Sexo SĂ©duction et dĂ©sir les 10 gestes qui vous trahissent 2 janvier 2019 Nous nâen sommes pas toujours conscients, mais nous faisons des gestes instinctifs destinĂ©s Ă sĂ©duire lâautre sexe. Les psychologues se sont intĂ©ressĂ©s au langage corporel qui traduit nos sentiments cachĂ©s. Le docteur Monica Moore a dĂ©nombrĂ© plus de 52 gestes que les femmes utilisent pour sĂ©duire rires, mouvements des sourcils et de la tĂȘte, souriresâŠ. Ces gestes que lâon rĂ©alise inconsciemment trahissent nos sentiments, mĂȘme les plus cachĂ©s. En faisant attention Ă ces mouvements, vous pouvez donc reconnaĂźtre si une personne est attirĂ©e par vous ou non. Sources â Les codes inconscients de la sĂ©duction », Philippe Turchet, Pocket. â Comment dĂ©coder les gestes de vos interlocuteurs », Quotidien Malin, David Cohen. â Le langage des gestes pour les nuls », Joseph Messinger, First. â Le langage gestuel de lâamour », Barbara et Allan Pease, First. Magazine fĂ©minin Vie Pratique
Quandtu fais lâeffort de ne pas forcer la direction de ton regard et quâelle sort enfin de ton champ de vision, une derniĂšre volontĂ©, un peu comme le souhait dâun vieil homme Ă lâarticle de la mort te parvient : il faut te retourner !!! Câest le Graal quâil faut voir au risque de regretter de ne pas lâavoir fait. Si le fait que mon apparence puisse aider les gens Ă Ă©voluer, si je peux aider Ă contribuer Ă lâaugmentation de la tolĂ©rance dans notre pays, pourquoi pas ». Il cumule aujourdâhui plusieurs faces, cet enseignant français sâest vu dĂ©cerner un titre officieux bien particulier celui de lâhomme le plus tatouĂ© de France. Il faut dire quâil ne lâa pas volĂ©. En effet, lâintĂ©gralitĂ© du corps de Sylvain est recouverte dâencre et pas un centimĂštre nâest Ă©pargnĂ©. Freaky Hoody », comme il est surnommĂ© sur les rĂ©seaux sociaux et dans le milieu du tatouage, est aussi connu que le cĂ©lĂšbre Black Alien originaire de Montpellier. Freaky Hoody lâinstituteur le plus tatouĂ© de France Et depuis, celui qui est aujourdâhui professeur des Ă©coles, nâa eu de cesse de faire ressembler son corps Ă une vĂ©ritable fresque peinte. Dâailleurs il dĂ©finit ses tatouages comme une piĂšce unique et originale, qui se veut Ă©volutive. Il y rajoute ainsi des couches dâencre et de dessins Ă loisirs, une forme dâart corporel que Sylvain prĂ©sente au monde Ă travers son autre mĂ©tier, celui de modĂšle photo et mannequin. Cependant, cette passion effrĂ©nĂ©e est-elle bien compatible avec son mĂ©tier dâenseignant ? On se doute bien que son apparence originale et un brin effrayant puisse du moins faire frissonner pareillement les enfants et les parents, ou tout au plus les laisser pantois. Mais Sylvain assure quâune fois le premier effet de surprise passĂ©, les enfants lâacceptent et ne posent plus de questions. DâaprĂšs lui, ce sont plutĂŽt les parents dâĂ©lĂšves qui ont eu du mal avec lâaspect hors norme » de ce professeur. Sa hiĂ©rarchie non plus ne voit pas cela dâun trĂšs bon Ćil. De son cĂŽtĂ©, le professeur tatouĂ© lui, revendique sa diffĂ©rence et garde espoir de faire bouger les lignes. Je me ferai tatouer toute ma vie ». Le cri du cĆur de Freaky Hoody », il prĂŽne la tolĂ©rance et nous raconte son histoire insolite dans cet article. OĂč enseigne Freaky Hoody ? Sylvain est professeur des Ă©coles remplaçant pour des classes de CP et de CM2 Ă Paris, dans la circonscription de Palaiseau en Essonne. Ce trentenaire dynamique adore son mĂ©tier et ses petits Ă©lĂšves. Plus quâun mĂ©tier, lâenseignement est pour lui une vĂ©ritable passion, mais voilĂ , Ă la diffĂ©rence des autres professeurs, Sylvain a une particularitĂ© physique qui semble lui poser des soucis dans sa profession. Et pour cause, Sylvain, le crĂąne rasĂ©, est entiĂšrement tatouĂ© de la tĂȘte aux pieds, de la paume de ses mains, son visage, jusquâĂ ses parties intimes. Freaky Hoody » comme il est surnommĂ© dans le milieu du tatouage, a recouvert le moindre centimĂštre de son corps de tattoos. Passion ou folie, mĂȘme son regard nâaura pas Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©, puisque ses yeux Ă©galement ont subi un encrage. Le blanc des yeux de Freaky Hoody », est chez lui aussi noir quâune nuit sans lune⊠Et câest ce regard quelque peu effrayant qui a amenĂ© ce professeur pas comme les autres Ă se retrouver au centre dâune vive polĂ©mique. Car son aspect gĂ©nĂ©ral fait non seulement frissonner les parents dâĂ©lĂšves, mais lâapparence hors normes de Sylvain a soulevĂ© lâindignation chez ces parents qui ont dĂ©crĂ©tĂ© quâil effrayait les enfants et nâont pas hĂ©sitĂ© ainsi Ă adresser de vives plaintes aux Ă©tablissements concernĂ©s. Pourtant, Sylvain affirme que mĂȘme si son apparence a pu lâempĂȘcher dâaccĂ©der Ă certains emplois par le passĂ©, pour lui, cela nâaurait jamais Ă©tĂ© un obstacle pour enseigner. Ainsi quâil lâavait affirmĂ© en 2018, Freaky Hoody » se sent libre de faire ce quâil veut. Les choses sont bien claires pour lui, le professeur appelle Ă plus de tolĂ©rance Ă travers ses dĂ©clarations. En tant que fonctionnaire, je peux faire ce que je veux. Les gens que je frĂ©quente au travail, les enfants, les parents, les collĂšgues, se sont tous habituĂ©s. Les gens sont plus ouverts dâesprit quâon se lâimagine, mĂȘme si certains disent du mal de vous dans votre dos⊠Quant aux enfants, ils mâacceptent comme je suis sans difficultĂ©. » Je pense ĂȘtre un bon professeur » Un joli discours, mais qui a laissĂ© de marbre lâinspection acadĂ©mique puisque deux ans plus tard, lâEducation nationale va sĂ©vir et prendre des mesures suite aux nombreuses plaintes des parents dâĂ©lĂšves. Câest ainsi que le professeur tatouĂ© va ĂȘtre sommĂ© de rester Ă©loignĂ© des salles de classe pendant sept semaines au dĂ©but 2019. Quasiment menacĂ© de ne plus exercer son mĂ©tier de professeur, notamment en classe maternelle, Sylvain dĂ©plore cet Ă©tat de fait. Il estime que les mesures prises Ă son Ă©gard sont injustifiĂ©es, ainsi quâil lâa expliquĂ© auprĂšs de BFMTV Mon inspection ne veut plus que jâaille en maternelle pour Ă©viter de recevoir des lettres de plainte. Elle ne veut prendre aucun risque ». Ce qui Ă©tonne le plus lâenseignant, câest que ce ne sont pas les parents des enfants se trouvant dans sa classe qui ont des soucis avec son apparence. Le professeur le plus tatouĂ© de France souligne que son aspect pose problĂšme Ă certaines personnes, mais câest trĂšs peu ». Câest un parent sur 1000, et ce sont des parents dâenfants qui ne sont pas dans ma classe. » Il ajoute quâavec les parents de ses propres Ă©lĂšves, une fois passĂ©e la surprise ou le choc, câest selon !, tout se passe bien On travaille bien et ils trouvent que je suis le plus cool. Je pense ĂȘtre un bon professeur et faire de mon mieux dans mon travail et progresser dâannĂ©e en annĂ©e ». Il faut dire que lâenseignement est une vĂ©ritable vocation pour lui. Cela fait tout de mĂȘme 12 ans que Sylvain exerce ce beau mĂ©tier. Les parents dâĂ©lĂšves divisĂ©s Quant aux parents dâĂ©lĂšves, justement, il y a les plus rebutĂ©s par son look, plutĂŽt rĂ©ticents Ă lui confier leurs chĂšres petites blondes. A lâinstar de cette mĂšre dâun Ă©lĂšve de lâĂ©cole primaire Paul-Langevin Ă Palaiseau Je trouve cela inappropriĂ©, a confiĂ© au quotidien au Parisien la mĂšre dâun enfant. Je suis trĂšs surprise que lâEducation nationale laisse faire ça ». Nous avons rencontrĂ© Sylvain, surnommĂ© "Freaky Hoody", lâinstituteur tatouĂ© de la tĂȘte aux pieds qui dĂ©range ⥠J'ai le droit de me tatouer, c'est mon corps, j'en fais ce que je veux»> â Le Parisien le_Parisien September 19, 2020 Et dâun autre cĂŽtĂ©, il y a les parents dâĂ©lĂšves plus tolĂ©rants, nullement dĂ©rangĂ©s par lâapparence de Sylvain. Le plus important pour ces derniers, ce sont les compĂ©tences de Sylvain en tant quâenseignant ainsi que lâa soulignĂ© cet autre parent dâĂ©lĂšve Si câest un bon professeur, cela ne change rien pour moi. Ses tatouages sur le visage, câest comme une couleur de peau, ça ne doit pas poser de problĂšme. » On ne peut que fĂ©liciter cette personne pour sa tolĂ©rance et son non-jugement. Lâinspection acadĂ©mique a finalement trouvĂ© un compromis. Sylvain est priĂ© dorĂ©navant de nâexercer sa fonction quâaux classes allant de CP jusquâau CM2, il nâenseignera plus les classes de maternelle. Un arrangement qui satisfait lâenseignant. Sylvain est de toute façon prĂȘt Ă se battre pour se faire accepter et rester auprĂšs de ses Ă©lĂšves le plus longtemps possible. Il assure que la loi est de son cotĂ© puisquâen France, le corps enseignant nâa quâune seule interdiction, celle de ne pas porter de signes religieux ostentatoires. NĂ©anmoins, la Loi Blanquer, un texte de loi de juillet 2019, cite lâexemplaritĂ© des personnels de lâEducation nationale », pour une Ă©cole de confiance », sans pour autant rĂ©vĂ©ler plus de dĂ©tails sur ce fameux devoir. A lire Ă©galement Premier tatouage voici les 4 zones les MOINS douloureuses pour enfin sauter le pas ! Tatouage considĂ©rĂ©es dangereuses, certaines encres interdites dĂšs 2022 Squid Game les 15 meilleurs tatouages inspirĂ©s de la sĂ©rie Netflix Quant au professeur le plus tatouĂ© de France et de Navarre, pas question pour lui de faire profil bas. En mĂȘme temps câest impossible ! Sylvain a deux amours et il est bien dĂ©terminĂ© Ă concilier sa passion frĂ©nĂ©tique pour les tatouages, Ă celle de lâenseignement, il y a un cĆur gros comme ça derriĂšre tous les tatouages de Freaky Hoody » !Allerau contenu. Menu. Menu. Demande et RĂ©pond; Deutsch; English; Brasil; ć°çŁ ; Home / Demande et RĂ©pond. regarder quelquâun de la tĂȘte aux pieds? juillet 13, 2022 par admin. Ă votre avis pourquoi Ă chaque fois quâil me voit il me regarde de la tĂȘte aux pieds ? il sait quâil me plait . serait-ce un sentiment de mĂ©pris quâil Ă envers moi ou autre chose de normal chezIl y a moins dâun an, sur un coup de tĂȘte, la jeune femme reprenait le magasin de chaussures de Marcillac. Depuis, elle lâa dĂ©veloppĂ©, et sâapprĂȘte Ă se lancer dans le prĂȘt-Ă -porter. "Je pense que si jâouvrais Ă 7 h 30, les gens viendraient dĂšs cette heure-lĂ ." Avec le sourire qui la caractĂ©rise, Marie Sanhes regarde les passants sâarrĂȘter devant sa boutique, La pointure du Vallon, en plein centre-ville de Marcillac, Ă deux pas de la mairie. La mĂšre de famille, 35 ans, a refait la vitrine la veille, et forcĂ©ment, ça attire lâĆil des clients, qui nâont pu quâobserver, depuis un an, la renaissance de ce lieu historique de la commune. Pendant prĂšs de 50 ans, la famille AymĂšs, mĂšre et fille, a tenu cette boutique de chaussures, dont la renommĂ©e dĂ©passait dĂ©jĂ les frontiĂšres de la petite commune de Marcillac. Câest dâailleurs parce quâelle en Ă©tait cliente que Marie Sanhes la connaissait. "Câest ma belle-mĂšre qui mâen a parlĂ©, raconte cette maman de trois enfants, qui cherchait alors des chaussures pour le premier. Souvent dans les familles, ce sont les grands-parents qui achĂštent les premiĂšres vraies chaussures dâun enfant. Câest symbolique, câest un passage important du bĂ©bĂ© Ă lâenfant." Un coup de tĂȘte VoilĂ donc comment la jeune femme, qui habite alors Ă Rodez, devient cliente de la Pointure du Vallon, il y a une dizaine dâannĂ©es, sans imaginer une seule seconde quâelle reprendra un jour la boutique. Entre-temps, la famille sâinstalle Ă Valady, mais Marie Sanhes continue de travailler Ă Rodez. Fille de commerçants, elle a Ă©galement fait des Ă©tudes de commerce avant de travailler dans plusieurs boutiques de la prĂ©fecture de lâAveyron. Mais au moment du confinement, alors quâelle est salariĂ©e dans une enseigne de prĂȘt-Ă -porter, elle est licenciĂ©e Ă cause de la perte dâactivitĂ©. "En rentrant chez moi, jâai dit Ă mon mari que je ne voulais plus jamais travailler dans le commerce", sourit-elle. Quelques jours plus tard, en janvier 2021, sa grand-mĂšre a besoin de bottes. Elle lui propose de lâamener Ă Marcillac, dans la boutique quâelle connaĂźt bien. "En arrivant, jâai expliquĂ© Ă la gĂ©rante que ma grand-mĂšre Ă©tait timide et que ça allait prendre un peu de temps. Elle mâa rĂ©pondu faites comme chez-vous, je vous laisse faire la vendeuse. Et jâai vendu des bottes Ă ma grand-mĂšre. Au moment de payer, la gĂ©rante mâa remerciĂ© et mâa lancĂ© "Vous voulez pas racheter ma boutique, je veux prendre ma retraite ?" Marie Sanhes rĂ©pond trĂšs sĂ©rieusement Ă la plaisanterie que ça pourrait lâintĂ©resser. Elle rentre chez elle, en parle Ă son mari, qui lui conseille de foncer. "Je suis revenue lâaprĂšs-midi et jâai demandĂ© Ă Ăliane AymĂšs la gĂ©rante depuis 1987, NDLR de me faire visiter, de mâexpliquer comment elle travaillaitâŠ" BientĂŽt du prĂȘt-Ă -porter Dans la foulĂ©e, elle va voir un comptable, se rapproche de la CCI, et mi-fĂ©vrier, Ă peine un mois plus tard, les deux femmes passent devant le notaire pour acter la vente du fonds de commerce. Le troisiĂšme confinement empĂȘchera lâouverture prĂ©vue en mars, mais Marie Sanhes ne se dĂ©courage pas. Elle en profite pour faire des travaux et donner un goĂ»t de modernitĂ© Ă la boutique, mais aussi pour affiner un peu sa stratĂ©gie sur les rĂ©seaux sociaux. Elle dĂ©cide Ă©galement de vendre des parapluies, des chaussettes, des sacs Ă main de marques françaises. Et quand elle ouvre enfin, le 19 mai, tout est prĂȘt et les clients sont directement au rendez-vous. PrĂšs dâun an plus tard, elle a rempli tous ses objectifs et continue de fourmiller de projets. La trentenaire est en train de racheter le fonds de commerce dâune boutique de prĂȘt-Ă -porter voisine, dont la gĂ©rante, quâelle va embaucher quelques mois jusquâĂ sa retraite, commençait Ă rĂ©flĂ©chir Ă vendre. LĂ encore, Marie nâa pas cogitĂ© longtemps. Elle a trouvĂ© lâidĂ©e bonne et a Ă©tudiĂ© la faisabilitĂ© financiĂšre et technique. "Reprendre la boutique Ă©tait compliquĂ© tant sur lâorganisation que financiĂšrement, alors jâai dĂ©cidĂ© de faire un transfert de fonds", lance-t-elle. Elle sâest donc lancĂ©e dans de nouveaux travaux pour rĂ©amĂ©nager une nouvelle fois lâespace, qui accueillera des vĂȘtements, dans quelques semaines. Pas question pour autant de remplacer les chaussures, ni de changer le nom de la boutique, qui continuera Ă sâappeler la Pointure du Vallon. "Les clients me disent "vous allez nous habiller de la tĂȘte aux pieds". Je leur rĂ©ponds que non, je vais les habiller des pieds Ă la tĂȘte", termine-t-elle avec plein de malice.
Si vous avez des vertiges de temps Ă autre, sachez que les raisons qui vous font tourner la tĂȘte peuvent ĂȘtre multiples. Voici une dizaine d'entre elles qu'il faut connaitre pour Ă©viter que cela ne se un phĂ©nomĂšne dĂ©sagrĂ©able et plutĂŽt frĂ©quent chez l'ĂȘtre humain, notamment Ă l'Ăąge adulte. Qui n'a jamais eu la tĂȘte qui tourne, en se levant trop vite ou en naviguant sur un bateau ? Si cela est bien souvent sans gravitĂ©, il faut tout de mĂȘme faire attention Ă ce que cela ne se produise pas trop souvent. Et pour cela, il est bon de connaĂźtre les situations ou les problĂšmes qui peuvent causer un Ă©tourdissement. Ainsi, dĂ©couvrez les symptĂŽmes caractĂ©ristiques des vertiges et les principales causes d' symptĂŽmes des vertiges Les vertiges se caractĂ©risent gĂ©nĂ©ralement par une sensation de "tĂȘte qui tourne", comme si tout bougeait autour de nous, accompagnĂ© d'une perte d'Ă©quilibre. Si le vertige est intense, il peut entraĂźner des nausĂ©es et vomissements. Les vertiges peuvent ĂȘtre frĂ©quents ou ponctuels, intermittents ou permanents. Les causes Ă l'origine de ce trouble sont variĂ©es et peuvent, dans certains cas, provenir de pathologies plus graves telles que la maladie de MĂ©niĂšre, liĂ©e Ă un dysfonctionnement de lâĂ©quilibre pressionnel des liquides de lâoreille vous ressentez des vertiges trĂšs intenses et/ou frĂ©quents, vous devez consulter un mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste ou un ORL Oto-Rhino-Laryngologiste afin d'en dĂ©tecter les causes et qu'il vous prescrive le traitement vous aider Ă trouver l'origine du trouble, voici une dizaine de raisons qui peuvent vous faire ressentir des Le vertige positionnel paroxystique bĂ©ninIl s'agit d'un problĂšme de dĂ©sĂ©quilibre de l'oreille interne qui peut vite devenir dĂ©rangeant s'il n'est pas pris en charge. Un vertige positionnel paroxystique bĂ©nin VPPB peut vous donner l'impression que tout bouge autour de vous mais cela ne dure qu'une minute ou moins, gĂ©nĂ©ralement. Cela touche notamment les personnes ĂągĂ©es, avec une prĂ©valence annuelle de 1,6%. Il n'y a pas de cause identifiĂ©e, mais des antĂ©cĂ©dents comme un traumatisme crĂąnien ou une neuronite vestibulaire sont des facteurs de Se lever trop vite entraĂźne des vertigesC'est un phĂ©nomĂšne que l'on a dĂ©jĂ tous vĂ©cu. En se levant trop vite, aprĂšs une sieste par exemple, la tĂȘte se met Ă tourner. Le problĂšme vient Ă©galement de l'oreille interne, qui contrĂŽle en partie le flux sanguin. Ainsi, lors d'un changement de position, le flux sanguin est dirigĂ© dans votre corps pour s'adapter au changement de position, ce qui peut provoquer des Les vertiges causĂ©s par une carence en vitamine B12Si votre taux de vitamine B12 est trop bas - ce que vous pouvez vĂ©rifier avec un test sanguin - plusieurs problĂšmes neurologiques peuvent survenir, parmi lesquels la sensation de dĂ©sĂ©quilibre et les vertiges. Cette vitamine peut ĂȘtre rĂ©gulĂ©e avec une bonne alimentation et se trouve surtout dans la viande ou les produits Les migraines intenses peuvent provoquer des vertigesAussi surprenant que cela puisse paraĂźtre, les vertiges peuvent ĂȘtre causĂ©s par... des migraines. Il est estimĂ© que prĂšs de 40% des personnes qui ont des migraines frĂ©quentes ont Ă©galement des Ă©tourdissements, plus ou moins Le vertige un trouble qui peut ĂȘtre liĂ© Ă l'anxiĂ©tĂ©Il y aurait un rĂ©el lien entre les personnes sujettes aux vertiges et l'anxiĂ©tĂ©, bien que cela reste difficile Ă expliquer. Mais il est possible que les personnes anxieuses se balancent plus face Ă un environnement en mouvement, ce qui peut augmenter les chances d'un Le vertige dĂ» au "mal de mer"Voici un nouveau trouble plutĂŽt commun, qui peut vous gĂącher une croisiĂšre ou une promenade en riviĂšre. Mais quand on parle de "mal de mer", il vaut mieux parler de "mal des transports" car mĂȘme en voiture ou en avion, cela peut arriver. Comment ? Ă cause d'une dĂ©synchronisation entre ce que vous voyez et la rĂ©action de votre systĂšme musculaire et votre oreille interne. Un virage, une vague, une turbulence... et c'est le vertige, voire le vomi. Cela est d'autant plus courant quand vous ĂȘtes fatiguĂ© ou avez faim par Les vertiges en rĂ©action Ă certains mĂ©dicamentsSi vous souffrez de vertiges sans la prĂ©sence de l'un des facteurs Ă©voquĂ©s ici, vĂ©rifiez peut-ĂȘtre les notices du traitement mĂ©dical que vous suivez ou parlez-en Ă votre pharmacien/mĂ©decin. En effet, plusieurs mĂ©dicaments ont des effets indĂ©sirables et les vertiges en font souvent partie, surtout s'il y a un La dĂ©shydratation est une des causes de vertigesLe centre d'information sur l'eau explique que Les aliments apportent en moyenne lâĂ©quivalent dâ1 litre dâeau par jour. En moyenne, pensez Ă respecter un apport par la boisson de 1,5 est d'autant plus important qu'en cas de dĂ©shydratation, mĂȘme minime, des vertiges peuvent survenir Ă cause de la baisse de pression Un vertige peut ĂȘtre un symptĂŽme de maladie cardiaqueDans de trĂšs rares cas, les vertiges peuvent ĂȘtre un avertissement Ă prendre au sĂ©rieux. En effet, cela est parfois le signe de la prĂ©sence d'une maladie cardiaque arythmies, fibrillation auriculaire, athĂ©rosclĂ©rose... Ces maladies causent en fait une rĂ©duction du flux sanguin vers le cerveau, d'oĂč les vertiges. Mais pas de panique au moindre Ă©tourdissement, si cela persiste, parlez-en Ă votre Les vertiges un signal d'alerte d'AVC ou de tumeurEncore plus rare que l'exemple ci-dessus, il est tout de mĂȘme important de savoir qu'un simple vertige peut ĂȘtre un signal d'alerte dâaccident vasculaire cĂ©rĂ©bral ou de tumeur cĂ©rĂ©brale. Une fois de plus, rĂ©fĂ©rez-vous Ă votre mĂ©decin traitant si les vertiges persistent utilisĂ©es Site de l'HĂŽpital Fondation RothschildSite Le Manuel MSDSite du Centre d'information sur l'eauLIGUEDES CHAMPIONS - Il est l'un des grands spĂ©cialistes du continent dans l'exercice. Cette saison, Diogo Jota ne cesse de marquer de la tĂȘte.
Cnormal, si tu autre chausse nesite pas , est aussi lie les notice des traitement si tu en prends!!!! Sa peut Útre sa aussi , mes moi c la fibromyalgi .mes attention c pas souvent c rare ,ne te fait pas de souci, mes en parle A ton médecin il faut tout lui dire,moi je prennes un petit carnet ,est je noté chaque problÚme que j'avait.
Portez-vous les bonnes couleurs, le tout avec style ? Vous avez dĂ©jĂ parcouru la moitiĂ© du chemin pour faire une bonne premiĂšre impression. Votre langage corporel en dĂ©terminera l'autre moitiĂ©. Pour ce faire, voici 10 conseils pour adopter un meilleur langage corporel sur votre lieu de travail. 1. Soyez Ă l'heure Cela n'a rien Ă voir avec le langage corporel ? DĂ©trompez-vous ! Une personne qui s'y prend Ă la derniĂšre minute ou mĂȘme en retard aura rarement l'air reposĂ©e alors que le repos permet d'augmenter la confiance en soi. De plus, la ponctualitĂ© est un signe de respect vis-Ă -vis des gens avec lesquels vous fixez des rendez-vous. 2. Prenez soin de votre apparence Des vĂȘtements bien repassĂ©s, une coupe de cheveux soignĂ©e, juste assez de maquillage, une haleine fraĂźche et des ongles propres cela vous semble Ă©vident mais beaucoup d'individus ont tendance Ă l'oublier. Une apparence nĂ©gligĂ©e ruine votre langage corporel, ne vous faites pas prendre au piĂšge ! 3. Souriez en suffisance Les gens vous regardent d'abord de haut en bas pour ensuite se focaliser sur votre visage. Si vous souriez suffisamment, cela montrera que vous ĂȘtes heureux. Trop peu de sourires entraĂźnent de la tension dans une conversation, l'inverse peut paraĂźtre surfait voire forcĂ©. 4. Soyez sympathique Cela semble couler de source ? Trop peu de gens sont profondĂ©ment sympathiques lorsqu'ils rencontrent de nouvelles personnes. La sympathie passe par le ton de votre voix, vos expressions faciales et ce que vous communiquez. Un conseil concentrez-vous sur ce que raconte votre interlocuteur et montrez que cela vous intĂ©resse, cela fonctionne foujours ! 5. Gardez une posture neutre Si vous vous penchez trop en arriĂšre, vous aurez l'air paresseux et arrogant. Inversement, on dira que vous ĂȘtes agressif. Faites en sorte de vous tenir droit. Si vous ĂȘtes debout et que l'on vous demande de prendre une dĂ©cision, faites un petit pas en avant. Surtout pas en arriĂšre car vous semblerez ne pas ĂȘtre sĂ»r de vous. 6. Optez pour une bonne poignĂ©e de main La maniĂšre dont vous serrez la main des gens en dit long sur votre Ă©tat d'esprit. La plupart des personnes aiment les poignĂ©es de main fermes. Evitez de saluer quelqu'un en manquant cruellement d'assurance et utilisez un peu de talc si vos mains sont souvent moites. 7. Contact visuel Le contact visuel, surtout lorsqu'il accompagne une poignĂ©e de main, tĂ©moigne de votre intĂ©rĂȘt Ă l'Ă©gard d'une personne. La frontiĂšre entre le jeu de regard et le fait de regarder fixement quelque chose est subtile mais non nĂ©gligeable. Vous fuyez trop rapidement du regard ? Vous semblerez peu fiable voire nerveux. Regardez en l'air signifie gĂ©nĂ©ralement que vous mentez ou passez pour une personne que vous n'ĂȘtes pas. Extra 7 conseils pour regarder un recruteur droit dans les yeux 8. Hochez de temps en temps la tĂȘte Une fois de plus, n'exagĂ©rez pas. Si vous le faites trop peu, vous aurez l'air distant ou indiffĂ©rent. A l'inverse, vous paraĂźtrez soumis. Un bref signe de la tĂȘte de temps en temps montre que vous Ă©coutez et que vous vous sentez concernĂ© par ce que l'on vous raconte. 9. Surveillez vos mains Bon nombre de personnes ne savent pas quoi faire de leurs mains. Elles les laissent de cĂŽtĂ© sentiment d'agressivitĂ©, les mettent dans leurs poches ou derriĂšre leur dos coincĂ©, les gardent collĂ©es les unes aux autres signe de faiblesse ou les agitent en permanence nervositĂ©. Utilisez-les de temps en temps pour mettre l'accent sur vos propos, le tout avec parcimonie. Check Langage corporel comment utiliser vos mains ? 10. A proscrire Regarder l'heure ? Consulter un message sur votre smartphone ? Il s'agit aussi de langage corporel. Ne pensez pas que le recruteur ne l'aura pas remarquĂ©. Il trouvera cela trĂšs dĂ©sagrĂ©able, Ă Ă©viter Ă tout prix ! Vous reste-t-il un peu de travail au niveau de votre langage corporel ? Vous corrigerez vos mauvaises habitudes devant un miroir ou en vous exerçant avec un ami. Vous constaterez rapidement vos progrĂšs ! Lisez aussi notre guide Ă©lectronique PrĂ©parez-vous Ă vos entretiens d'embauche pdf eh/ndd Nadine De Deken Filline donne des conseils au niveau des couleurs et du style des vĂȘtements depuis plus de 40 ans. Elle a Ă©galement Ă©crit de nombreux livres Ă succĂšs. 4 mai 2022Jelui demande de s'asseoir, elle me dit que ça la saoule, j'essaye de l'asseoir, elle dit que je la pousse, elle se met Ă pleurer et me dit qu'elle a pas envie de parler avec moi. Elle se dirige vers la chambre, elle dit comment j'ai fait pour trouver un mec de merde, je la regarde faire, elle avance et tombe. Je l'aide Ă se relever, elle s La sĂ©duction et le regard des femmes dĂ©codez ce quâelles pensent ! Nous avons dĂ©jĂ appris quâune femme qui dĂ©sire une rencontre regarde frĂ©quemment aux alentours. Si quelquâun lui plaĂźt, elle aura tendance Ă hausser instinctivement ses Ă©paules lorsquâelle se trouve prĂšs de lui. Mais, tous les grands dragueurs le savent bien le critĂšre le meilleur et le plus fiable reste le regard des femmes. Nous allons apprendre aujourdâhui, quâil est le vĂ©ritable miroir de lâĂąme⊠Le regard des femmes est un vĂ©ritable outil de sĂ©duction. Elle me regarde tout le temps ou trĂšs souvent ? Est-ce de la sĂ©duction ? Tout dâabord, une femme intĂ©ressĂ©e par votre physique aura nettement tendance Ă vous regarder plus souvent. Pour Ă©valuer votre charme sur une personne, il nây a rien de mieux que de noter la frĂ©quence de ses regards. Nous pourrons aussi nous dĂ©placer pour procĂ©der Ă une petite vĂ©rification. Si ses yeux se posent plus souvent sur nous que sur ce qui lâentoure, nous avons toutes nos chances ! Ensuite, si nous lui plaisons, nous pourrons observez chez elle une modification subtile une dilatation de sa pupille. Au contraire une contraction de ses pupilles signifiera que nous ne lui plaisons pas! En plus de la frĂ©quence du temps de contact, et des informations fournies par les pupilles, nous pouvons connaĂźtre, dans une certaine mesure, les pensĂ©es intimes de nos interlocutrices. Lorsque nous pensons, rĂ©flĂ©chissons, fantasmons, ressentons une Ă©motion, nos yeux se positionnent diffĂ©remment. Le regard des femmes nous dit tout ! Les spĂ©cialistes en communication ont mis en Ă©vidence le rapport entre la position des yeux et les opĂ©rations mentales qui se rĂ©alisent alors dans le cerveau. Par exemple si une personne est amenĂ©e Ă rechercher dans sa tĂȘte un souvenir visuel en Ă©voquant mentalement la couleur de sa voiture, ses yeux iront en haut en gauche vu de lâobservateur. Une personne qui se reprĂ©sente une image en la construisant dans sa tĂȘte aura ses yeux en haut Ă gauche⊠Si elle Ă©prouve une Ă©motion amour, excitationâŠ, ou une sensation tactile par exemple ses yeux se situeront en bas Ă gauche. Toutefois, il arrive que les cotĂ©s gauches et droits soient inversĂ©s pour certaines personnescâest le cas notamment pour les gauchers affirmĂ©s. Voici le schĂ©ma de toutes les positions des yeux et des actions mentales qui leurs correspondent. Le regard des femmes et lâutilisation du mouvement oculaire nous servira Ă©normĂ©ment pour divers emplois en sĂ©duction. Mais, ici nous nous intĂ©ressons pour lâinstant Ă la prospection des individus rĂ©ceptifs. Nous verrons plus tard comment les exploiter Ă dâautres fins. Entrez dans ses pensĂ©es les plus intimes ! Le regard des femmes est trĂšs utile si lâon veut dĂ©crypter ses pensĂ©es les plus intimes. Supposons que vous remarquiez une personne qui vous regarde frĂ©quemment et, quâĂ un moment donnĂ©, juste aprĂšs vous avoir fixĂ©, ses yeux aillent dâabord en haut Ă gauche, puis en bas Ă gauche. Cela traduit, si vous suivez le schĂ©ma ci-dessus, que la personne, a successivement imaginĂ© une image puis ressenti une Ă©motion ou une sensation. Il est probable quâelle sâest reprĂ©sentĂ©e mentalement une situation faisant naĂźtre ainsi une sensation. Peut-ĂȘtre a-t-elle fantasmĂ© sur vous? Supposons maintenant que vous mettiez en valeur une partie de votre anatomie par un geste et que, juste aprĂšs, la personne tourne les yeux en bas Ă gauche. Elle a donc Ă©prouvĂ© une sensation vous pouvez raisonnablement supposer que votre partenaire a craquĂ© pour ce geste de sĂ©duction. Ce genre de recherche de disponibilitĂ© nĂ©cessite dâĂȘtre assez prĂšs de la personne, mais ne permet pas de reconstituer avec certitude la pensĂ©e dont il sâagit. Cependant, en gĂ©nĂ©ral, le contexte permet de les deviner dans une large mesure. De toute façon, cette technique nous offrira un Ă©norme avantage! Conclusion Nous avons vu comment exploiter le regard des femmes. Nous savons maintenant, quâil nous donne de de nombreuses informations sur ce quâelles pensent et ressentent. BientĂŽt, nous irons encore plus loin. Nous tirerons avantage de ces nouvelles connaissances pour nos tentatives de sĂ©duction. Et si vous pouviez entrer dans son intimitĂ©, et agir sur son Ă©tat Ă©motionnel ou son dĂ©sir sexuel? A suivreâŠ
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Cuisinezles lĂ©gumes de la tĂȘte aux pieds ! Poche â 29 aoĂ»t 2014. 180 recettes créées et testĂ©es par des jardiniers- cuisiniers soucieux de ne rien gĂącher de leurs rĂ©coltes. Vous pourrez ainsi accommoder ou conserver 40 lĂ©gumes et herbes, de l'apĂ©ritif au
Cet exercice est un des nombreux exercices d'assouplissement de deux pistes. Ce mouvement est appelĂ© "Travers" par la plupart de nos voisins europĂ©ens. Ce mouvement s'effectue principlament le long d'un pare-botte ou d'une lice. Dans ce mouvement, exemple Ă main droite le cheval incurvĂ© Ă droite, chasse les hanches Ă droite. L'angle ne doit pas dĂ©passer 25°/30° grand maximum. Le cheval regarde donc dans la direction dans laquelle il va, contrairement Ă la cession oĂč il doit rester droit oĂč mĂȘme un lĂ©ger pli Ă l'extĂ©rieur est tolĂ©rĂ©. La tĂȘte au mur s'effectue de prĂ©fĂ©rence en sortie de coin ou en sortie de volte afin de concerver le bĂ©nĂ©fice de l'incurvation sur le mouvement de la tĂȘte au mur. La tĂȘte au mur peut s'effectuer au pas, au trot, au galop. Dans l'ordre des difficultĂ©s techniques, ce mouvement se place aprĂšs la cession, et avant l'appuyer. Ce mouvement peut s'effectuer avec un cheval qui a acquis l'incurvation, et le respect Ă la jambe isolĂ©e. Un cavalier peut aborder ce mouvement avec un niveau technique galop 6. Les aides Le regard pour anticiper son tracĂ©, les aides de l'incurvation en place pour bien concerver l'attitude du cheval au sortir du coin oui de la volte, Ă l'aide de la jambe isolĂ©e extĂ©rieure jambe gauche Ă main droite ou jambe droite Ă main gauche perpendiculairement, le cavalier demande au cheval de mettre ses hanches en piste intĂ©rieur. A l'aide de la jambe intĂ©rieur, le cavalier maintien l'impulsion et canalise les Ă©paules sur la piste. A l'aide de l'assiette, dans le sens du mouvement, le cavalier entretien l'allure et le mouvement en avant. A l'aide de la rĂȘne intĂ©rieur, le cavalier conserve le pli, et Ă l'aide de la rĂȘne rĂ©gulatrice, il limite le pli. Sans gĂ©ner le mouvement en avant, les 2 mains ensemble restent cohĂ©rentent pour canaliser les Ă©paules sur leur piste. Les dĂ©fauts Ă Ă©viter Le manque de pli ou le pli inverse. Le manque ou la perte d'impulsion en cours de mouvement. Les fluctuations dans l'angle dessinĂ© avec la piste des antĂ©rieurs. Le manque ou l'excĂšs d'angle. Vous souhaitez bĂ©nĂ©ficier du regard extĂ©rieur et des conseils d'une enseignante diplĂŽmĂ©e pour rĂ©aliser ce mouvement, vous pouvez me contacter via le formulaire automatique du blog.Continuesa route Ă l'envers step and you'll burn Les giboulĂ©es provoquent des ascenseurs Ă©motionnels. "Ah le vieil adage au parfum dĂ©modĂ© She's so lovely Sur la pointe des pieds J'ai longtemps hĂ©sitĂ©" En diva tu divagues d'horreurs en aurores. "Take another walk out of your fake world" OĂč ai-je la tĂȘte quand jâai les pieds sur terre ? OĂč sont mes pieds quand jâai la tĂȘte en lâair ? Le rĂȘve est raison Si nous nous aimons Non ? Sur un coup de tĂȘte Douce folie, je tâai suivi Dâun coup de pied Jâai congĂ©diĂ© tous mes soucis Pour perdre pied Il a suffit de ta prĂ©sence Je perds la tĂȘte Quand je pĂątis de ton absence OĂč ai-je la tĂȘte quand jâai les pieds sur terre ? OĂč sont mes pieds quand jâai la tĂȘte en lâair ? Le rĂȘve est raison Si nous nous aimons Non ? Nos tĂȘte Ă tĂȘte Le jour, la nuit,câest ça la vie Et pied Ă pied Chemin faisant on la construit Je tâ fais la tĂȘte Si tu mârefuses mes douces avances Je tâfais du pied Pour quâon en use de notre chance OĂč ai-je la tĂȘte quand jâai les pieds sur terre ? OĂč sont mes pieds quand jâai la tĂȘte en lâair ? Le rĂȘve est raison Si nous nous aimons Non ? Faut prendre son pied Car on mourra sans une raison Pas sâprendre la tĂȘte Et on vivra dans la passion LĂšve le pied Que le passĂ© reste prĂ©sent Baisse pas la tĂȘte Car le futur est apaisant OĂč ai-je la tĂȘte quand jâai les pieds sur terre ? OĂč sont mes pieds quand jâai la tĂȘte en lâair ? Le rĂȘve a raison Puisquâ nous nous aimons La rĂȘve est raison Le rĂȘve a raison
SergeGeorgelin est un sportif nĂ©, il fait de la marche athlĂ©tique de grand fond. Il sâentraĂźne pour une course de 1 000 km en allant au travail
Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-ĂȘtre hier, je ne sais pas. J'ai reçu un tĂ©lĂ©gramme de l'asile MĂšre dĂ©cĂ©dĂ©e. Enterrement demain. Sentiments distinguĂ©s. » Cela ne veut rien dire. C'Ă©tait peut-ĂȘtre de vieillards est Ă Marengo, Ă quatre-vingts kilomĂštres d'Alger. Je prendrai l'autobus Ă deux heures et j'arriverai dans l'aprĂšs-midi. Ainsi, je pourrai veiller et je rentrerai demain soir. J'ai demandĂ© deux jours de congĂ© Ă mon patron et il ne pouvait pas me les refuser avec une excuse pareille. Mais il n'avait pas l'air content. Je lui ai mĂȘme dit Ce n'est pas de ma faute. » Il n'a pas rĂ©pondu. J'ai pensĂ© alors que je n'aurais pas dĂ» lui dire cela. En somme, je n'avais pas Ă m'excuser. C'Ă©tait plutĂŽt Ă lui de me prĂ©senter ses condolĂ©ances. Mais il le fera sans doute aprĂšs-demain, quand il me verra en deuil. Pour le moment, c'est un peu comme si maman n'Ă©tait pas morte. AprĂšs l'enterrement, au contraire, ce sera une affaire classĂ©e et tout aura revĂȘtu une allure plus pris l'autobus Ă deux heures. Il faisait trĂšs chaud. J'ai mangĂ© au restaurant, chez CĂ©leste, comme d'habitude. Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et CĂ©leste m'a dit On n'a qu'une mĂšre. » Quand je suis parti, ils m'ont accompagnĂ© Ă la porte. J'Ă©tais un peu Ă©tourdi parce qu'il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu son oncle, il y a quelques couru pour ne pas manquer le dĂ©part. Cette hĂąte, cette course, c'est Ă cause de tout cela sans doute, ajoutĂ© aux cahots, Ă l'odeur d'essence, Ă la rĂ©verbĂ©ration de la route et du ciel, que je me suis assoupi. J'ai dormi pendant presque tout le trajet. Et quand je me suis rĂ©veillĂ©, j'Ă©tais tassĂ© contre un militaire qui m'a souri et qui m'a demandĂ© si je venais de loin. J'ai dit oui » pour n'avoir plus Ă est Ă deux kilomĂštres du village. J'ai fait le chemin Ă pied. J'ai voulu voir maman tout de suite. Mais le concierge m'a dit qu'il fallait que je rencontre le directeur. Comme il Ă©tait occupĂ©, j'ai attendu un peu. Pendant tout ce temps, le concierge a parlĂ© et ensuite, j'ai vu le directeur il m'a reçu dans son bureau. C'Ă©tait un petit vieux, avec la LĂ©gion d'honneur. Il m'a regardĂ© de ses yeux clairs. Puis il m'a serrĂ© la main qu'il a gardĂ©e si longtemps que je ne savais trop comment la retirer. Il a consultĂ© un dossier et m'a dit Mme Meursault est entrĂ©e ici il y a trois ans. Vous Ă©tiez son seul soutien. » J'ai cru qu'il me reprochait quelque chose et j'ai commencĂ© Ă lui expliquer. Mais il m'a interrompu Vous n'avez pas Ă vous justifier, mon cher enfant. J'ai lu le dossier de votre mĂšre. Vous ne pouviez subvenir Ă ses besoins. Il lui fallait une garde. Vos salaires sont modestes. Et tout compte fait, elle Ă©tait plus heureuse ici. » J'ai dit Oui, monsieur le Directeur. » Il a ajoutĂ© Vous savez, elle avait des amis, des gens de son Ăąge. Elle pouvait partager avec eux des intĂ©rĂȘts qui sont d'un autre temps. Vous ĂȘtes jeune et elle devait s'ennuyer avec vous. »C'Ă©tait vrai. Quand elle Ă©tait Ă la maison, maman passait son temps Ă me suivre des yeux en silence. Dans les premiers jours oĂč elle Ă©tait Ă l'asile, elle pleurait souvent. Mais c'Ă©tait Ă cause de l'habitude. Au bout de quelques mois, elle aurait pleurĂ© si on l'avait retirĂ©e de l'asile. Toujours Ă cause de l'habitude. C'est un peu pour cela que dans la derniĂšre annĂ©e je n'y suis presque plus allĂ©. Et aussi parce que cela me prenait mon dimanche - sans compter l'effort pour aller Ă l'autobus, prendre des tickets et faire deux heures de directeur m'a encore parlĂ©. Mais je ne l'Ă©coutais presque plus. Puis il m'a dit Je suppose que vous voulez voir votre mĂšre. » Je me suis levĂ© sans rien dire et il m'a prĂ©cĂ©dĂ© vers la porte. Dans l'escalier, il m'a expliquĂ© Nous l'avons transportĂ©e dans notre petite morgue. Pour ne pas impressionner les autres. Chaque fois qu'un pensionnaire meurt, les autres sont nerveux pendant deux ou trois jours. Et ça rend le service difficile. » Nous avons traversĂ© une cour oĂč il y avait beaucoup de vieillards, bavardant par petits groupes. Ils se taisaient quand nous passions. Et derriĂšre nous, les conversations reprenaient. On aurait dit d'un jacassement assourdi de perruches. Ă la porte d'un petit bĂątiment, le directeur m'a quittĂ© Je vous laisse, monsieur Meursault. Je suis Ă votre disposition dans mon bureau. En principe, l'enterrement est fixĂ© Ă dix heures du matin. Nous avons pensĂ© que vous pourrez ainsi veiller la disparue. Un dernier mot votre mĂšre a, paraĂźt-il, exprimĂ© souvent Ă ses compagnons le dĂ©sir d'ĂȘtre enterrĂ©e religieusement. J'ai pris sur moi, de faire le nĂ©cessaire. Mais je voulais vous en informer. » Je l'ai remerciĂ©. Maman, sans ĂȘtre athĂ©e, n'avait jamais pensĂ© de son vivant Ă la suis entrĂ©. C'Ă©tait une salle trĂšs claire, blanchie Ă la chaux et recouverte d'une verriĂšre. Elle Ă©tait meublĂ©e de chaises et de chevalets en forme de X. Deux d'entre eux, au centre, supportaient une biĂšre recouverte de son couvercle. On voyait seulement des vis brillantes, Ă peine enfoncĂ©es, se dĂ©tacher sur les planches passĂ©es au brou de noix. PrĂšs de la biĂšre, il y avait une infirmiĂšre arabe en sarrau blanc, un foulard de couleur vive sur la ce moment, le concierge est entrĂ© derriĂšre mon dos. Il avait dĂ» courir. Il a bĂ©gayĂ© un peu On l'a couverte, mais je dois dĂ©visser la biĂšre pour que vous puissiez la voir. » Il s'approchait de la biĂšre quand je l'ai arrĂȘtĂ©. Il m'a dit Vous ne voulez pas ? » J'ai rĂ©pondu Non. » Il s'est interrompu et j'Ă©tais gĂȘnĂ© parce que je sentais que je n'aurais pas dĂ» dire cela. Au bout d'un moment, il m'a regardĂ© et il m'a demandĂ© Pourquoi ? » mais sans reproche, comme s'il s'informait. J'ai dit Je ne sais pas. » Alors tortillant sa moustache blanche, il a dĂ©clarĂ© sans me regarder Je comprends. » Il avait de beaux yeux, bleu clair, et un teint un peu rouge. Il m'a donnĂ© une chaise et lui-mĂȘme s'est assis un peu en arriĂšre de moi. La garde s'est levĂ©e et s'est dirigĂ©e vers la sortie. Ă ce moment, le concierge m'a dit C'est un chancre qu'elle a. » Comme je ne comprenais pas, j'ai regardĂ© l'infirmiĂšre et j'ai vu qu'elle portait sous les yeux un bandeau qui faisait le tour de la tĂȘte. Ă la hauteur du nez, le bandeau Ă©tait plat. On ne voyait que la blancheur du bandeau dans son elle est partie, le concierge a parlĂ© Je vais vous laisser seul. » Je ne sais pas quel geste j'ai fait, mais il est restĂ©, debout derriĂšre moi. Cette prĂ©sence dans mon dos me gĂȘnait. La piĂšce Ă©tait pleine d'une belle lumiĂšre de fin d'aprĂšs-midi. Deux frelons bourdonnaient contre la verriĂšre. Et je sentais le sommeil me gagner. J'ai dit au concierge, sans me retourner vers lui Il y a longtemps que vous ĂȘtes lĂ ? »ImmĂ©diatement il a rĂ©pondu Cinq ans » - comme s'il avait attendu depuis toujours ma il a beaucoup bavardĂ©. On l'aurait bien Ă©tonnĂ© en lui disant qu'il finirait concierge Ă l'asile de Marengo. Il avait soixante-quatre ans et il Ă©tait Parisien. Ă ce moment je l'ai interrompu Ah, vous n'ĂȘtes pas d'ici ? » Puis je me suis souvenu qu'avant de me conduire chez le directeur, il m'avait parlĂ© de maman. Il m'avait dit qu'il fallait l'enterrer trĂšs vite, parce que dans la plaine il faisait chaud, surtout dans ce pays. C'est alors qu'il m'avait appris qu'il avait vĂ©cu Ă Paris et qu'il avait du mal Ă l'oublier. Ă Paris, on reste avec le mort trois, quatre jours quelquefois. Ici on n'a pas le temps, on ne s'est pas fait Ă l'idĂ©e que dĂ©jĂ il faut courir derriĂšre le corbillard. Sa femme lui avait dit alors Tais-toi, ce ne sont pas des choses Ă raconter Ă Monsieur. »Le vieux avait rougi et s'Ă©tait excusĂ©. J'Ă©tais intervenu pour dire Mais non. Mais non. » Je trouvais ce qu'il racontait juste et la petite morgue, il m'a appris qu'il Ă©tait entrĂ© Ă l'asile comme indigent. Comme il se sentait valide, il s'Ă©tait proposĂ© pour cette place de concierge. Je lui ai fait remarquer qu'en somme il Ă©tait un pensionnaire. Il m'a dit que non. J'avais dĂ©jĂ Ă©tĂ© frappĂ© par la façon qu'il avait de dire ils », les autres », et plus rarement les vieux », en parlant des pensionnaires dont certains n'Ă©taient pas plus ĂągĂ©s que lui. Mais naturellement, ce n'Ă©tait pas la mĂȘme chose. Lui Ă©tait concierge, et, dans une certaine mesure, il avait des droits sur garde est entrĂ©e Ă ce moment. Le soir Ă©tait tombĂ© brusquement. TrĂšs vite, la nuit s'Ă©tait Ă©paissie au-dessus de la verriĂšre. Le concierge a tournĂ© le commutateur et j'ai Ă©tĂ© aveuglĂ© par l'Ă©claboussement soudain de la lumiĂšre. Il m'a invitĂ© Ă me rendre au rĂ©fectoire pour dĂźner. Mais je n'avais pas faim. Il m'a offert alors d'apporter une tasse de cafĂ© au lait. Comme j'aime beaucoup le cafĂ© au lait, j'ai acceptĂ© et il est revenu un moment aprĂšs avec un plateau. J'ai bu. J'ai eu alors envie de fumer. Mais j'ai hĂ©sitĂ© parce que je ne savais pas si je pouvais le faire devant maman. J'ai rĂ©flĂ©chi, cela n'avait aucune importance. J'ai offert une cigarette au concierge et nous avons un moment, il m'a dit Vous savez, les amis de Madame votre mĂšre vont venir la veiller aussi. C'est la coutume. Il faut que j'aille chercher des chaises et du cafĂ© noir. » Je lui ai demandĂ© si on pouvait Ă©teindre une des lampes. L'Ă©clat de la lumiĂšre sur les murs blancs me fatiguait. Il m'a dit que ce n'Ă©tait pas possible. L'installation Ă©tait ainsi faite c'Ă©tait tout ou rien. Je n'ai plus beaucoup fait attention Ă lui. Il est sorti, est revenu, a disposĂ© des chaises. Sur l'une d'elles, il a empilĂ© des tasses autour d'une cafetiĂšre. Puis il s'est assis en face de moi, de l'autre cĂŽtĂ© de maman. La garde Ă©tait aussi au fond, le dos tournĂ©. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait. Mais au mouvement de ses bras, je pouvais croire qu'elle tricotait. Il faisait doux, le cafĂ© m'avait rĂ©chauffĂ© et par la porte ouverte entrait une odeur de nuit et de fleurs. Je crois que j'ai somnolĂ© un un frĂŽlement qui m'a rĂ©veillĂ©. D'avoir fermĂ© les yeux, la piĂšce m'a paru encore plus Ă©clatante de blancheur. Devant moi, il n'y avait pas une ombre et chaque objet, chaque angle, toutes les courbes se dessinaient avec une puretĂ© blessante pour les yeux. C'est Ă ce moment que les amis de maman sont entrĂ©s. Ils Ă©taient en tout une dizaine, et ils glissaient en silence dans cette lumiĂšre aveuglante. Ils se sont assis sans qu'aucune chaise grinçùt. Je les voyais comme je n'ai jamais vu personne et pas un dĂ©tail de leurs visages ou de leurs habits ne m'Ă©chappait. Pourtant je ne les entendais pas et j'avais peine Ă croire Ă leur rĂ©alitĂ©. Presque toutes les femmes portaient un tablier et le cordon qui les serrait Ă la taille faisait encore ressortir leur ventre bombĂ©. Je n'avais encore jamais remarquĂ© Ă quel point les vieilles femmes pouvaient avoir du ventre. Les hommes Ă©taient presque tous trĂšs maigres et tenaient des cannes. Ce qui me frappait dans leurs visages, c'est que je ne voyais pas leurs yeux, mais seulement une lueur sans Ă©clat au milieu d'un nid de rides. Lorsqu'ils se sont assis, la plupart m'ont regardĂ© et ont hochĂ© la tĂȘte avec gĂȘne, les lĂšvres toutes mangĂ©es par leur bouche sans dents, sans que je puisse savoir s'ils me saluaient ou s'il s'agissait d'un tic. Je crois plutĂŽt qu'ils me saluaient. C'est Ă ce moment que je me suis aperçu qu'ils Ă©taient tous assis en face de moi Ă dodeliner de la tĂȘte, autour du concierge. J'ai eu un moment l'impression ridicule qu'ils Ă©taient lĂ pour me aprĂšs, une des femmes s'est mise Ă pleurer. Elle Ă©tait au second rang, cachĂ©e par une de ses compagnes, et je la voyais mal. Elle pleurait Ă petits cris, rĂ©guliĂšrement il me semblait qu'elle ne s'arrĂȘterait jamais. Les autres avaient l'air de ne pas l'entendre. Ils Ă©taient affaissĂ©s, mornes et silencieux. Ils regardaient la biĂšre ou leur canne, ou n'importe quoi, mais ils ne regardaient que cela. La femme pleurait toujours. J'Ă©tais trĂšs Ă©tonnĂ© parce que je ne la connaissais pas. J'aurais voulu ne plus l'entendre. Pourtant je n'osais pas le lui dire. Le concierge s'est penchĂ© vers elle, lui a parlĂ©, mais elle a secouĂ© la tĂȘte, a bredouillĂ© quelque chose, et a continuĂ© de pleurer avec la mĂȘme rĂ©gularitĂ©. Le concierge est venu alors de mon cĂŽtĂ©. Il s'est assis prĂšs de moi. AprĂšs un assez long moment, il m'a renseignĂ© sans me regarder Elle Ă©tait trĂšs liĂ©e avec Madame votre mĂšre. Elle dit que c'Ă©tait sa seule amie ici et que maintenant elle n'a plus personne. »Nous sommes restĂ©s un long moment ainsi. Les soupirs et les sanglots de la femme se faisaient plus rares. Elle reniflait beaucoup. Elle s'est tue enfin. Je n'avais plus sommeil, mais j'Ă©tais fatiguĂ© et les reins me faisaient mal. Ă prĂ©sent c'Ă©tait le silence de tous ces gens qui m'Ă©tait pĂ©nible. De temps en temps seulement, j'entendais un bruit singulier et je ne pouvais comprendre ce qu'il Ă©tait. Ă la longue, j'ai fini par deviner que quelques-uns d'entre les vieillards suçaient l'intĂ©rieur de leurs joues et laissaient Ă©chapper ces clappements bizarres. Ils ne s'en apercevaient pas tant ils Ă©taient absorbĂ©s dans leurs pensĂ©es. J'avais mĂȘme l'impression que cette morte, couchĂ©e au milieu d'eux, ne signifiait rien Ă leurs yeux. Mais je crois maintenant que c'Ă©tait une impression avons tous pris du cafĂ©, servi par le concierge. Ensuite, je ne sais plus. La nuit a passĂ©. Je me souviens qu'Ă un moment j'ai ouvert les yeux et j'ai vu que les vieillards dormaient tassĂ©s sur eux-mĂȘmes, Ă l'exception d'un seul qui, le menton sur le dos de ses mains agrippĂ©es Ă la canne, me regardait fixement comme s'il n'attendait que mon rĂ©veil. Puis j'ai encore dormi. Je me suis rĂ©veillĂ© parce que j'avais de plus en plus mal aux reins. Le jour glissait sur la verriĂšre. Peu aprĂšs, l'un des vieillards s'est rĂ©veillĂ© et il a beaucoup toussĂ©. Il crachait dans un grand mouchoir Ă carreaux et chacun de ses crachats Ă©tait comme un arrachement. Il a rĂ©veillĂ© les autres et le concierge a dit qu'ils devraient partir. Ils se sont levĂ©s. Cette veille incommode leur avait fait des visages de cendre. En sortant, et Ă mon grand Ă©tonnement, ils m'ont tous serrĂ© la main - comme si cette nuit oĂč nous n'avions pas Ă©changĂ© un mot avait accru notre fatiguĂ©. Le concierge m'a conduit chez lui et j'ai pu faire un peu de toilette. J'ai encore pris du cafĂ© au lait qui Ă©tait trĂšs bon. Quand je suis sorti, le jour Ă©tait complĂštement levĂ©. Au-dessus des collines qui sĂ©parent Marengo de la mer, le ciel Ă©tait plein de rougeurs. Et le vent qui passait au-dessus d'elles apportait ici une odeur de sel. C'Ă©tait une belle journĂ©e qui se prĂ©parait. Il y avait longtemps que j'Ă©tais allĂ© Ă la campagne et je sentais quel plaisir j'aurais pris Ă me promener s'il n'y avait pas eu j'ai attendu dans la cour, sous un platane. Je respirais l'odeur de la terre fraĂźche et je n'avais plus sommeil. J'ai pensĂ© aux collĂšgues du bureau. Ă cette heure, ils se levaient pour aller au travail pour moi c'Ă©tait toujours l'heure la plus difficile. J'ai encore rĂ©flĂ©chi un peu Ă ces choses, mais j'ai Ă©tĂ© distrait par une cloche qui sonnait Ă l'intĂ©rieur, des bĂątiments. Il y a eu du remue-mĂ©nage derriĂšre les fenĂȘtres, puis tout s'est calmĂ©. Le soleil Ă©tait montĂ© un peu plus dans le ciel il commençait Ă chauffer mes pieds. Le concierge a traversĂ© la cour et m'a dit que le directeur me demandait. Je suis allĂ© dans son bureau. Il m'a fait signer un certain nombre de piĂšces. J'ai vu qu'il Ă©tait habillĂ© de noir avec un pantalon rayĂ©. Il a pris le tĂ©lĂ©phone en main et il m'a interpellĂ© Les employĂ©s des pompes funĂšbres sont lĂ depuis un moment. Je vais leur demander de venir fermer la biĂšre. Voulez-vous auparavant voir votre mĂšre une derniĂšre fois ? » J'ai dit non. Il a ordonnĂ© dans le tĂ©lĂ©phone en baissant la voix Figeac, dites aux hommes qu'ils peuvent aller. »Ensuite il m'a dit qu'il assisterait Ă l'enterrement et je l'ai remerciĂ©. Il s'est assis derriĂšre son bureau, il a croisĂ© ses petites jambes. Il m'a averti que moi et lui serions seuls, avec l'infirmiĂšre de service. En principe, les pensionnaires ne devaient pas assister aux enterrements. Il les laissait seulement veiller C'est une question d'humanitĂ© », a-t-il remarquĂ©. Mais en l'espĂšce, il avait accordĂ© l'autorisation de suivre le convoi Ă un vieil ami de maman Thomas PĂ©rez. » Ici, le directeur a souri. Il m'a dit Vous comprenez, c'est un sentiment un peu puĂ©ril. Mais lui et votre mĂšre ne se quittaient guĂšre. Ă l'asile, on les plaisantait, on disait Ă PĂ©rez C'est votre fiancĂ©e. » Lui riait. Ăa leur faisait plaisir. Et le fait est que la mort de Mme Meursault l'a beaucoup affectĂ©. Je n'ai pas cru devoir lui refuser l'autorisation. Mais sur le conseil du mĂ©decin visiteur, je lui ai interdit la veillĂ©e d'hier. »Nous sommes restĂ©s silencieux assez longtemps. Le directeur s'est levĂ© et a regardĂ© par la fenĂȘtre de son bureau. Ă un moment, il a observĂ© VoilĂ dĂ©jĂ le curĂ© de Marengo. Il est en avance. » Il m'a prĂ©venu qu'il faudrait au moins trois quarts d'heure de marche pour aller Ă l'Ă©glise qui est au village mĂȘme. Nous sommes descendus. Devant le bĂątiment, il y avait le curĂ© et deux enfants de chĆur. L'un de ceux-ci tenait un encensoir et le prĂȘtre se baissait vers lui pour rĂ©gler la longueur de la chaĂźne d'argent. Quand nous sommes arrivĂ©s, le prĂȘtre s'est relevĂ©. Il m'a appelĂ© mon fils » et m'a dit quelques mots. Il est entrĂ© ; je l'ai vu d'un coup que les vis de la biĂšre Ă©taient enfoncĂ©es et qu'il y avait quatre hommes noirs dans la piĂšce. J'ai entendu en mĂȘme temps le directeur me dire que la voiture attendait sur la route et le prĂȘtre commencer ses priĂšres. Ă partir de ce moment, tout est allĂ© trĂšs vite. Les hommes se sont avancĂ©s vers la biĂšre avec un drap. Le prĂȘtre, ses suivants, le directeur et moi-mĂȘme sommes sortis. Devant la porte, il y avait une dame que je ne connaissais pas M. Meursault », a dit le directeur. Je n'ai pas entendu le nom de cette dame et j'ai compris seulement qu'elle Ă©tait infirmiĂšre dĂ©lĂ©guĂ©e. Elle a inclinĂ© sans un sourire son visage osseux et long. Puis nous nous sommes rangĂ©s pour laisser passer le corps. Nous avons suivi les porteurs et nous sommes sortis de l'asile. Devant la porte, il y avait la voiture. Vernie, oblongue et brillante, elle faisait penser Ă un plumier. Ă cĂŽtĂ© d'elle, il y avait l'ordonnateur, petit homme aux habits ridicules, et un vieillard Ă l'allure empruntĂ©e. J'ai compris que c'Ă©tait M. PĂ©rez. Il avait un feutre mou Ă la calotte ronde et aux ailes larges il l'a ĂŽtĂ© quand la biĂšre a passĂ© la porte, un costume dont le pantalon tirebouchonnait sur les souliers et un nĆud d'Ă©toffe noire trop petit pour sa chemise Ă grand col blanc. Ses lĂšvres tremblaient au-dessous d'un nez truffĂ© de points noirs. Ses cheveux blancs assez fins laissaient passer de curieuses oreilles ballantes et mal ourlĂ©es dont la couleur rouge sang dans ce visage blafard me frappa. L'ordonnateur nous donna nos places. Le curĂ© marchait en avant, puis la voiture. Autour d'elle, les quatre hommes. DerriĂšre, le directeur, moi-mĂȘme et, fermant la marche, l'infirmiĂšre dĂ©lĂ©guĂ©e et M. ciel Ă©tait dĂ©jĂ plein de soleil. Il commençait Ă peser sur la terre et la chaleur augmentait rapidement. Je ne sais pas pourquoi nous avons attendu assez longtemps avant de nous mettre en marche. J'avais chaud sous mes vĂȘtements sombres. Le petit vieux, qui s'Ă©tait recouvert, a de nouveau ĂŽtĂ© son chapeau. Je m'Ă©tais un peu tournĂ© de son cĂŽtĂ©, et je le regardais lorsque le directeur m'a parlĂ© de lui. Il m'a dit que souvent ma mĂšre et M. PĂ©rez allaient se promener le soir jusqu'au village, accompagnĂ©s d'une infirmiĂšre. Je regardais la campagne autour de moi. Ă travers les lignes de cyprĂšs qui menaient aux collines prĂšs du ciel, cette terre rousse et verte, ces maisons rares et bien dessinĂ©es, je comprenais maman. Le soir, dans ce pays, devait ĂȘtre comme une trĂȘve mĂ©lancolique. Aujourd'hui, le soleil dĂ©bordant qui faisait tressaillir le paysage le rendait inhumain et nous sommes mis en marche. C'est Ă ce moment que je me suis aperçu que PĂ©rez claudiquait lĂ©gĂšrement. La voiture, peu Ă peu, prenait de la vitesse et le vieillard perdait du terrain. L'un des hommes qui entouraient la voiture s'Ă©tait laissĂ© dĂ©passer aussi et marchait maintenant Ă mon niveau. J'Ă©tais surpris de la rapiditĂ© avec laquelle le soleil montait dans le ciel. Je me suis aperçu qu'il y avait dĂ©jĂ longtemps que la campagne bourdonnait du chant des insectes et de crĂ©pitements d'herbe. La sueur coulait sur mes joues. Comme je n'avais pas de chapeau, je m'Ă©ventais avec mon mouchoir. L'employĂ© des pompes funĂšbres m'a dit alors quelque chose que je n'ai pas entendu. En mĂȘme temps, il s'essuyait le crĂąne avec un mouchoir qu'il tenait dans sa main gauche, la main droite soulevant le bord de sa casquette. Je lui ai dit Comment ? »Il a rĂ©pĂ©tĂ© en montrant le ciel Ăa tape. » J'ai dit Oui. »Un peu aprĂšs, il m'a demandĂ©e C'est votre mĂšre qui est lĂ ? » J'ai encore dit Oui. » Elle Ă©tait vieille ? » J'ai rĂ©pondu Comme ça », parce que je ne savais pas le chiffre exact. Ensuite, il s'est tu. Je me suis retournĂ© et j'ai vu le vieux PĂ©rez Ă une cinquantaine de mĂštres derriĂšre nous. Il se hĂątait en balançant son feutre Ă bout de bras. J'ai regardĂ© aussi le directeur. Il marchait avec beaucoup de dignitĂ©, sans un geste inutile. Quelques gouttes de sueur perlaient sur son front, mais il ne les essuyait me semblait que le convoi marchait un peu plus vite. Autour de moi, c'Ă©tait toujours la mĂȘme campagne lumineuse gorgĂ©e de soleil. L'Ă©clat du ciel Ă©tait insoutenable. Ă un moment donnĂ©, nous sommes passĂ©s sur une partie de la route qui avait Ă©tĂ© rĂ©cemment refaite. Le soleil avait fait Ă©clater le goudron. Les pieds y enfonçaient et laissaient ouverte sa pulpe brillante. Au-dessus de la voiture, le chapeau du cocher, en cuir bouilli, semblait avoir Ă©tĂ© pĂ©tri dans cette boue noire. J'Ă©tais un peu perdu entre le ciel bleu et blanc et la monotonie de ces couleurs, noir gluant du goudron ouvert, noir terne des habits, noir laque de la voiture. Tout cela, le soleil, l'odeur de cuir et de crottin de la voiture, celle du vernis et celle de l'encens, la fatigue d'une nuit d'insomnie, me troublait le regard et les idĂ©es. Je me suis retournĂ© une fois de plus PĂ©rez m'a paru trĂšs loin, perdu dans une nuĂ©e de chaleur, puis je ne l'ai plus aperçu. Je l'ai cherchĂ© du regard et j'ai vu qu'il avait quittĂ© la route et pris Ă travers champs. J'ai constatĂ© aussi que devant moi la route tournait. J'ai compris que PĂ©rez qui connaissait le pays coupait au plus court pour nous rattraper. Au tournant il nous avait rejoints. Puis nous l'avons perdu. Il a repris encore Ă travers champs et comme cela plusieurs fois. Moi, je sentais le sang qui me battait aux s'est passĂ© ensuite avec tant de prĂ©cipitation, de certitude et de naturel, que je ne me souviens plus de rien. Une chose seulement Ă l'entrĂ©e du village, l'infirmiĂšre dĂ©lĂ©guĂ©e m'a parlĂ©. Elle avait une voix singuliĂšre qui n'allait pas avec son visage, une voix mĂ©lodieuse et tremblante. Elle m'a dit Si on va doucement, on risque une insolation. Mais si on va trop vite, on est en transpiration et dans l'Ă©glise on attrape un chaud et froid. » Elle avait raison. Il n'y avait pas d'issue. J'ai encore gardĂ© quelques images de cette journĂ©e par exemple, le visage de PĂ©rez quand, pour la derniĂšre fois, il nous a rejoints prĂšs du village. De grosses larmes d'Ă©nervement et de peine ruisselaient sur ses joues. Mais, Ă cause des rides, elles ne s'Ă©coulaient pas. Elles s'Ă©talaient, se rejoignaient et formaient un vernis d'eau sur ce visage dĂ©truit. Il y a eu encore l'Ă©glise et les villageois sur les trottoirs, les gĂ©raniums rouges sur les tombes du cimetiĂšre, l'Ă©vanouissement de PĂ©rez on eĂ»t dit un pantin disloquĂ©, la terre couleur de sang qui roulait sur la biĂšre de maman, la chair blanche des racines qui s'y mĂȘlaient, encore du monde, des voix, le village, l'attente devant un cafĂ©, l'incessant ronflement du moteur, et ma joie quand l'autobus est entrĂ© dans le nid de lumiĂšres d'Alger et que j'ai pensĂ© que j'allais me coucher et dormir pendant douze heures. 1Corinthiens 12 20 Maintenant donc il y a plusieurs membres, et un seul corps. 21 L'oeil ne peut pas dire Ă la main: Je n'ai pas besoin de toi; ni la tĂȘte dire aux pieds: Je n'ai pas besoin de vous. 22 Mais bien plutĂŽt, les membres du corps qui ArrivĂ© dimanche chez les Bleus, en remplacement de RaphaĂ«l Varane, Ibrahima KonatĂ© a fait souffler un vent de fraĂźcheur lors de sa confĂ©rence de presse de prĂ©sentation. Pas gĂȘnĂ© par les questions des journalistes, le dĂ©fenseur central de Liverpool a rĂ©pondu avec beaucoup de spontanĂ©itĂ© et de franchise. Loin du discours formatĂ© ou empruntĂ© de certains de ses avez-vous appris votre convocation en Ă©quipe de France et vos premiĂšres heures en Bleu ?IBRAHIMA KONATĂ. JâĂ©tais sur un bateau en GrĂšce avec des amis. Je cherchais mon tĂ©lĂ©phone, et jâai vu deux appels manquĂ©s. Je ne connaissais pas le numĂ©ro, donc jâai rappelĂ©. Malheureusement, je nâai pas pu appeler ma famille car câĂ©tait confidentiel. Ensuite quand la nouvelle a Ă©tĂ© rendue publique, câĂ©tait une Ă©norme fiertĂ©. Le groupe mâa trĂšs bien accueilli. Il y a beaucoup de joueurs que je connais depuis longtemps. Donc lâintĂ©gration a Ă©tĂ© trĂšs y a un peu plus dâune semaine entre la finale de la Ligue des champions et aujourdâhui. Est-ce que vous vous sentez prĂȘt Ă jouer dĂšs maintenant ?Jâai eu la chance de jouer la Ligue des champions, contrairement Ă dâautres joueurs qui ont coupĂ© avant moi. Donc jâai encore un peu de rythme. Est-ce que je suis prĂȘt ou pas ? Si je dois jouer, je suis un soldat donc je le ferai pour le avez vĂ©cu une saison trĂšs riche avec un transfert Ă Liverpool, une finale de Ligue des champions et maintenant votre premiĂšre convocation en Bleu. Est-ce facile Ă digĂ©rer ?Ah non ! Je disais au coach, que cette saison Ă©tait impressionnante Ă©motionnellement en tant que jeune joueur. Et lĂ je suis en vacances, je dĂ©cide de tout couper et on mâappelle pour lâĂ©quipe de France A. Mais on est toujours prĂȘts, car câest notre que la Coupe du monde au Qatar est un objectif pour vous ?Bien sĂ»r que câest un objectif. Je vous le disais avant la finale de la Ligue des champions, mais je ne pensais pas que ce serait aussi rapide. Mais ce nâest pas non plus une fin en soi. Il faut vivre le truc et pas trop avez un CV important mais le public en France vous connaĂźt peu. Comment vous dĂ©cririez ce que vous a apportĂ© Van Dijk Ă Liverpool ?Il nây a pas que Van Dijk qui mâa apportĂ©. Il y a tout le groupe, notamment Matip ou Joe Gomez. Ce sont trois joueurs dâexpĂ©rience, mĂȘme si Van Dijk câest le meilleur dĂ©fenseur central du monde selon moi. Il me donne beaucoup de conseils mais il me laisse aussi jouer mon jeu, car il a confiance dans mes qualitĂ©s. Parfois je regarde ses statistiques, et je vois quâil court moins que moi. Jâai compris que câest juste son placement. Donc jâessaie que de mâinspirer de sont vos qualitĂ©s ?Il rigole. Je suis un joueur qui va vite, et je nâai pas peur balle au Pavard et Lucas Hernandez sont arrivĂ©s juste avant la Coupe du monde 2018. Est-ce que vous ĂȘtes conscient que les premiĂšres en Bleu peuvent ĂȘtre dĂ©terminantes ?Les premiĂšres peuvent ĂȘtre dĂ©terminantes, mais je ne me mets pas de pression. Il va y avoir une saison Ă dĂ©buter avant le Qatar, donc il va falloir ĂȘtre performant et je vais essayer de faire partie de ce groupe au dĂ©but de la saison que vous pensez que votre trajectoire aurait Ă©tĂ© la mĂȘme si vous nâĂ©tiez pas parti si tĂŽt Ă lâĂ©tranger ?Aucune idĂ©e. Mais jâai pris la dĂ©cision de partir Ă lâĂ©tranger assez tĂŽt et ça mâa plutĂŽt rĂ©ussi. LâAllemagne mâa beaucoup aidĂ©, car Leipzig est un club qui demande beaucoup de rigueur et dâexigence. Sâadapter Ă une nouvelle culture a nĂ©cessitĂ© que je sois encore plus sĂ©rieux que si jâĂ©tais restĂ© dans mon vous dĂ©finiriez votre caractĂšre ? On vous voit beaucoup rire aujourdâhui, câest pour Ă©vacuer la pression ?Non, je suis toujours comme ça. Vous pouvez demander Ă nâimporte qui. Jâessaie dâapporter de la joie de vivre. Je suis en bonne santĂ©, je suis en Ă©quipe de France, pourquoi je tirerais la tĂȘte ? Il nây a aucune vivez-vous le football ? Est-ce que vous regardez beaucoup de matchs ?Avant je ne regardais aucun match. Les joueurs de Leipzig, notamment Nordi Mukiele, me le reprochaient beaucoup. Mais jâai compris que câĂ©tait important quand jâĂ©changeais avec Van Dijk avant les matchs et quâil me parlait des attaquants et de leur jeu. Je me suis dit quâil fallait aussi que je regarde les matchs. Parfois on a envie de penser Ă autre chose, mais câest que vous avez des modĂšles dans le football ?Van Dijk et Sergio Ramos pour sa grinta. CâĂ©tait un leader positif au Real Madrid sur le terrain et il marquait beaucoup de buts. Aujourdâhui, il est un peu gĂȘnĂ© par ses blessures. Donc jâessaie de mâinspirer de ces gardez une attache forte avec votre quartier de la Roquette Ă Paris. Pourquoi et quel est votre rapport avec les jeunes ?Jâaimerais ĂȘtre une source dâinspiration pour les plus jeunes. Si ça peut les inspirer et croire en ce quâils veulent faire. Ce sera un point trĂšs positif pour moi. Ensuite, je nâai pas vu grandir mes amis, donc si je peux leur donner un peu de ce que je vis quand je reviens, câest le saison, vous vous ĂȘtes distinguĂ© sur votre capacitĂ© Ă vous montrer dĂ©cisif sur le plan offensif. Est-ce que vous avez toujours eu ça en vous ?Je nâai pas toujours eu ça en moi. Je ne croyais pas vraiment en moi sur les corners. Jâai Ă©changĂ© avec Thiago Alcantara, et il mâa dit Quand tu montes sur les corners, il faut que tu croies dans ton gabarit. Tu peux faire mal ». Jâen ai mis un et ensuite ça a suivi. .