aliser le collage. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Christian Vila, producteur d’huĂźtres depuis 1985 est en train de passer la main Ă  ses enfants Éric et Laure, mais il est toujours lĂ  pour superviser la production, donner des conseils et aussi, c’est le plus important, ne pas quitter brutalement un mĂ©tier qu’il a embrassĂ© pendant des annĂ©es avec passion. Avec des mains expertes, les petites huĂźtres sont collĂ©es par quatre sur une corde. La petite taille de l’animal rend le travail fastidieux et long. Mais tout cela pour un rĂ©sultat optimum. Une autre technique est utilisĂ©e sur le bassin de Thau, celle du torron qui consiste Ă  attacher les huĂźtres entre deux cordes. Les bĂȘtes forment alors naturellement des paquets ou des pignes. Elles sont rĂ©coltĂ©es comme avec le systĂšme du collage. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Un travail long et minutieux "L’Ɠil de l’expert", rigole-t-on de Christian autour de la table de collage oĂč l’on s’affaire pour que des milliers de petites huĂźtres puissent regagner les eaux salĂ©es et nourriciĂšres de l’étang de Thau. Devant des tĂŽles ondulĂ©es, les petites mains expertes disposent deux huĂźtres d’à peine trois cm de long sur le plan de travail. On vient ensuite poser la colle sur ces deux-lĂ  un ciment qui rĂ©siste Ă  l’eau puis on met une corde de bonne longueur et deux autres huĂźtres. L’assemblage est terminĂ© et se fait ainsi presque Ă  la chaĂźne des heures durant. Il ne reste plus qu’à attendre un brin de temps pour que la colle fasse son Ɠuvre. Pour la mise Ă  l’eau, il convient d’ĂȘtre dĂ©licat pour ne pas abĂźmer les cordes que l’on va plonger dans l’étang. Comme la “grappe“ est lourde il convient de faire ça Ă  deux personnes. C’est bien plus pratique et rapide. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER On pourra, plus tard, sur les Ă©tals, reconnaĂźtre les huĂźtres du bassin de Thau qui ont Ă©tĂ© collĂ©es grĂące Ă  la toute petite tache blanche, laissĂ©e par le ciment, que l’on trouve sur la pointe de la bĂȘte. Dans le mas, en quelques heures, plusieurs plateaux sont dĂ©jĂ  prĂȘts Ă  ĂȘtre embarquĂ©s. Il faut alors prendre la barge pour aller suspendre les cordes dans l’eau, sur les tables de production. C’est une des spĂ©cificitĂ©s du bassin de Thau oĂč les huĂźtres sont toutes suspendues dans l’eau pour qu’elles puissent s’épanouir et donner de beaux fruits aux paysans de l’étang. Une fois le collage terminĂ© et la colle durcie, les huĂźtres sont suspendues sur les tables pour baigner dans l’eau et se nourrir. Elles resteront lĂ  une bonne annĂ©e dĂšs fois plus pour pousser et se nourrir du plancton de l’étang. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Pour gagner leur parcelle, une petite traversĂ©e du bassin s’impose aux ostrĂ©iculteurs. Suspendre la production en devenir Dix bonnes minutes de pur bonheur avec le beau temps qui rĂšgne et c’est parti pour suspendre la production en devenir. Si pour l’heure, elles ne font que 2 Ă  3 cm dans une annĂ©e, au moment de la rĂ©colte, elles feront pour certaines la taille d’un travers de main. On dit que l’huĂźtre a poussĂ©. "La corde doit ĂȘtre suffisamment longue pour que toutes les huĂźtres soient dans l’eau", explique Christian qui vient rĂ©guliĂšrement participer aux travaux du mas. "En gros, il y a environ 300 huĂźtres disposĂ©es sur les cordes. On vient les disposer Ă  distances rĂ©guliĂšres pour qu’elles puissent se nourrir abondamment. Puis, aprĂšs, c’est un travail de patience. On attend que les huĂźtres grandissent. On vient les nettoyer quand il le faut. Dans une annĂ©e elles seront prĂȘtes Ă  la dĂ©gustation. C’est pour cela que nous collons rĂ©guliĂšrement afin que nous ayons toujours des produits Ă  la vente." Le collage est terminĂ©. Direction les tables au beau milieu de l’étang avec la barge ou le bac, c’est selon, dans un dĂ©cor de rĂȘve pour aller faire pousser la prochaine rĂ©colte. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Chez les Vila, on n’est pas des voyants, mais on fait ainsi tourner les tables de production d’huĂźtres afin que le mas soit en permanence approvisionnĂ© et que Christian puisse se dĂ©placer, comme il le fait depuis des annĂ©es, vers la rĂ©gion Toulousaine, oĂč il vend tous les week-ends, sa production.

Desscientifiques français menĂ©s par l’Ifremer viennent d’élucider le mĂ©canisme infectieux conduisant Ă  la mortalitĂ© massive des huĂźtres juvéniles en France.

Site France Naissain Naissain est le leader mondial en fourniture de naissains d’huĂźtres creuses, prĂ©sent dans plus de 15 pays. France Naissain, ce sont des hommes et des femmes investis et passionnĂ©s, collaborant ensemble afin de fournir un produit de qualitĂ© Ă  ses clients ostrĂ©iculteurs tout en participant Ă  la prĂ©servation durable et responsable de l’environnement. Afin d’accompagner notre dĂ©veloppement, France Naissain est aujourd’hui en quĂȘte de talents Ă  la recherche d’opportunitĂ©s et de dĂ©fis Ă  relever sur nos diffĂ©rents sites de production situĂ©s Ă  Bouin 85, Asnelles 14 ou encore sur l’Ile de Jersey ! POSTE Avec ou sans expĂ©rience dans le milieu ostrĂ©icole ou maritime, vous ĂȘtes volontaire avec de l’énergie Ă  revendre, vous avez une bonne capacitĂ© physique et l’envie d’apprendre un nouveau mĂ©tier ce poste est fait pour vous ! Vos missions seront de Laver et tamiser les naissains d’huĂźtres, DĂ©placer et repositionner les poches d’huitres sur les tables des parcs, Trier, laver et rĂ©parer des poches d’huitres, Assurer la mise en poche des naissains d’huitres, Reconditionner les huitres triĂ©es en poches, Participer Ă  l’expĂ©dition des produits vendus. PROFIL Vous avez L’esprit d’équipe L’envie d’apprendre Une bonne condition physique ou l’envie d’en avoir une 😉 Une vie aprĂšs le boulot Nous avons Une Ă©quipe de passionnĂ©s prĂȘts Ă  vous former Un cadre de travail exceptionnel Natura2000 Des missions variĂ©es, on ne s’ennuie jamais ! De belles opportunitĂ©s d’évolution Ce qu’il faut savoir Base 35h, du lundi au vendredi, rĂ©alisation d’heures supplĂ©mentaires payĂ©es et possibilitĂ© de rĂ©aliser des permanences le week-end Horaires variables, en fonction de l’horaire des marĂ©es Tickets restaurant Ă  8€/ticket Une mutuelle d’entreprise familiale Une prime d’intĂ©ressement et de participation
Lesproducteurs d’huĂźtres de Marennes et du secteur se prĂ©parent doucement au grand rush de la fin d’annĂ©e. Reportage. Reportage. Les huĂźtres Marennes-OlĂ©ron arrivent sans escale en
DerniĂšre mise Ă  jour le 20 juin 1930 DESCRIPTION L'Ă©tude sur la reproduction des huĂźtres dans le Morbihan, commencĂ©e en 1921 sous la direction de l'Office des PĂȘches maritimes, s'est poursuivie rĂ©guliĂšrement chaque annĂ©e Ă  la station ostrĂ©icole d'Auray. On sait qu'aprĂšs une crise terrible qui laissait Ă  entrevoir la disparition pour ainsi dire complĂšte de l'huĂźtre plate, la situation de l'ostrĂ©iculture morbihannaise s'est beaucoup amĂ©liorĂ©e. Depuis 1927, on enregistre un relĂšvement des quantitĂ©s de naissain fixĂ© sur les collecteurs, ce qui permet d'espĂ©rer le retour de l'ancienne prospĂ©ritĂ©. [OCR NON CONTRÔLE] NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE DETAILLÉE keyboard_arrow_right Titre Note sur la rĂ©colte du naissain d'huĂźtres dans le Morbihan keyboard_arrow_right Type de documentation Articles keyboard_arrow_right Auteurs personnes Raphenne, E keyboard_arrow_right Date de publication 20 juin 1930 keyboard_arrow_right Editeurs Institut scientifique et technique des pĂȘches maritimes ISTPM keyboard_arrow_right Tags thĂ©matiques mollusque keyboard_arrow_right Localisation MORBIHAN keyboard_arrow_right Langue Français keyboard_arrow_right Collection Revue des Travaux de l'Institut des PĂȘches Maritimes
HuĂźtres: variĂ©tĂ©s (Bouzigues, marennes OlĂ©ron, Cap Horn) Les variĂ©tĂ©s d’huitres sont nombreuse. PremiĂšre consommatrice d’ huitre en Europe, la France produit 90 % des huitres europĂ©ennes avec 130 000 tonnes par an. Les mĂ©thodes d’élevage sont nombreuses : en eau profonde, sur table, en estuaire. De la Manche Ă  la
Un congrĂšs mondial rĂ©unit actuellement les ostrĂ©iculteurs Ă  Arcachon, autour d'une question sans vraie rĂ©ponse quel est le mal dont souffrent les huĂźtres ? Depuis maintenant 4 ans, des mortalitĂ©s inhabituelles surviennent partout, d'abord les naissains et aujourd'hui chez les adultes. Virus, bactĂ©ries, parasites, rĂ©chauffement des eaux de multiples explications sont huĂźtres creuses sont les plus vendues. Sont-elles en danger ? © JLG/Futura-Sciences Cela vous intĂ©ressera aussiEn 2008, les ostrĂ©iculteurs français ont sonnĂ© l'alerte leurs naissains les larves subissaient des mortalitĂ©s inhabituelles. Depuis, rien ne s'est arrangĂ©, avec des pertes chez les naissains qui se maintiennent Ă  un taux Ă©levĂ© et auxquelles s'ajoute maintenant une surmortalitĂ© chez l'adulte, l'huĂźtre atteignant sa taille commerciale en 2 ou 3 ans. C'est un congrĂšs mondial Oyster World Congress qui leur est actuellement consacrĂ© Ă  Arcachon, des ostrĂ©iculteurs du monde entier venant discuter de leurs s'est penchĂ© sur le problĂšme en mettant en place en 2009 un Observatoire national conchylicole ciblant l'huĂźtre creuse, Crassostrea gigas, la plus vendue. Ses rĂ©sultats donnent la mesure du phĂ©nomĂšne alors que les donnĂ©es historiques montrent qu'entre 1995 et 2007, les taux de mortalitĂ© [dans le naissain] sont restĂ©s stables au niveau national, et situĂ©s aux alentours de 15 % », sur les 14 sites suivis, la mortalitĂ© a brusquement augmentĂ© en 2008 pour atteindre 63 % au niveau national. En 2011, l'Ifremer observe des taux de mortalitĂ© finaux qui atteignent 73 % sur les naissains issus de captage et 43 % sur les naissains issus d'Ă©closerie » Les surmortalitĂ©s des naissains d'huĂźtres creuses Crassostrea gigas, Les rencontres de l’Ifremer, janvier 2012.SurmortalitĂ© des huĂźtres un virus sur le banc des accusĂ©sLes analyses effectuĂ©es dĂ©signent un serial killer le virus OsHV-1 Ostreid Herpes virus 1, sans danger pour l'Homme. Sa prĂ©sence est corrĂ©lĂ©e avec les mortalitĂ©s. Une forme particuliĂšre du virus, et jusque-lĂ  inconnue, baptisĂ©e ÎŒVar, est Ă  peu prĂšs systĂ©matiquement retrouvĂ©e dans les Ă©chantillons de populations ostrĂ©iculteurs accusent aussi les tempĂ©ratures plus Ă©levĂ©es. L'huĂźtre creuse, en effet, n'aime pas l'eau chaude et sa reproduction est liĂ©e Ă  la tempĂ©rature quand elle dĂ©passe 18 °C, ce mollusque bivalve comprend qu'il est temps de produire des gamĂštes. Les chercheurs ont comparĂ© les courbes de tempĂ©ratures observĂ©es Ă  celles des mortalitĂ©s et ce dans diffĂ©rentes rĂ©gions du littoral français. RĂ©sultat une corrĂ©lation dans le cas des abeilles, la cause des mortalitĂ©s d'huĂźtres creuses pourrait ĂȘtre multifactorielle. Pour l'instant, on ne fait que compter les huĂźtres qui meurent trop tĂŽt sans savoir ce qu'il faudrait faire...Les ostrĂ©iculteurs veulent nous rassurer et, en marge de ce congrĂšs mondial, promettent que les prix ne vont pas grimper prochainement donc pas pour les fĂȘtes de fin d'annĂ©e..., comme ce fut le cas en 2008. Mais les surmortalitĂ©s observĂ©es depuis peu chez les huĂźtres adultes vont Ă  coup sĂ»r aggraver les soucis des producteurs. C'est trĂšs inquiĂ©tant toutes les manipulations, comme les mises en bassin, s'accompagnent de mortalitĂ©s d'huĂźtres », explique Ă  l'AFP Jean-Charles Mauviot, directeur du comitĂ© rĂ©gional conchylicole CRC Arcachon-Aquitaine. Dans toutes les rĂ©gions de production, les tonnages produits sont Ă  la baisse. En Bretagne sud, par exemple, la production serait passĂ©e de tonnes en 2008 Ă  tonnes, d'aprĂšs HervĂ© Jenot, prĂ©sident du CRC de cette rĂ©gion qui s'exprimait devant le micro de l' congrĂšs mondial permettra donc de comparer les chiffres français avec ceux des autres pays producteurs et, peut-ĂȘtre, de mieux cerner le ou les coupables...IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?

mars2011 Les pratiques culturales peuvent – elles permettre de rĂ©duire la surmortalitĂ© du naissain d’huĂźtres creuses? RĂ©capitulatif des essais d’élevage et

Une sĂ©rie de projets aquacoles a Ă©tĂ© lancĂ©e Ă  Dakhla mardi par le ministre de l’agriculture, de la pĂȘche maritime, du dĂ©veloppement rural et des eaux et forĂȘts, Mohamed Sadiki, dont 56 fermes spĂ©cialisĂ©es dans les algues et les coquillages au profit des jeunes pour un coĂ»t total de 27,26 millions de dirhams. Dans les dĂ©tails, au niveau de la zone portuaire, le ministre a assistĂ© Ă  l’installation des unitĂ©s de culture de projets d’algoculture de jeunes entrepreneurs spĂ©cialisĂ©s dans les algues. Au nombre de 25 projets sur une superficie totale de 50 ha, la production cible est de tonnes d’algues humides. Ces projets ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un appui financier de prĂšs de 12,49 millions DH. Ils vont permettre la crĂ©ation de 125 emplois. Le ministre a Ă©galement donnĂ© le coup d’envoi au lancement du montage de 31 projets de jeunes entrepreneurs spĂ©cialisĂ©s dans les coquillages. Ces fermes font partie d’un programme d’installation de 75 fermes sur une superficie de 150 ha, bĂ©nĂ©ficiant d’un appui financier d’environ 15,26 millions DH. Ces projets vont permettre d’atteindre une production cible de tonnes d’huĂźtres et de moules et la crĂ©ation de 382 emplois. Ces projets aquacoles inaugurĂ©s au profit des jeunes viennent pour structurer le secteur de l’aquaculture d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale au niveau de Dakhla, et s’inscrivent dans le cadre de la stratĂ©gie Halieutis lancĂ©e depuis plusieurs annĂ©es, et qui a donnĂ© un vĂ©ritable coup de pouce Ă  ce secteur afin de protĂ©ger nos richesses maritimes et Ă©galement rationnaliser l’effort de pĂȘche», a expliquĂ© M. Sadiki. Au niveau de la zone conchylicole de Boutalha, le ministre a visitĂ© un projet intĂ©grĂ© composĂ© d’une Ă©closerie et nurserie de palourde europĂ©enne. Il comprend une ferme conchylicole sur deux espaces en mer, dans la baie de Dakhla site de Boutalha, respectivement de 199,5 ha et 20 ha ainsi qu’une Ă©closerie de coquillages installĂ©e sur un terrain de 2 ha. D’un coĂ»t d’investissement de 80 millions de dirhams, ce projet a permis la crĂ©ation de 40 emplois directs et vise une production de 80 millions de naissains de palourdes par an et tonnes de palourdes par an. Le parc de palourdes s’étend sur une superficie de 220 ha, pour une production prĂ©visionnelle de t/an. Non loin du site, 4 parcs d’huĂźtres, d’une superficie totale de 18 ha, d’une production prĂ©visionnelle de 123 tonnes. L’unitĂ© de purification et de conditionnement des coquillages et poissons sise Ă  Boutelha dispose d’une capacitĂ© de 320 t/an entre 3 espĂšces moule, dorade, loup bar. D’un montant d’investissement de prĂšs de 2 millions de dirhams, cette unitĂ© emploie 44 personnes. t de poissons dĂ©barquĂ©es en 2021 La circonscription maritime de Dakhla compte six sites de pĂȘche Ă©quipĂ©s par des halles au poisson, 2 ports de pĂȘche fonctionnels et un troisiĂšme en cours de construction, 100 unitĂ©s de congĂ©lation, de traitement et de valorisation des produits de la pĂȘche, 8 fabriques de glace ainsi que 25 fermes aquacoles. Le secteur de la pĂȘche au niveau de Dakhla compte barques, 75 senneurs et 108 palangriers ainsi que 30 navires chalutiers pĂ©lagiques. En 2021, les dĂ©barquements ont atteint prĂšs de t gĂ©nĂ©rant une valeur de plus de 2,8 milliards DH. Ces dĂ©barquements sont composĂ©s essentiellement 92% des petits pĂ©lagiques. S’agissant des exportations, prĂšs de t des produits de la pĂȘche ont Ă©tĂ© exportĂ©es en 2021 depuis Dakhla, dont 90% sous Ă©tat congelĂ©. Visite de la halle au poisson Une visite a Ă©tĂ© effectuĂ©e par M. Sadiki Ă  la nouvelle halle au poisson de Dakhla inaugurĂ©e par Sa MajestĂ© le Roi en fĂ©vrier 2016. Elle s’inscrit dans le cadre de la mise en Ɠuvre de la stratĂ©gie Halieutis en matiĂšre d’organisation de la filiĂšre pĂȘche cĂŽtiĂšre et artisanale. D’un coĂ»t global de 26 millions DH, la halle est installĂ©e sur une superficie couverte de mÂČ. Elle a pour objectifs d’assurer la qualitĂ© des produits de la pĂȘche transitant par la halle, d’organiser les flux des produits et des personnes Ă  l’intĂ©rieur de la halle, d’augmenter l’attractivitĂ© de la halle et de permettre la commercialisation de l’ensemble des produits de la mer. Ce projet permettra une meilleure valorisation des produits de la pĂȘche, une amĂ©lioration des revenus des marins pĂȘcheurs et des armateurs, un accroissement des recettes de la collectivitĂ© locale ainsi que la contribution au dĂ©veloppement socio-Ă©conomique de la ville. Visite de la zone dĂ©diĂ©e aux navires RSW Une tournĂ©e a Ă©tĂ© effectuĂ©e au niveau de la zone dĂ©diĂ©e aux navires RSW Refrigerated Sea Water pour prendre connaissance des installations du systĂšme de pesage des produits des navires, mis en place dans le cadre du plan de gestion de la pĂȘcherie des petits pĂ©lagiques de l’Atlantique sud. Le systĂšme de pesage des produits des navires RSW a pour objectifs de dĂ©finir et mettre en place un systĂšme qui permet une estimation correcte du poids des captures par les autoritĂ©s de contrĂŽle. Il a Ă©galement pour objectifs de rĂ©organiser la zone dĂ©diĂ©e au dĂ©chargement des produits, d’assurer la fluiditĂ© des opĂ©rations de dĂ©chargement et la maĂźtrise de la traçabilitĂ© des captures. Visite d’une unitĂ© de production de conserve de poisson Au niveau de la zone industrielle de Dakhla, le ministre a visitĂ© une unitĂ© de production de conserves de sardines et de maquereaux. Créée en 2012, cette unitĂ© dispose d’une capacitĂ© de production de 45 t et d’une capacitĂ© de stockage de 800 t. La production est destinĂ©e aussi bien au marchĂ© local qu’à l’export, Ă  destination de l’Europe, Afrique, Asie, Etats-Unis et Russie. La mise en place de cette unitĂ© a permis la crĂ©ation de 140 emplois permanents et 482 emplois saisonniers. Visite d’une unitĂ© de stockage et de logistique Le ministre a visitĂ© une unitĂ© de stockage et de logistique. Il s’agit d’un entrepĂŽt frigorifique Ă  Dakhla dotĂ© de 5 chambres de stockage Ă  -25°C, Ă©quipĂ©es toutes d’un systĂšme de rayonnage par accumulation. Offrant une capacitĂ© globale de stockage de tonnes ou palettes, il s’agit de la plus grande plateforme de stockage nĂ©gatif d’Afrique. D’un investissement de 80 millions DH, la plateforme de stockage Ă  froid contrĂŽlĂ© est rĂ©alisĂ©e sur une superficie de 1,5 ha dont mÂČ couverts selon les standards internationaux en termes de normes d’hygiĂšne, de qualitĂ© et de sĂ©curitĂ©. La plateforme offre Ă©galement un service de location de stockage adaptĂ© aux divers demandeurs sur place ainsi que la flotte de la pĂȘche hauturiĂšre. Cette unitĂ© a permis la crĂ©ation de 30 emplois permanents. Visite du Centre rĂ©gional de l’INRH Le Centre rĂ©gional de l’Institut national de recherche halieutique INRH Ă  Dakhla a dĂ©marrĂ© ses activitĂ©s en octobre 1998 dans l’objectif d’assurer une recherche de proximitĂ©. Sa zone de compĂ©tence s’étend sur 600 km de cĂŽte, couvrant la zone allant de la limite sud de Boujdour Lakraa jusqu’à la frontiĂšre maroco-mauritanienne. Les domaines d’expertise du centre concernent le domaine de l’aquaculture, le domaine de la pĂȘche ainsi que le domaine sanitaire et environnemental. Le ministre a visitĂ© les infrastructures du centre, composĂ©es du laboratoire de pĂȘche, du laboratoire de suivi et surveillance du milieu marin et du laboratoire spĂ©cialisĂ© en aquaculture. .