đŸ„ˆ L Homme Est Le Chef De La Femme

Levolet Plaisirs de la table du Festival MontrĂ©al en lumiĂšre commence aujourd'hui et se poursuivra jusqu'au 27 fĂ©vrier. Il met cette annĂ©e les femmes chefs Ă  l'honneur. Pendant ces 11 jours, 11 cheffes rĂ©pondront ici aux trois mĂȘmes questions – la prĂ©sidente d'honneur Anne-Sophie Pic l'a fait il y a quelques jours en avant-premiĂšre. Texte Les droits de la femme Homme, es-tu capable d’ĂȘtre juste ? C’est une femme qui t’en fait la question ; tu ne lui ĂŽteras pas moins ce droit. Dis-moi ? Qui t’a donnĂ© le souverain empire d’opprimer mon sexe ? Ta force ? Tes talents ? Observe le crĂ©ateur dans sa sagesse ; parcours la nature dans sa grandeur, dont tu sembles vouloir te rapprocher, et donne-moi, si tu l’oses, l’exemple de cet empire tyrannique. Remonte aux animaux, consulte les Ă©lĂ©ments, Ă©tudie les vĂ©gĂ©taux, jette enfin un coup d’Ɠil sur toutes les modifications de la matiĂšre organisĂ©e ; et rends-toi Ă  l’évidence quand je t’en offre les moyens. Cherche, fouille et distingue, si tu le peux, les sexes dans l’administration de la nature. Partout, tu les trouveras confondus, partout ils coopĂšrent avec un ensemble harmonieux Ă  ce chef d’Ɠuvre immortel. L’homme seul s’est fagotĂ© un principe de cette exception. Bizarre, aveugle, boursouflĂ© de sciences et dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, dans ce siĂšcle de lumiĂšres et de sagacitĂ©, dans l’ignorance la plus crasse, il veut commander en despote sur un sexe qui a reçu toutes les facultĂ©s intellectuelles ; il prĂ©tend jouir de la RĂ©volution, et rĂ©clamer ses droits Ă  l’égalitĂ©, pour ne rien dire de plus. La dĂ©claration des droits de la femme et de la citoyenne, Olympe de Gouge, 1791 Introduction La RĂ©volution française constitue un bouleversement politique fondamental dans la sociĂ©tĂ© française, mettant fin Ă  lÊŒ Ancien RĂ©gime et aux privilĂšges de l’aristocratie française sur les autres classes sociales. Cependant d’un point de vue sociĂ©tal, les droits des femmes n’évoluent pas, laissant la femme Ă  un statut d’infĂ©rioritĂ© par rapport Ă  l’ʌhomme. Olympe de Gouge est considĂ©rĂ©e comme l’une des premiĂšres militantes fĂ©ministes. En sʌ’appuyant sur l’universalitĂ© de la dĂ©claration des droits de lʌ’homme, elle rĂ©clame une Ă©galitĂ© femme-homme pour libĂ©rer la femme de sa servitude domestique Ă  laquelle elle est cantonnĂ©e. Elle se livre Ă  un pastiche de la dĂ©claration des droits de l’homme en Ă©crivant celle de la femme et de la citoyenne. Dans un texte prĂ©faciel pamphlĂ©taire intitulĂ© les droits de la femme», nous verrons comment Olympe de Gouge dĂ©fend la cause des femmes en sʌ’attaquant Ă  l’ʌhomme. PremiĂšre partie l’auteure exhorte la femme Ă  ĂȘtre Ă©clairĂ©e par les principes de la philosophie des LumiĂšres pour se libĂ©rer du joug des hommes Femme, rĂ©veille-toi !
 injuste envers sa compagne ». Le texte s’ouvre sur une apostrophe au destinataire du discours. À noter la prĂ©sence de lʌ’invocation lyrique λ qui donne un souffle passionnĂ© aux mots de lʌ’auteure. Le texte repose sur lʌ’allĂ©gorie de la caverne du philosophe grec Platon. Cette partie du texte invite la femme Ă  se rĂ©veiller, Ă  sortir des tĂ©nĂšbres dans lesquelles elle vit pour accĂ©der Ă  la vĂ©ritĂ© grĂące Ă  la mĂ©taphore du flambeau de la vĂ©ritĂ© ». À noter l’énumĂ©ration des caractĂ©ristiques de l’intolĂ©rance prĂ©jugĂ©s, fanatisme, superstitions, mensonges. Le paragraphe est constituĂ© de pĂ©riphrases mĂ©taphoriques comme le tocsin de la raison » qui donne au texte une tonalitĂ© Ă©pique et guerriĂšre incitant la femme Ă  entrer en guerre. Le combat fĂ©ministe est universel ». Il transcende la notion de pays et a une dimension politique internationale pour Olympe de Gouge qui ne limite pas sa vision du monde Ă  la France, comme le montre son combat contre l’esclavagisme. Olympe de Gouge cite d’ailleurs lʌ’exemple de lʌ’homme esclave » pour dĂ©signer les citoyens qui se sont arrachĂ©s Ă  la domination de lʌ’absolutisme royal de lÊŒ Ancien RĂ©gime. Cette partie du paragraphe se clĂŽt sur le vocabulaire de lʌ’injustice que subissent les femmes par la faute de l’ʌhomme. DeuxiĂšme partie l’auteure exhorte les femmes Ă  prendre conscience de leur absence de droits dans une sociĂ©tĂ© patriarcale Ô femmes ! 
 -Tout, auriez-vous Ă  rĂ©pondre». S’engage dans cette deuxiĂšme partie du texte un dialogue imaginaire entre lʌ’autrice et les femmes Ă  qui elle sÊŒadresse. À noter que lʌ’autrice passe du singulier au pluriel dans une nouvelle apostrophe. Ce passage au pluriel donne de l’ampleur au texte du point de vue argumentatif. Il est Ă  noter Ă©galement que se poursuit l’allĂ©gorie de la caverne avec lʌ’adjectif aveugles» pour qualifier les femmes qui ne parviennent pas Ă  envisager la possibilitĂ© de se rĂ©volter. Il s’en suit une sĂ©rie de questions rhĂ©toriques qui, encore une fois, exhorte les femmes Ă  prendre conscience de la diffĂ©renciation femme-homme et de l’injustice quʌ’elles subissent. À noter particuliĂšrement l’exemple des noces de Cana JĂ©sus prononce, selon Olympe de Gouge, une phrase misogyne Ă  l’égard de Marie. Gouge montre ainsi quʌ’au commencement de la culture judĂ©o-chrĂ©tienne rĂ©side dĂ©jĂ  lʌ’inĂ©galitĂ© entre homme et femme. TroisiĂšme partie l’ʌhomme, paradoxalement, se fourvoie en se conduisant en despote dans le siĂšcle des LumiĂšres. S’ils s’obstinaient 
 vouloir». Le texte continue par une longue phrase complexe qui s’ouvre par une proposition subordonnĂ©e hypothĂ©tique. Olympe de Gouge imagine, que si les hommes continuent Ă  refuser Ă  l’émancipation des femmes, les femmes doivent s’unir pour combattre. Gouge utilise les outils rhĂ©toriques de la rĂ©pĂ©tition. En effet, le reste de la phrase est constituĂ© d’une sĂ©rie de propositions juxtaposĂ©es qui commencent par des verbes d’action conjuguĂ©s Ă  la deuxiĂšme personne de lʌ’impĂ©ratif opposez», rĂ©unissez-vous», dĂ©ployez» et enfin une derniĂšre proposition coordonnĂ©e au futur simple trĂšs importante car le verbe est voir». Les femmes recouvreront enfin la vue grĂące Ă  leur action politique. Le texte se clĂŽt par une phrase qui rappelle la phrase de Kant sur les lumiĂšres ose de servir de ton propre entendement». Gouge oppose dans cette phrase antithĂ©tique les barriĂšres» et le vouloir» qui manque aux femmes pour s’affranchir» du joug des hommes. On remarquera surtout dans cette derniĂšre partie l’habilitĂ© rhĂ©torique de Gouge Ă  user de pĂ©riphrases mĂ©taphoriques trĂšs expressives comme les Ă©tendards de la philosophie» au sens guerrier, et ces orgueilleux , non serviles adorateurs rampants Ă  vos pieds» qui dʌ’une maniĂšre pĂ©jorative jettent les hommes aux pieds des femmes. CONCLUSION Olympe de Gouge dans cette postface s’adresse, non plus aux hommes comme dans son texte liminaire, mais bien aux femmes quʌ’elle cible comme les rĂ©elles actrices de leur Ă©mancipation du joug patriarcal. L’ʌauteur dĂ©veloppe en filigrane l’allĂ©gorie de la caverne pour dĂ©fendre l’idĂ©e que les femmes demeurent ignorantes de la domination qui s’exerce sur elles et du pouvoir qui rĂ©side en elles pour se soulever contre cette injustice. Le texte semble destinĂ© Ă  ĂȘtre lu devant une assemblĂ©e de femmes, comme il en existait Ă  l’époque. En effet, il a existĂ© pendant la RĂ©volution française des assemblĂ©es de femmes qui se rĂ©unissaient pour lutter pour leurs droits. Olympe de Gouge terminera son parcours guillotinĂ©e sous le rĂ©gime de la Terreur de Robespierre. ThĂ©roigne de MĂ©ricourt, autre figure fĂ©ministe de l’époque, verra Ă©galement son combat s’interrompre par un enfermement Ă  l’asile psychiatrique oĂč elle finira ses jours.
Adulte elle devient parfois une « Femme-Chef », faisant tout marcher « Ă  la baguette » Surtout les hommes, puisqu’elle dĂ©sire les infĂ©rioriser. Comme elle est jalouse de l’homme, elle tente de dresser les autres femmes contre lui. Elle est autoritariste et agressive. Elle mĂ©prise l’authentique fĂ©minitĂ© et dĂ©teste les hommes.
Les jours oĂč les femmes Ă©taient timides sont finis depuis longtemps. Aujourd’hui, elles sont capables de faire face Ă  la vie de la mĂȘme façon que les hommes. Et, cela rend certains trĂšs nerveux ! Donc, si vous ĂȘtes une femme qui peut se vanter d’ĂȘtre une alpha, ne soyez pas surprise si les hommes n’apprĂ©cient pas ça. Mais, est-ce que vous vous demandez si vous ĂȘtes une exception dans cette rĂ©alitĂ© ? Plus besoin de vous posez des questions, voici les 16 signes qui prouvent que vous ĂȘtes une femme alpha intimidante. Les signes d’une femme alpha intimidante pour certains hommes 1. Vous n’avez pas de problĂšme avec l’intimitĂ© Quelque soit le genre d’intimitĂ© auquel elles doivent faire face, les femmes alphas vont le faire de façon courageuse. Cela veut, bien sĂ»r, dire qu’elle ont confiance en elles, dans la chambre et Ă  l’extĂ©rieur de celle-ci. Certains hommes se sentent mal Ă  l’aise lorsqu’ils sont dans une relation avec une femme de ce type. 2. Vous n’avez aucun souci Ă  ĂȘtre la personne en charge Depuis la nuit des temps, ce monde a toujours Ă©tĂ© une sociĂ©tĂ© d’hommes. Ils Ă©taient toujours au sommet mais heureusement il y a eu beaucoup de changements dans ce domaine. Aujourd’hui, les femmes sont rĂ©guliĂšrement aux commandes de la sociĂ©tĂ©, des entreprises et de leur propre vie. Mais, certains hommes ont du mal Ă  accepter ce fait. Avant, les femmes Ă©taient seulement chargĂ©es d’élever les enfants alors qu’aujourd’hui, elles mettent aussi la nourriture sur la table et rĂ©ussissent mĂȘme Ă  prendre soin de leur apparence. 3. Vous connaissez votre valeur Certains hommes pensent encore qu’une femme est incapable de connaĂźtre sa valeur si un mĂąle ne la lui a pas soulignĂ©. Mais, vous ĂȘtes diffĂ©rente, vous savez ce que vous valez et n’avez besoin de personne pour approuver vos qualitĂ©s. C’est trĂšs intimidant ! 4. Vous aimez motiver le sautres Ă  ĂȘtre meilleurs Comme vous ĂȘtes une femme forte, vous savez comment rĂ©gler certaines situations dĂ©licates. Bien sĂ»r, vous n’ĂȘtes pas parfaite mais vous travaillez Ă  devenir la meilleure version possible de vous-mĂȘme. et, vous attendez que les gens qui vous entourent en fassent de mĂȘme. Pourtant, certaines personnes ne rĂ©pondent pas bien Ă  ce genre d’encouragements puisqu’elles veulent ĂȘtre ce qu’elle souhaitent, mĂȘme si cela veut dire vivre dans la mĂ©diocritĂ©. Donc, un homme capable de se mettre au mĂȘme niveau que vous est une personne qui n’a aucun problĂšme Ă  travailler sur elle-mĂȘme. 5. Vous ĂȘtes votre propre hĂ©roĂŻne Vous ĂȘtes l’exemple mĂȘme de la femme indĂ©pendante et vous n’avez besoin de personne pour rĂ©gler vos problĂšmes parce que vous ĂȘtes tout Ă  fait capable de faire cela toute seule. La plupart des hommes s’attendent Ă  ce qu’une femme en dĂ©tresse cherche l’appui ou le secours d’un mĂąle et comme vous n’ĂȘtes pas ce genre d’individu, ils ne savent pas comment se comporter avec vous. 6. Vous n’avez pas besoin d’un homme dans votre vie Lorsqu’on parle de relations amoureuses, les hommes s’attendent Ă  ĂȘtre les personnes dont vous avez besoin. Cette situation leur donne la force et l’assurance d’avoir une valeur. Mais, vous ĂȘtes une femme indĂ©pendante et vous n’avez pas besoin qu’un homme vole Ă  votre secours, tous les deux jours. Vous avez le contrĂŽle complet de votre vie et vous ĂȘtes heureuse, seule. Donc, un homme qui s’attendait Ă  une damoiselle en dĂ©tresse vous trouve intimidante car vous ne lui apportez pas ce sentiment de valeur dont il a tant besoin. Mais, la vĂ©ritĂ© c’est que les hommes, qui cherchent une femme Ă  secourir, ont besoin de celle-ci dans leur vie mais ils ne veulent pas l’admettre. Donc, au lieu de ça, ils prĂ©fĂšrent se comporter comme s’ils savaient tout et qu’ils pouvaient offrir la stabilitĂ© nĂ©cessaire Ă  une partenaire. 7. Vous savez lire les gens En tant que femme forte, vous vous ĂȘtes posĂ© des questions profondes sur votre propre personnalitĂ©. Vous avez dĂ» creuser loin pour dĂ©couvrir qui vous Ă©tiez. Ce niveau d’introspective est rare et cela vous donne un talent particulier vous pouvez lire les gens et comprendre qui ils sont vraiment. Donc, vous pouvez trĂšs facile voir quand quelqu’un vous ment ; les gens n’aiment pas, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, que les autres rĂ©ussissent Ă  voir ce qu’ils essaient de cacher. Les hommes qui cherchent Ă  nouer un lien sentimental avec vous, en particulier. 8. Votre personnalitĂ© est trop forte En tant que femme alpha, vous avez une personnalitĂ© forte et vous dites toujours ce que vous pensez. Vous ĂȘtes capable de vous dĂ©fendre seule et n’avez aucun problĂšme Ă  vous battre pour rĂ©gler les problĂšmes de notre sociĂ©tĂ©, comme l’inĂ©galitĂ© des sexes. Bien Ă©videmment, ceci ne plaĂźt pas toujours aux hommes car ils pensent que les femmes sont plus faibles. Ce n’est, bien sĂ»r, pas le cas ! Certaines hommes refusent donc de s’associer Ă  une partenaire forte, sans se rendre compte que cette qualitĂ© leur est Ă©galement bĂ©nĂ©fique. 9. Vous aimez l’honnĂȘtetĂ© et la vulnĂ©rabilitĂ© Vous ĂȘtes peut-ĂȘtre une femme forte mais vous comprenez l’importance de l’honnĂȘtetĂ© et de la vulnĂ©rabilitĂ©. Vous savez que ces qualitĂ©s vous ont aidĂ© Ă  rĂ©ussir. La plupart des hommes n’ont aucun problĂšme Ă  ĂȘtre avec une femme honnĂȘte et vulnĂ©rable mais, ils ont beaucoup de mal lorsqu’elle celle-ci exige qu’il lui rende la pareille. Pour eux, rĂ©vĂ©ler et affronter leurs vulnĂ©rabilitĂ©s est un vĂ©ritable challenge donc une femme alpha est trĂšs intimidante pour eux. 10. Vous respectez les autres et attendez la mĂȘme chose en retour Une femme forte et persĂ©vĂ©rante se respecte et attend des autres la mĂȘme chose ; mĂȘme lorsqu’elle fait ce qu’elle veut de sa vie. Les hommes ont du mal Ă  imaginer une vie dans laquelle ils doivent montrer leur respect constamment Ă  une femme mĂȘme s’ils attendent que celle-ci le fasse. 11. Vous pouvez endosser le rĂŽle du chef de famille sans aucun problĂšme La plupart des hommes pensent encore que c’est leur rĂŽle de mettre de la nourriture sur la table. Mais, beaucoup de femmes ont pris cette responsabilitĂ© et, pour elles, cette situation qui glorifie les hommes n’a aucun sens. Le pire ? Certains hommes ont fini par rĂ©aliser que c’était la seule chose qu’ils apportaient Ă  une relation donc quand on leur enlĂšve ce rĂŽle, ils ne se sentent pas Ă  leur place et sont intimidĂ©s. 12. Vous savez ce que vous attendez de la vie De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, ĂȘtre avec quelqu’un qui sait ce qu’il veut de la vie peut ĂȘtre intimidant ; surtout quand cette personne fait tout son possible pour rĂ©aliser ses objectifs. Cela veut dire que les gens autour de vous ne peuvent pas vous faire changer d’avis ou interfĂ©rer avec vos plans, de quelque maniĂšre que ce soit. Beaucoup d’hommes espĂšrent rencontrer une femme qui soutienne leurs choix et leurs objectifs et non une partenaire qui a sa propre vie et qui cherche le soutien de son bien aimĂ©. 13. Avoir le contrĂŽle ne vous effraie pas En tant que femme alpha, le rĂŽle du chef est parfait pour vous. Ce n’est pas important si c’est dans la chambre, dans un groupe d’amis ou au travail. Pourtant, la plupart des hommes ont Ă©tĂ© Ă©levĂ©s selon le principe que ce sont eux qui devraient avoir tout le pouvoir. Donc, soit les hommes adoptent une diffĂ©rente vision des conventions sociales et acceptent qu’ils ne peuvent pas tout contrĂŽler, soit ils vont toujours avoir des problĂšmes avec des femmes fortes et indĂ©pendantes. 14. Vous ĂȘtes intense Des fois, vous soufflez le chaud ; des fois, le froid. Vous n’ĂȘtes jamais tiĂšde ! Quoi que vous fassiez, vous le faites avec dĂ©votion. C’est parce que vous n’attendez que le meilleur de la vie et que vous savez comment l’obtenir. Les hommes ne veulent pas avoir Ă  supporter cela, surtout pendant les disputes ; vous ĂȘtes donc trop » pour certains. 15. Quoi que vous fassiez, vous le faites Ă  100 % Que vous jouiez au golf ou que vous prĂ©sentiez un rapport d’entreprise, vous vous investissez toujours Ă  fond. C’est pour cela que vous avez autant de rĂ©ussites sur votre rĂ©sumĂ© personnel et professionnel. Vous ne dites jamais non » Ă  un dĂ©fi et cela effraie beaucoup d’hommes. 16. Vous ĂȘtes une fĂ©ministe Pour certains hommes, si vous ĂȘtes fĂ©ministe cela signifie que vous pensez qu’ils sont faibles. Ils ne peuvent pas, en effet, accepter qu’une femme puisse faire la mĂȘme chose qu’eux. Donc, un homme, qui ne comprend pas que la signification de la vie est d’ĂȘtre la meilleure version possible de soi-mĂȘme, vous trouvera toujours intimidante. Une personne, qui n’est pas capable d’assimiler le fait que la rĂ©ussite et la capacitĂ© de rĂ©aliser quelque chose n’ont rien Ă  voir avec les forces et les faiblesses, pense que les femmes doivent ĂȘtre soumises ! Comment un homme manifeste son intimidation ? Si vous avez l’impression de ne jamais pouvoir Ă©tablir une relation durable avec un homme qui vous plaĂźt c’est peut-ĂȘtre aprce que vous l’intimidez. Les femmes sont devenues si indĂ©pendantes que les hommes n’ont pas la capacitĂ© de comprendre ce changement de rĂŽles. Les femmes alphas sont fortes et savent ce qu’elles veulent. Elles n’ont pas peur d’ĂȘtre au pouvoir et ces qualitĂ©s peu conventionnelles pour une femme impressionnent certains hommes. D’ailleurs, voici les 10 signes qui prouvent qu’un homme est intimidĂ© par vous 1. Il prend tout ce que vous dites comme une insulte Si un homme est offensĂ© par vos compliments et vos commentaires c’est la preuve qu’il vous trouve intimidante. La gente masculine n’aime pas la critique mais cela ne veut pas dire que vous devez vous mordre la langue. 2. Il se vante Il fait peut-ĂȘtre cela parce qu’il ne sait pas comment agir en votre prĂ©sence. Il fait cela pour attirer votre attention car il n’est pas capable de vous intĂ©ressez autrement. 3. Il vous sourit tout le temps MĂȘme aprĂšs vous avoir souri et obtenu votre attention, un homme qui est intimidĂ© par vous av continuer Ă  sourire sans rien faire d’autre. 4. Il semble intĂ©ressĂ© mais ne fait rien Vous voyez clairement qu’il est attirĂ© par vous mais il ne fait rien pour vous sĂ©duire. Il sourit et dit ce qu’il faut mais ne paraĂźt rien faire de promettant. 5. Les choses deviennent vite bizarres Lorsqu’il est avec vous, il ne semble pas capable de parler ou de faire quoi que ce soit comme il le faut. Il renverse son verre, il ne vous comprend pas et se comporte Ă©trangement car il n’arrive pas Ă  vous dire comment il se sent. 6. Il ne partage rien de sa vie Quand un homme est intimidĂ© par vous, il va se retenir de parler de lui-mĂȘme car il pense qu’il n’y a rien d’excitant dans ses accomplissements. 7. Il est muet Il n’arrive pas Ă  mettre ses idĂ©es et ses mots en ordre afin de vous dire ce qu’il pense vraiment. Il voit votre valeur et il pense sĂ»rement qu’il ne vous mĂ©rite pas. 8. Il se la raconte Parfois, les hommes vont les beaux parce qu’ils sont intimidĂ©s ; ils essaient de se rendre meilleurs qu’ils ne le sont rĂ©ellement. 9. Il semble nerveux quand il vous parle Il a du mal Ă  sortir les bons mots ; ce qui est un signe rĂ©vĂ©lateur de son attraction pour cela veut aussi dire que vous l’impressionnez ! 10. Il est jaloux des autres hommes S’il se montre, tout d’un coup, jaloux d’un de vos amis hommes c’est parce qu’il est intimidĂ© par vous et qu’il a peur de vous dire qu’il ne veut pas vous perdre. À lire aussi 20 Signes qui prouvent que vous ĂȘtes une femme alpha Commentairede texte : Olympe de gouges. Recherche parmi 274 000+ dissertations. De son vrai nom Marie Gouze, Olympe de Gouges est une femme de Lettres qui s’inscrit dans le mouvement des lumiĂšres p ar ses Ɠuvres progressistes qui militent pour l’égalitĂ©. Elle est considĂ©rĂ©e comme une pionniĂšre du fĂ©minisme, durant le XIII Ăšme
L’un des paradigmes majeurs des doctrines Ă©vangĂ©liques en ce qui concerne le couple est celui de la soumission de l’épouse et l’autoritĂ© de l’époux ». La plupart des commentaires prennent appui sur des textes comme ÉphĂ©siens 5 22-23 pour fonder leurs enseignements. J’affirme ici haut et fort deux choses PremiĂšrement j’affirme que cette interprĂ©tation des textes n’est pas biblique’DeuxiĂšmement, j’affirme qu’elle aboutit Ă  une forme de violence systĂ©matique envers les femmes, pouvant aboutir Ă  la violence physique. A l’heure des metoo et balance ton porc, Ă  l’heure de la lutte acharnĂ©e contre les violences faites aux femmes, il est temps de lire le texte pour lui-mĂȘme et de refuser de plaquer sur lui des choses qui n’y sont pas et qui n’y ont mĂȘme jamais Ă©tĂ©! 1. Ce paradigme n’est pas biblique’ ! Pourquoi ? a. Parce qu’il y a un problĂšme structurel dans la construction de cette interprĂ©tation Cette interprĂ©tation se construit sur deux termes tirĂ©s du passage qui concerne les femmes soumission de l’épouse parce que l’homme est la tĂȘte qu’elle utilise pour caractĂ©riser l’ensemble du couple. Or, puisque le couple est composĂ© de deux entitĂ©s, hommes et femmes, il conviendrait de regarder Ă  ce qui est dit aux deux avant de dĂ©finir les caractĂ©ristiques conjugales ! Oublier’ d’introduire dans la caractĂ©risation du couple ce qui est demandĂ© Ă  l’homme et qui vient de la partie du texte qui lui est proprement consacrĂ©e revient Ă  exercer une torsion qui est de l’ordre de la manipulation. C’est d’autant plus manipulatoire que ce qui est demandĂ© au conjoint masculin n’a rien Ă  voir avec l’autoritĂ©. L’apĂŽtre Paul demande en effet Ă  l’homme de livrer sa vie’ par amour pour son Ă©pouse, les versets 25 Ă  33 du mĂȘme chapitre 5 autrement dit, de mettre de cĂŽtĂ© tous ses soi-disant privilĂšges pour Ă©lever’ son Ă©pouse, tout comme le Christ l’a fait pour le salut et la sanctification de l’humanitĂ©. b. Il y a des problĂšmes liĂ©s Ă  l’interprĂ©tation des termes Cette interprĂ©tation associe le terme kĂ©phalĂ© utilisĂ© pour qualifier l’homme dans le passage qui s’adresse aux femmes Ă  l’autoritĂ© alors que le texte ne le fait jamais! Bien au contraire, Ă  chaque fois que les Écritures utilisent le terme kĂ©phalĂ©, qui signifie littĂ©ralement tĂȘte et non chef le contexte, c’est Ă  dire les versets suivants ou qui prĂ©cĂšdent mentionnent le sacrifice, et ce, qu’il s’agisse du Christ ou des hommes. L’élĂ©ment dĂ©terminant pour comprendre la signification du passage n’a donc rien Ă  voir avec l’autoritĂ© exousia qui n’est d’ailleurs mĂȘme pas mentionnĂ©e dans le texte. Les Ă©vangiles synoptiques nous informent clairement ce que cela signifie d’ĂȘtre chef’ ou premier’ Ă  la suite du Christ. En Marc 10 43, Luc 22 26 et Matthieu 20 26, JĂ©sus dit Vous savez que les chefs des nations les tyrannisent, et que les grands les asservissent. Il n’en sera pas de mĂȘme au milieu de vous. Mais quiconque veut ĂȘtre grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur; et quiconque veut ĂȘtre le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave. Les textes utilisent le terme archĂ© ou basileis en Luc pour signifier clairement la hiĂ©rarchie du cĂŽtĂ© de ce qu’il rejette et les termes diakonos et doulos pour signifier le sacrifice et le service du cĂŽtĂ© de ce qu’il souhaite voir advenir au milieu des disciples. Être chef-archĂ© Ă  la façon du monde n’a rien Ă  voir avec le fait d’ĂȘtre chef-kĂ©phalĂ© Ă  la façon du Christ. Et c’est par un curieux retournement de situation que les tenants du traditionalisme Ă©vangĂ©lique et catholique attribuent Ă  l’homme mariĂ© le rĂŽle de l’autoritĂ© et de la direction des Ă©pouses, alors que l’Évangile rapporte ici que l’homme qui veut ĂȘtre grand, autrement dit un chef, doit devenir comme un serviteur, c’est-Ă -dire un ĂȘtre qui n’a aucune autoritĂ© ni pouvoir! c. Il y a donc une double trahison du texte biblique dans le paradigme soumission/autorité’ L’oubli de la responsabilitĂ© que Dieu adresse aux hommes dans le couple au profit du rĂŽle de direction et d’ transformation du sens de tĂȘte/chef en personne qui dirige et ordonne’. Alors que JĂ©sus redĂ©finit clairement la maniĂšre dont les choses doivent fonctionner au milieu de vous’ les croyants. Celui qui est fort doit accepter un abaissement volontaire jusqu’à devenir un serviteur. 2. Quel est alors le paradigme vĂ©ritablement biblique ? a. A l’épouse, il est demandĂ© deux choses la soumission et le respect envers celui qu’elle est invitĂ©e Ă  considĂ©rer comme sa tĂȘte. Paul exprime ici l’unitĂ© de nature entre l’homme et la femme dans le couple il est sa tĂȘte, elle est son corps ! Est-ce que cela signifie qu’il a tout pouvoir et autoritĂ© comme les chefs des nations ? Qu’il commande Ă  sa femme comme on commande Ă  son pied d’avancer ? Bien sĂ»r que non. La femme a une tĂȘte qui lui appartient en propre et qui est autre que celle de son mari voir 1cor11 ; de mĂȘme que le mari a un corps propre et autre que celui de sa femme. Et chacun est Ă©galement invitĂ© Ă  les utiliser pour le royaume de Dieu. Parce qu’elle a une tĂȘte propre, il ne lui est pas demandĂ© de faire comme si elle n’en avait pas. Elle reste responsable de sa vie, de ses choix, de son salut, de sa relation avec Dieu, comme tout disciple l’est. Ce qui est demandĂ© Ă  l’épouse, c’est de comprendre et d’agir comme si elle en avait deux. Autrement dit de tenir compte des raisonnements de son autre tĂȘte et de se soumettre Ă  elle dans le respect. b. A l’époux, il est demandĂ© deux choses Ă©galement le sacrifice et l’amour envers celle qu’il est invitĂ© Ă  considĂ©rer comme son corps. Cela signifie-t-il qu’il n’a pas de corps ? Bien sĂ»r que non ! L’époux a un corps propre. Il ne lui est donc pas demandĂ© de faire comme s’il n’en avait qu’un, celui de l’épouse qui devient alors comme un prolongement de son propre corps et un outil de service bien utile. Paul demande ici aux Ă©poux de faire comme s’ils avaient deux corps, le leurs, dont ils savent prendre soin, et celui de leurs Ă©pouses. Autrement dit, de tenir compte des besoins de l’autre corps. Paul demande mĂȘme aux maris de placer les intĂ©rĂȘts de cet autre corps avant ceux du leur ! C’est l’image typologique de l’Ɠuvre du Christ envers l’église qui est Ă©galement utilisĂ©e pour signifier de quelle maniĂšre le mari doit aimer son Ă©pouse l’apĂŽtre Paul met en avant les notions de sacrifice, d’oubli de soi pour favoriser l’élĂ©vation de l’épouse, son accomplissement personnel. c. Un tableau rĂ©capitulatif de ce passage dĂ©montre le parallĂ©lisme entre les paroles adressĂ©es Ă  l’épouse et celles adressĂ©es Ă  l’époux Si les notions d’attitude et de comportement sont souvent considĂ©rĂ©es comme des synonymes, elles comportent Ă©galement des diffĂ©rences L’attitude est un Ă©tat intĂ©rieur qui prĂ©dispose Ă  rĂ©agir d’une certaine maniĂšre devant les circonstances. Cet Ă©tat est le fruit de la gĂ©nĂ©tique, de l’éducation mais aussi de la volontĂ© propre, des choix de l’individu. Le comportement quant Ă  lui, est l’action ou la rĂ©action observable d’un individu dans un environnement extĂ©rieur. 3. Une doctrine qui aboutit Ă  la violence ! Oublier la symĂ©trie des demandes que l’apĂŽtre Paul adresse aux membres du couple au profit d’un focus placĂ© uniquement sur le pĂŽle fĂ©minin, c’est agir comme les pharisiens ou les disciples de JĂ©sus qui considĂ©raient le mariage comme leur Ă©tant avantageux Ă  eux seuls! Ce que cela produit, c’est l’effacement de milliers, de millions d’ĂȘtres humains, sommĂ©s de vivre dans les traces de pas laissĂ©s par celui qui les prĂ©cĂšde, leur seigneur et maitre, leur Ă©poux
 Les femmes qui – encore en trop grand nombre- reçoivent ces injonctions de soumission comme Ă©tant de l’ordre de la volontĂ© de Dieu pour elles, vivent une lente dĂ©personnalisation qui relĂšve de la violence psychologique la plus simple. Le traumatisme psychologique vĂ©cu par ces femmes qui s’efforcent de bannir de leur cƓur toute initiative personnelle afin d’ĂȘtre soumises Ă  leurs maris comme au Seigneur’ est similaire Ă  celui vĂ©cu par des millions de fillettes chinoises Ă  qui on bandait les pieds pendant toute leur enfance pour qu’elles gardent un pied menu de fillette. MĂȘme dĂ©bandĂ©s, leurs pieds ne reprennent pas leur aspect normal
 Les cicatrices et dĂ©formations restent rĂ©elles
 Ce qui, au contraire, relĂšve du projet de Dieu pour la personne, et encore bien davantage pour le disciple du Christ, c’est la mise en Ɠuvre d’un potentiel personnel, d’un ou de plusieurs dons au service des autres, de la communautĂ©. Cet appel s’adresse Ă  tous, hommes et femmes. La mise sous tutelle’ des dons et talents que le Seigneur a confiĂ© aux Ă©pouses aboutit Ă  une perte tragique pour les communautĂ©s de foi. De plus, les Ă©pouses convaincues d’avoir reçu des appels et ne pouvant les vivre Ă  cause de maris opposĂ©s Ă  la libĂ©ration de leurs talents ou Ă  cause de communautĂ©s fermĂ©es quant Ă  la place des femmes, perdent une Ă©nergie considĂ©rable Ă  lutter contre l’amertume, la frustration. Bien sĂ»r, l’Esprit-Saint, l’Esprit de consolation est lĂ  et grĂące Ă  lui, de nombreux combats intĂ©rieurs sont gagnĂ©s ! Mais la perte reste double Moins de dons exprimĂ©s dans l’église et une Ă©nergie gaspillĂ©e parce qu’investie dans une lutte Ăąpre contre la souffrance intĂ©rieure de ne pouvoir servir selon ses dons
 Malheureusement, ce n’est pas encore tout
 Parce que La violence psychologique peut exister sĂ©parĂ©ment ou n’ĂȘtre qu’un prĂ©alable Ă  la violence physique.» Professeur M. Debout Chef du service de MĂ©decine LĂ©gale du CHU de Saint Etienne – RĂ©alitĂ©s n° 90 – Publication de l’UNAF – juin 2010. Et nous ne pouvons plus, nous ne devons plus agir comme si cela n’existait pas dans nos communautĂ©s protestantes et Ă©vangĂ©liques
 Quelques exemples Je me souviens d’une amie chrĂ©tienne dont le mari cocaĂŻnomane vivait dans la dĂ©bauche et faisait subir des humiliations terribles Ă  son Ă©pouse, allant un jour jusqu’à une tentative de meurtre. Je lui ai conseillĂ© la sĂ©paration, ses enfants l’ont suppliĂ©e de m’écouter. L’un des pasteurs de la communautĂ©, lui, a affirmĂ© que si son mari allait en enfer, ce serait sa faute Ă  elle
 Elle a alors repris la vie commune dans des difficultĂ©s terribles et la famille a payĂ© un prix Ă©levĂ© Ă  cette d’un sĂ©minaire ou j’enseignais sur le sujet, homme et femme dans l’Église et dans le couple’, une auditrice, femme battue et chrĂ©tienne, m’a confessĂ© que son mari la battait pour son bien et sa croissance’. Elle n’est pas arrivĂ©e Ă  accepter l’idĂ©e que cette situation n’était pas conforme au cƓur de Dieu, tant elle Ă©tait convaincue de l’importance premiĂšre de la soumission Ă  son conjoint. Elle pensait qu’un jour, elle comprendrait de quelle nature Ă©tait ce bien que son agresseur voyait en la battant et qu’elle ne voyait pas. Je n’ai malheureusement pas rĂ©ussi Ă  garder le lien avec elle
 Une autre encore Ă©tait obligĂ©e de rĂ©pondre aux sollicitations sexuelles permanentes et dĂ©gradantes d’un mari en proie Ă  des pulsions irrĂ©pressibles dĂšs qu’il vivait le plus petit stress. Lorsqu’elle a fini par oser affirmer son ras-le-bol et son dĂ©sir que cela s’arrĂȘte, en prononçant le mot ’divorce’, il est devenu fou de rage et a voulu en venir aux mains. J’ai dĂ» m’interposer entre eux
 Dans chacune de ces trois situations, les Ă©poux se disaient chrĂ©tiens, frĂ©quentaient assidĂ»ment les communautĂ©s et justifiaient’ leurs comportements par la doctrine soumission/autorité’. La violence physique Ă©tait justifiĂ©e par le fait que les Ă©pouses n’étant pas assez conformes aux dĂ©sirs exprimĂ©s par leurs Ă©poux, elles devaient ĂȘtre corrigĂ©es’
 La responsabilitĂ© de l’époux n’est-elle pas de tout faire pour que l’épouse apparaisse devant son Dieu sans tache ? La liste des abus pourrait ĂȘtre longue encore ! Je m’arrĂȘte lĂ . Il est temps que l’Église comprenne qu’il n’y a pas d’un cĂŽtĂ©, ceux qui commandent et dirigent, et de l’autre, celles qui se soumettent et obĂ©issent. Si le vĂ©ritable paradigme biblique est soumission et respect de l’épouse envers son mari ; Sacrifice et amour de l’époux envers sa femme », alors cela signifie qu’hommes et femmes sont invitĂ©s Ă  porter une croix identique dans la vie conjugale celle de considĂ©rer les besoins et dĂ©sirs de l’autre en premier et les siens propres en second seulement. Ce n’est qu’alors, qu’ il n’y a plus ni homme ni femme, mais une nouvelle rĂ©alitĂ© dans laquelle tout reste Ă  construire ensemble certes, Ă  la suite de celui qui a sacrifiĂ© sa vie par amour pour nous et qui est notre modĂšle premier Ă  tous, que nous soyons homme ou femme. JoĂ«lle Sutter-Razanajohary
Ladomination brutale de l’homme sur la femme est une consĂ©quence du mĂ©pris de l’autoritĂ© divinement Ă©tablie ( GenĂšse 3:16 ). AprĂšs l’Éden, les hommes ont frĂ©quemment abusĂ© de leur pouvoir en exploitant avec cruautĂ© leurs semblables, y compris des femmes et des enfants. Pourtant, Dieu n’a jamais voulu qu’il en soit ainsi.

Le chef de tout homme, c’est le Christ ; et le chef de la femme, c’est l’homme 1 Cor. 113.Vendredi 24 juinLe chef de tout homme, c’est le Christ ; et le chef de la femme, c’est l’homme 1 Cor. 113.Le contexte de ce verset explique aux maris qu’ils doivent exercer leur autoritĂ© de la mĂȘme maniĂšre que JĂ©sus exerce la sienne sur l’homme. JĂ©sus ne s’est jamais montrĂ© tyrannique ou dur. Il Ă©tait toujours affectueux, aimable, raisonnable, doux de caractĂšre et humble de cƓur Mat. 1128-30. Un mari chrĂ©tien n’a pas besoin d’exiger sans arrĂȘt que sa femme le respecte. Il continu[e] » plutĂŽt Ă  demeurer avec [elle] selon la connaissance [ Ă  lui tĂ©moigner de la considĂ©ration ; Ă  la comprendre », note NWT] ». Il lui assign[e] de l’honneur comme Ă  un vase plus faible, le vase fĂ©minin » 1 Pierre 37. En public comme en privĂ©, il montre par ses propos respectueux et en se montrant comprĂ©hensif qu’elle lui est prĂ©cieuse Prov. 3128. En exerçant ce genre d’autoritĂ©, il gagne l’amour et le respect de sa femme et attire sur son couple la bĂ©nĂ©diction de JĂ©hovah. w15 15/1 37, 831 Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?[Vous devez ĂȘtre inscrit et connectĂ© pour voir ce lien] Re Le chef de tout homme, c’est le Christ ; et le chef de la femme, c’est l’homme 1 Cor. 113. Dov Ven 24 Juin - 403Par ailleurs, vous ĂȘtes le chef de votre femme. La Bible dĂ©clare en effet “ Le chef de tout homme, c’est le Christ ; et le chef de la femme, c’est l’homme. ” 1 Cor. 113. Comment exercer cette autoritĂ© ? Avec amour, et sĂ»rement pas en faisant constamment rĂ©fĂ©rence Ă  ce verset pour imposer le respect. Le meilleur moyen d’exercer correctement l’autoritĂ©, c’est d’imiter JĂ©sus Christ dans la façon dont vous traitez votre femme. — 1 Pierre 2 devez ĂȘtre inscrit et connectĂ© pour voir cette image] Re Le chef de tout homme, c’est le Christ ; et le chef de la femme, c’est l’homme 1 Cor. 113. JORDAN Sam 25 Juin - 234Il est important de savoir que ce n'est pas l'homme qui a dĂ©cidĂ© cette forme de hiĂ©rarchie , mais c'est JĂ©hovah qui impose Ă  l'homme d'ĂȘtre le responsable de sa maisonnĂ©e. Le terme chef peut tout Ă  fait convenir dans la façon biblique du terme, mais ce terme est imposĂ© Ă  l'homme lui mĂȘme, et pas pour qu'il fasse de sa femme une femme qui deviendrait une forme d' la Bible mentionne que deux valent mieux qu'un Ecclesiaste 4 9 Deux valent mieux qu’un, parce qu’ils ont une bonne rĂ©compense pour leur dur travail. 10 Car si l’un d’eux vient Ă  tomber, l’autre pourra relever son associĂ©. Mais qu’arrivera-t-il Ă  celui qui est seul et qui tombe lorsqu’il n’y a pas de second pour le relever ? Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

Lelieutenant-colonel Mamady Doumbouya, qui a pris le pouvoir en Guinée-Conakry, le dimanche 5 septembre 2021, a été découvert par les Guinéens le mardi 2 octobre 2018 à l'occasion de la
Le pasteur du Centre missionnaire Philadelphie CMP, Ken Luamba, fait encore parler de lui sur les rĂ©seaux sociaux. Ce religieux a, dimanche 18 avril sur Twitter, renseignĂ© sur le effet, l’homme du CMP a portĂ© un message ciblĂ© concernant la vie conjugale. Ken Luamba a tentĂ© d’éclairer la lanterne au sujet de la position d’un ĂȘtre fĂ©minin au sein de la sociĂ©tĂ© et dans le foyer. L’égalitĂ© entre homme et femme dans la sociĂ©tĂ© ne veut pas dire Ă©galitĂ© entre Ă©poux et Ă©pouse dans le foyer. Dans la sociĂ©tĂ©, on est tous Ă©gaux, mais dans le foyer, l’homme est le chef de la femme », a tranchĂ© le pasteur titulaire du Centre missionnaire Philadelphie CMP.Cette dĂ©claration suscite des vives rĂ©actions. Le rĂ©vĂ©rend Ken Luamba fait l’objet des critiques acerbes sur internet. Et ce, aprĂšs avoir créé le buzz en fĂ©vrier dernier. Permettez-moi de vous partager une conviction personnelle, c’est Ă  prendre ou Ă  laisser. J’ai vu des jeunes gens vouloir demander la main Ă  une fille se prosterner. Écoutez, il y a des principes que Dieu a Ă©tablis depuis le commencement. Il a Ă©tabli l’homme comme le supĂ©rieur de la femme en termes de chef, c’est lui le leader », a-t-il BOMBALE Lhomme est le chef de la femme comme le Christ est le chef de l’Eglise. Les anges gardiens sont tous des mĂąles. Il n’y a aucun ange gardien femelle. La fonction d’ange gardien est exclusivement tenue par des anges mĂąles. Les archanges sont exclusivement des anges mĂąles. Dieu le PĂšre est mĂąle, Dieu le Fils est mĂąle, Dieu le Saint-Esprit est mĂąle. Ce sont trois frĂšres Une Ă©vidence pour beaucoup de chrĂ©tiens ! Pourtant la chose n’est pas si simple que ça ! Cette pensĂ©e s’appuie sur ÉphĂ©siens 5 23 Car l’homme est le chef de la femme » voir aussi 1 Co 11 3. Chef » pas la meilleure traduction Cependant, il ne s’agit pas d’une traduction trĂšs heureuse. LittĂ©ralement ce verset dit Car l’homme est la tĂȘte kĂ©phalĂš de la femme ». Si l’on prend en compte le contexte, on voit clairement que Paul parle ici du mariage. Ainsi la traduction Car le mari est la tĂȘte de sa femme » NFC rend mieux l’original, aner pouvant aussi vouloir dire mari. Tout homme n’est pas la tĂȘte de toute femme dans son entourage, mais le mari est la tĂȘte de son Ă©pouse. Il est important de le souligner, car ce texte est parfois utilisĂ© pour affirmer que les femmes ne pourraient assumer de rĂŽle de direction dans l’Église, et mĂȘme en dehors de l’Église, dans une Ɠuvre para-ecclĂ©siale ou dans une entreprise sĂ©culiĂšre. TĂȘte » est plus appropriĂ© Selon plusieurs dictionnaires le terme grec kĂ©phalĂš, qui dĂ©signe tout d’abord la tĂȘte physique, peut ĂȘtre traduit par tĂȘte ou par chef. Cependant tĂȘte’’ signifiant chef’’ n’est pratiquement pas attestĂ© dans la littĂ©rature grecque sĂ©culaire ou paĂŻenne avant le 4e siĂšcle de notre Ăšre »[1]. Et quand dans l’Ancien Testament le mot hĂ©breu pour tĂȘte rosh » a le sens de chef », la Septante ne le traduit gĂ©nĂ©ralement pas par kĂ©phalĂš »[2] ! Nous privilĂ©gions donc la traduction tĂȘte » qui est la plus neutre. Une traduction a pour but de rendre le mieux l’original tout en Ă©tant comprĂ©hensible pour le public cible. Traduire kĂ©phalĂš » par chef » a le dĂ©savantage d’ĂȘtre porteur de prĂ©supposĂ©s et de tout un poids de tradition. C’est un terme chargĂ© qui comporte le risque que les lecteurs et lectrices d’aujourd’hui plaquent sur lui la comprĂ©hension actuelle du mot chef ». Chef » introduit la notion d’ autoritĂ© » En effet, chef » introduit la notion d’ autoritĂ© » ou de hiĂ©rarchie ». Pourtant, mĂȘme quand Paul parle dans ce mĂȘme passage de se soumettre mutuellement au sein de la communautĂ© chrĂ©tienne et prĂ©cise vous les femmes Ă  votre mari » Éph 5 22, il ne s’agit pas d’entrer dans des rapports d’autoritĂ©. ValĂ©rie Duval-Poujol affirme Paul aurait pu choisir d’autres mots plus clairs qui existent en grec. Or il fait le choix d’un verbe qui dĂ©signe une dĂ©marche volontaire, dans l’amour, qui peut se comprendre comme ĂȘtre fidĂšle, ĂȘtre un appui’’ »[3]. Le mariage est ainsi dĂ©crit comme un vivre ensemble » dans le don de soi, l’amour et le respect mutuels. La relative neutralitĂ© de tĂȘte » va dans ce sens. Elle oblige le lecteur Ă  plonger plus profondĂ©ment dans le mouvement du texte et Ă  le dĂ©cortiquer dans une attitude d’écoute de l’Esprit saint avec l’ensemble de la communautĂ© chrĂ©tienne pour se laisser transformer par lui et en saisir la portĂ©e subversive. Deux tĂȘtes, deux corps ! Car que dit Paul dans ce passage quand il dit que le mari est la tĂȘte de sa femme » ? La femme est appelĂ©e Ă  tenir compte du fait qu’elle n’a plus qu’une tĂȘte, mais deux. En se mariant elle ne devient pas un corps sans tĂȘte. Elle ne doit pas non plus remplacer la sienne par celle de son mari. Mais elle doit se souvenir qu’elle a reçu une deuxiĂšme tĂȘte. Comme le dit si bien JoĂ«lle Razanajohary-Sutter Elle reste responsable de sa vie, de ses choix, de son salut, de sa relation avec Dieu, comme tout disciple l’est. Ce qui est demandĂ© Ă  l’épouse, c’est de comprendre et d’agir comme si elle en [tĂȘte] avait deux. Autrement dit de tenir compte des raisonnements de son autre tĂȘte et de se soumettre Ă  elle dans le respect »[4], Ă  l’image du Christ ! Le mari, de son cĂŽtĂ©, est appelĂ© Ă  se souvenir qu’il n’a plus un seul corps. Il en a deux[5] Les maris doivent donc aimer leur femme comme ils aiment leur propre corps » Eph 5 28. Prendre soin de son deuxiĂšme corps est une prioritĂ© pour lui. Le mari est la tĂȘte de sa femme, il a la prééminence pour prendre soin d’elle, Ă  l’image du Christ ! Cela a quelque chose Ă  avoir avec le fait de prendre une bassine et de laver les pieds de l’autre. C’est se dĂ©pouiller de ses propres droits et laver les pieds de ceux qui sont censĂ©s, selon la conception du monde, ĂȘtre en-dessous de soi, en se plaçant soi-mĂȘme sous leurs pieds. »[6] Suggestion de lecture JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Que les femmes soient soumises » Les consĂ©quences d’une soumission non biblique ». Mary Cotes, Qui doit pratiquer la soumission dans le mariage ? » Le deuxiĂšme livre de JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Une invitation Ă  la danse. La mĂ©taphore conjugale dans la Bible dont vous pouvez regarder la vidĂ©o de prĂ©sentation ici ou lire la recension ici. Ne manquez pas les autres articles bingodesclichĂ©s La Bible est claire, il suffit de la lire N’oubliez pas l’ordre crĂ©ationnel L’autoritĂ© masculine D’autres articles sont Ă  venir dans la sĂ©rie bingodesclichĂ©s le premier vendredi de chaque mois. Il s’agit d’un bingo des phrases entendues couramment. Un bingo de certaines idĂ©es reçues sur le ministĂšre pastoral des femmes. En 9 courts articles nous aimerons y apporter une rĂ©ponse et donner des pistes pour aller plus loin. Nous sommes impatientes de partager la suite avec vous ! RĂ©fĂ©rences [1] Marg Mowczko, 4 reasons “head” does not mean “leader” in 1 Corinthians 113 », en ligne consultĂ© le 17/01/2022, en s’appuyant sur Al Wolters, Head as Metaphor », Koers 2011 137-153, 142. [2] Cf. Marg Mowczko, 4 reasons “head” does not mean “leader” in 1 Corinthians 113 », en ligne consultĂ© le 17/01/2022. [3] ValĂ©rie Duval-Poujol, La Bible est-elle sexiste ?, Éditions empreinte temps prĂ©sent, Paris, 2021, p. 212. [4] JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Que les femmes soient soumises » Les consĂ©quences d’une soumission non biblique ». [5] L’idĂ©e vient du mĂȘme article. [6] JoĂ«lle Sutter-Razanajohary, Une invitation Ă  la danse. La mĂ©taphore conjugale dans la Bible, OlivĂ©tan, Lyon, 2021, p. 76. DĂ©crirela notion de plaisir c'est dĂ©jĂ  pas Ă©vident (le plaisir physique, psychologique c'est vaste comme sujet) alors dĂ©crire des sensations. sachant que ce qui est agrĂ©able pour moi, ne le sera peut ĂȘtre pas forcĂ©ment pour une autre. ÉphĂ©siens 522-33 BFCFemmes, soyez soumises Ă  vos maris, comme vous l'ĂȘtes au Seigneur. Car le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l'Église. Le Christ est en effet le Sauveur de l'Église qui est son corps. Les femmes doivent donc se soumettre en tout Ă  leurs maris, tout comme l'Église se soumet au Christ. Maris, aimez vos femmes tout comme le Christ a aimĂ© l'Église jusqu'Ă  donner sa vie pour elle. Il a voulu ainsi rendre l'Église digne d'ĂȘtre Ă  Dieu, aprĂšs l'avoir purifiĂ©e par l'eau et par la parole; il a voulu se prĂ©senter Ă  lui-mĂȘme l'Église dans toute sa beautĂ©, pure et sans dĂ©faut, sans tache ni ride ni aucune autre imperfection. Les maris doivent donc aimer leurs femmes comme ils aiment leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-mĂȘme. En effet, personne n'a jamais haĂŻ son propre corps; au contraire, on le nourrit et on en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Église, son corps, dont nous faisons tous partie. Comme il est Ă©crit C'est pourquoi l'homme quittera son pĂšre et sa mĂšre pour s'attacher Ă  sa femme, et les deux deviendront un seul ĂȘtre.» Il y a une grande vĂ©ritĂ© cachĂ©e dans ce passage. Je dis, moi, qu'il se rapporte au Christ et Ă  l'Église. Mais il s'applique aussi Ă  vous il faut que chaque mari aime sa femme comme lui-mĂȘme, et que chaque femme respecte son Bible en français courantPlans de lecture et de mĂ©ditation gratuits en rapport avec ÉphĂ©siens 522-33 RetrouvezLe chef de la femme: Dieu(x), les femmes et la loi et des millions de livres en stock sur Amazon.fr. Achetez neuf ou d'occasion DĂ©solĂ©, un problĂšme s'est produit lors de l'enregistrement de vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies. Veuillez rĂ©essayer. Accepter les cookies Personnaliser les cookies. Passer au contenu principal.fr. Bonjour Entrez votre adresse Versets les plus Pertinents GenĂšse 127 Dieu crĂ©a l'homme Ă  son image, il le crĂ©a Ă  l'image de Dieu, il crĂ©a l'homme et la femme. GenĂšse 52 Il crĂ©a l'homme et la femme, il les bĂ©nit, et il les appela du nom d'homme, lorsqu'ils furent créés. Matthieu 194 Il rĂ©pondit N'avez-vous pas lu que le crĂ©ateur, au commencement, fit l'homme et la femme Marc 106 Mais au commencement de la crĂ©ation, Dieu fit l'homme et la femme; EcclĂ©siaste 728 voici ce que mon Ăąme cherche encore, et que je n'ai point trouvĂ©. J'ai trouvĂ© un homme entre mille; mais je n'ai pas trouvĂ© une femme entre elles toutes. 1 Corinthiens 113 Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. 1 Corinthiens 118 En effet, l'homme n'a pas Ă©tĂ© tirĂ© de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de l'homme; 1 Corinthiens 119 et l'homme n'a pas Ă©tĂ© créé Ă  cause de la femme, mais la femme a Ă©tĂ© créée Ă  cause de l'homme. 1 Corinthiens 1111 Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'est point sans l'homme, ni l'homme sans la femme. 1 Corinthiens 1112 Car, de mĂȘme que la femme a Ă©tĂ© tirĂ©e de l'homme, de mĂȘme l'homme existe par la femme, et tout vient de Dieu. Proverbes 3019 La trace de l'aigle dans les cieux, La trace du serpent sur le rocher, La trace du navire au milieu de la mer, Et la trace de l'homme chez la jeune femme. LĂ©vitique 1822 Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une abomination. Romains 127 et de mĂȘme les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammĂ©s dans leurs dĂ©sirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infĂąmes, et recevant en eux-mĂȘmes le salaire que mĂ©ritait leur Ă©garement. CrĂ©ation de la femme Homme, CrĂ©ation de Hommes L'Homme L'Homme Et La Femme La CrĂ©ation De Dieu La Femme Les RĂŽles De La Femme Les Saintes Femmes Les Saints Hommes Mariage, But de SexualitĂ© Un Homme Juste Une Femme Juste Être Beau Être Une Femme De Dieu Lamission ArtĂ©mis I, premier volet du projet de la Nasa visant Ă  retourner sur la Lune, doit dĂ©coller de Floride le 29 aoĂ»t prochain. Et
l'essentiel La FĂ©dĂ©ration nationale des Chasseur a dĂ©cidĂ© de porter plainte contre la dĂ©putĂ© EELV, qui avait dĂ©clarĂ© en fĂ©vrier "qu'un fĂ©minicide sur quatre [Ă©tait] liĂ© Ă  une arme de chasse". L'association demande 100 000 euros de dĂ©dommagement selon les informations de l'Obs. La FĂ©dĂ©ration nationale des Chasseurs FDC porte plainte contre Sandrine Rousseau. L'association demande la somme exacte de 98 879,40 euros de dommages et intĂ©rĂȘts, soit 10 centimes pour chacun des 998 794 chasseurs de France selon une information de l'Obs. Elle accuse la dĂ©putĂ©e Ă©cologiste parisienne d'avoir profĂ©rĂ© des propos stigmatisant sur les chasseurs. Au mois de fĂ©vrier dernier, alors qu'un chasseur avait provoquĂ© la mort d'une randonneuse dans le Cantal, Sandrine Rousseau avait Ă©tĂ© interrogĂ©e sur l'affaire Ă  la tĂ©lĂ©vision. Elle avait alors dĂ©clarĂ© "Moi, je pense qu'il faut arrĂȘter la chasse complĂštement. Ce n'est pas un loisir que d'aller tuer des animaux le week-end avec des fusils. Et par ailleurs [...], le reste de la semaine, on peut aussi le braquer contre sa femme. On a vu qu'un fĂ©minicide sur quatre est liĂ© Ă  une arme de chasse, un fĂ©minicide sur quatre". "Un gros raccourci" Cette statistique provient du dĂ©compte effectuĂ© par l'association "FĂ©minicide par compagnon ou ex". Ce collectif affirme qu'un fusil de chasse a Ă©tĂ© utilisĂ© dans un quart des 102 fĂ©minicides commis en 2020 et des 106 comptabilisĂ©s en 2021. InterrogĂ© par nos confrĂšres de l'Obs, Jean-Michel Dapvril, directeur dĂ©lĂ©guĂ© en charge des affaires juridiques de la FĂ©dĂ©ration nationale des Chasseurs a affirmĂ© qu'il s'agissait "d'un gros raccourci, il n'y a Ă©videmment pas que les chasseurs qui possĂšdent un fusil de chasse..." "Ces propos sont scandaleux elle n'aime pas la chasse, c'est son droit, mais de lĂ  Ă  faire des raccourcis dans les mĂ©dias entre les fĂ©minicides et la chasse, c'est extrĂȘmement insultant", a justifiĂ© le prĂ©sident de la FNC, Willy Schraen, auprĂšs de l'AFP. "On a l'habitude de se faire insulter de tous les noms par les reprĂ©sentants de la Nupes et par les Ă©colos, mais lĂ  ça dĂ©passe les bornes", a-t-il ajoutĂ©, expliquant vouloir "laver l'honneur des chasseurs" qui "ont Ă©tĂ© profondĂ©ment blessĂ©s". Audience le 21 septembre La plainte dĂ©posĂ©e ne dĂ©sarme pas pour autant Sandrine Rousseau "La confrontation va avoir lieu et je ne compte pas me laisser intimider par ces gens" a-t-elle dĂ©clarĂ© Ă  l'Obs. "Les chasseurs ne supportent pas qu'on ne soit pas d'accord avec eux", a rĂ©agi jeudi Sandrine Rousseau devant des journalistes en marge des journĂ©es d'Ă©tĂ© des Verts Ă  Grenoble. "La nature ne leur appartient pas. On ira Ă  ce procĂšs. Je viens de sortir un livre, +Sortir de l'androcĂšne+ nĂ©ologisme signifiant l'Ăšre des mĂąles, ndlr, ils devraient le lire", a-t-elle dĂ©clarĂ©. Une premiĂšre audience, pour consignation et fixation du calendrier de la procĂ©dure, doit se tenir le 21 septembre devant la 17e chambre civile du tribunal de Paris.
Oncompte seulement 4 % de femmes cheffes d’orchestre dans l’Hexagone, une situation qui ne change que trĂšs lentement. « Ce sont des hommes qui sont Ă  J'aime bien la Bible mais je prefere que la femme me domine et soit ma chef Je trouve qu'elles gerent mieux l'argent et tous les autres trucs de la vie. Le sexe, c'est une femme qui m'a appris comment faire au lit. Elles ont de bon conseil un probleme d'etre soumis Ă  la femme si on veut ĂȘtre Disciple du Christ ? Le 13 dĂ©cembre 2020 Ă  225601 Mercjetable0022 a Ă©crit Toutes les femmes veulent ĂȘtre soumisesNon, je ne crois pas non disciple du Christ ça s'est la bible qu'on aime. Le 13 dĂ©cembre 2020 Ă  230235 rivieredelarmes a Ă©crit disciple du ChristFais gaffe Je sais mĂȘme pas pourquoi tu poses la question, la rĂ©ponse est oui. Si ta religion stipule que tu dois faire X et que toi tu fais l'inverse, soit tu dois changer ta façon d'ĂȘtre, soit tu dois changer de religion. Faut quand mĂȘme pas avoir 150 de QI pour comprendre ça. Au fait, il s'est tapĂ© qui Jesus? Il avait son petit succĂšs Ă  l'Ă©poque donc ça a dĂ» tourner pas mal... Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? Dixgrandes histoires d’amour de la littĂ©rature classique. PubliĂ© le 24.11.2021. L’amour et les intrigues amoureuses sont des sujets inĂ©puisables et trĂšs inspirants pour tous les auteurs. Qu’elles soient enflammĂ©es, tragiques ou salvatrices, ces histoires d'amour ont nourri les plus grands noms de la littĂ©rature classique.
International Lettres de Fin connaisseur de la carte Ă©lectorale, le chef de la minoritĂ© rĂ©publicaine mĂšne campagne pour faire gagner son camp aux Ă©lections du 8 novembre. Read in English Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s LETTRE DE SAN FRANCISCO Depuis Bakersfield, sa ville natale, dans la Californie du pĂ©trole et de la poussiĂšre, le rĂ©publicain Kevin McCarthy a fait du chemin. L’ennui, pour les dĂ©mocrates, c’est qu’il n’a pas l’intention d’en rester lĂ . Depuis qu’il est entrĂ© en politique, le chef de la minoritĂ© Ă  la Chambre des reprĂ©sentants, aujourd’hui 57 ans, a un objectif unique en devenir le speaker. Une fonction qui concentre puissance et apparat. Aux Etats-Unis, le speaker ou prĂ©sident est le troisiĂšme personnage de l’Etat. Le fauteuil est occupĂ© depuis 2019 par Nancy Pelosi, premiĂšre femme Ă  s’emparer – douze ans plus tĂŽt – du marteau, l’apanage de la fonction et symbole de son autoritĂ©. Kevin McCarthy bout d’impatience de le lui prendre des mains. Je veux que vous voyiez quand Nancy Pelosi me remettra ce marteau, lançait-il en aoĂ»t 2021 Ă  un groupe d’élus du Tennessee. Ça va ĂȘtre dur de ne pas la frapper avec. » Devant les protestations, il a prĂ©sentĂ© ses excuses, tout en regrettant qu’on ne puisse plus plaisanter. Nancy Pelosi n’est pas tendre non plus. Quand Kevin McCarthy a critiquĂ© sa dĂ©cision de rĂ©instaurer le masque dans les couloirs de la Chambre des reprĂ©sentants, elle l’a traitĂ© de moron » – autant dire de con ». Et elle, elle plaisante rarement. Lire aussi Aux Etats-Unis, Nancy Pelosi candidate Ă  sa réélection au CongrĂšs PlutĂŽt dĂ©crit comme un homme affable, bon commerçant – il connaĂźt les noms de tous les candidats, celui de leur Ă©pouse et mĂȘme de leur chien –, Kevin McCarthy a grandi Ă  Bakersfield. Cette ville de la rĂ©gion du Grand Los Angeles Ă©tait l’ex-point d’arrivĂ©e des Okies » au temps de l’exode vers la Californie des paysans de l’Oklahoma, ruinĂ©s par la sĂ©cheresse dans les annĂ©es 1930. Son pĂšre y Ă©tait chef adjoint de la brigade de pompiers. Le jeune homme a fait des Ă©tudes de marketing et de la politique chez les jeunes rĂ©publicains, dont il a Ă©tĂ© le chef. Plus qu’un homme de programme, il est un fin connaisseur de la carte Ă©lectorale. Il faut l’entendre dĂ©crire avec dĂ©lectation sa stratĂ©gie pour les Ă©lections de 2020. Sur 152 millions de votes, nous Ă©tions Ă  31 751 voix d’avoir la majoritĂ© », expliquait-il en mars 2021 dans le podcast de l’ancien speaker Newt Gingrich. Message bien formatĂ© McCarthy avait un plan il avait Ă©tudiĂ© les trente circonscriptions aux mains de dĂ©mocrates dans lesquelles Donald Trump l’avait emportĂ© en 2016, mais oĂč l’absentĂ©isme avait Ă©tĂ© important deux ans plus tard. On a trouvĂ© 8,5 millions d’AmĂ©ricains qui avaient votĂ© en 2016, mais pas en 2018. On savait qui ils Ă©taient, oĂč ils habitaient. » Il suffisait de les approcher avec des candidats plus reprĂ©sentatifs Sur les quinze siĂšges que nous avons gagnĂ©s, les candidats Ă©taient des femmes ou des reprĂ©sentants de minoritĂ©s. » Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Interview- Ce mercredi 15 juin, Louise Bourrat remportait la 13e Ă©dition du concours Top Chef. PremiĂšre femme Ă  le remporter depuis prĂšs Question RĂ©ponse Bien que l’homme et la femme soient Ă©gaux devant Christ, les Écritures leur attribuent des rĂŽles spĂ©cifiques dans le mariage. Le mari doit assumer la direction du foyer 1 Corinthiens ÉphĂ©siens Son rĂŽle de chef de famille ne doit pas ĂȘtre autoritaire, hautain ou condescendant envers la femme, mais doit suivre l’exemple de Christ avec l’Église. Maris, aimez votre femme comme Christ a aimĂ© l’Église. Il s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour elle afin de la conduire Ă  la saintetĂ© aprĂšs l’avoir purifiĂ©e et lavĂ©e par l’eau de la parole. » ÉphĂ©siens Christ a aimĂ© l’Église son peuple avec compassion, misĂ©ricorde, pardon et respect, sans rien attendre en retour. C’est ainsi que les maris doivent aimer leurs Ă©pouses. Les femmes doivent se soumettre Ă  l’autoritĂ© de leur mari. Femmes, soumettez-vous Ă  votre mari comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Église qui est son corps et dont il est le Sauveur. Mais tout comme l’Église se soumet Ă  Christ, que les femmes aussi se soumettent en tout Ă  leur mari. » ÉphĂ©siens Si les femmes doivent se soumettre Ă  leur mari, la Bible dit aussi Ă  plusieurs reprises aux hommes comment ils doivent se comporter avec leur femme pas comme des dictateurs, mais et la respectant, elle et ses opinions. En fait, ÉphĂ©siens exhorte les maris Ă  aimer leurs femmes comme leur propre corps, qu’ils nourrissent et dont ils prennent soin. L’amour d’un homme pour sa femme devrait ĂȘtre le mĂȘme que l’amour de Christ pour son corps, l’Église. Femmes, soumettez-vous Ă  votre mari comme il convient dans le Seigneur. Maris, aimez votre femme et ne vous aigrissez pas contre elle. » Colossiens Maris, vivez de mĂȘme en montrant de la comprĂ©hension Ă  votre femme, en tenant compte de sa nature plus dĂ©licate ; montrez-lui de l’estime, car elle doit hĂ©riter avec vous de la grĂące de la vie. Agissez ainsi afin que rien ne fasse obstacle Ă  vos priĂšres. » 1 Pierre Dans ces versets, on voit que le rĂŽle du mari comme de la femme se caractĂ©rise par l’amour et le respect. À partir de lĂ , l’autoritĂ©, la direction, l’amour et la soumission ne poseront problĂšme Ă  aucun des deux conjoints. Pour ce qui est du partage des responsabilitĂ©s au sein du foyer, la Bible demande aux maris de pourvoir aux besoins de leurs familles. Cela implique qu’il travaille et gagne assez d’argent pour pourvoir Ă  tous les besoins de la vie quotidienne pour sa femme et ses enfants. Manquer Ă  cela a des consĂ©quences spirituelles claires Si quelqu’un ne prend pas soin des siens, et en particulier des membres de sa famille proche, il a reniĂ© la foi et il est pire qu’un non-croyant. »1 TimothĂ©e Un mari qui ne fait aucun effort pour pourvoir aux besoins de sa famille ne peut donc pas, en toute bonne conscience, se dire chrĂ©tien. Cela ne signifie pas dire que l’épouse ne puisse pas l’aider dans cette tĂąche Proverbes 31 montre qu’une femme de valeur le fera certainement ; toutefois, ce n’est pas sa premiĂšre responsabilitĂ©, mais celle de son mari. Si le mari doit aider sa femme Ă  s’occuper des enfants et participer aux tĂąches mĂ©nagĂšres conformĂ©ment Ă  son devoir d’aimer sa femme, Proverbes 31 dit clairement que le foyer est la principale sphĂšre d’influence et de responsabilitĂ© de la femme. MĂȘme si elle doit se coucher tard et se lever tĂŽt, elle s’occupe bien de sa famille. Vivre ainsi n’est pas facile pour beaucoup de femmes, surtout dans les pays occidentaux dĂ©veloppĂ©s. Beaucoup trop de femmes sont stressĂ©es et dĂ©bordĂ©es jusqu’à l’épuisement. Pour Ă©viter cela, les deux conjoints doivent réévaluer leurs prioritĂ©s dans la priĂšre et suivre les injonctions bibliques quant leurs rĂŽles respectifs. Les conflits concernant la rĂ©partition des tĂąches dans le mariage sont inĂ©vitables, mais si les deux conjoints sont soumis Ă  Christ, leur ampleur restera minime. Si les disputes Ă  ce sujet sont trop frĂ©quentes ou virulentes ou semblent caractĂ©riser une union, il s’agit d’un problĂšme d’ordre spirituel. Dans ce cas, les conjoints doivent se reconsacrer Ă  la priĂšre et Ă  la soumission, d’abord Ă  Christ, puis l’un Ă  l’autre, dans une attitude d’amour et de respect. English Retour Ă  la page d'accueil en français Quel est le rĂŽle du mari et de la femme au sein de la famille ?
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Lecuisinier peut ĂȘtre un homme ou une femme, cette fois c’est sans importance. C’est surtout une question d’avoir du talent, et le talent des cuisiniers, au XIXe siĂšcle, il est dĂ©jĂ  dans la gastronomie française : avoir chez soi un chef français, c’est la grande classe !
L’homme, chef » de la femme ? par Jean-Pierre BORY Paul Ă©crit en 1 Co avec une certaine fermetĂ© et le rĂ©pĂšte presque mot Ă  mot en Ep Je veux que vous sachiez que de tout homme, la tĂȘte kephalĂš c’est Christ, la tĂȘte de la femme c’est l’homme, la tĂȘte de Christ c’est Dieu ». Le triple usage de ce mot kephalĂš dans trois expressions parallĂšles d’une mĂȘme phrase oblige Ă  lui donner un sens proche, voire identique dans chaque cas. Certains auteurs ont voulu attĂ©nuer ce qui apparaĂźt ici comme une suprĂ©matie masculine sur la femme ; ils y ont vu une influence culturelle qui aurait marquĂ© la conception de l’auteur ; ils rapprochent le dĂ©but du v. 3 du v. 8 de 1 Co 11 en relevant qu’Adam est plutĂŽt la source » de la femme créée aprĂšs l’homme, et Ă  partir d’une cĂŽte de l’homme selon Gn Cependant, il est difficile d’enlever au mot kephalĂš un sens de primautĂ©, de prééminence dans les deux expressions suivantes de 1 Co l’homme n’est pas l’égal de Christ, fut-il croyant et enfant de Dieu ; et le Christ reconnaĂźt la prééminence du PĂšre par rapport Ă  lui-mĂȘme en tant que personne, mĂȘme s’il y a identitĂ© d’essence entre le PĂšre et le Fils Tu m’as envoyĂ© » Jn JĂ©sus a appris l’obĂ©issance bien qu’il fĂ»t Fils » HĂ© Dans ce dernier verset on a pensĂ© que ce n’était que dans sa nature humaine que JĂ©sus avait souffert et s’était soumis ; toutefois d’autres textes suggĂšrent que ce respect du Fils par rapport Ă  la volontĂ© du PĂšre prĂ©cĂšde de loin le temps de l’incarnation Jn ; ; ; Ep ; Dieu est celui qui a conçu le dessein du salut par l’envoi du Fils. Par ailleurs, dans le Nouveau Testament, le mot kephalĂš n’a jamais le sens de source hormis son emploi en 1 Co on le trouve dans 74 autres textes 58 fois avec le sens de tĂȘte, 11 fois de façon imagĂ©e il dĂ©signe le chef de l’armĂ©e, la tĂȘte de l’armĂ©e, et 5 fois encore il signale qu’une chose est principale par exemple en Luc la pierre principale de l’angle ». Il serait surprenant que kephalĂš ait une seule fois le sens de source dans 1 Co sans idĂ©e de primautĂ©, de prééminence. Comment comprendre alors cette primautĂ© de l’homme sur la femme ? La Bible met en Ă©vidence que les trois personnes de la trinitĂ© se prĂ©sentent dans un ordre », et non sur le mĂȘme rang. Nous voyons le PĂšre prendre des initiatives avant la fondation du monde » Ep Le PĂšre et Le Fils sont associĂ©s dans l’envoi du Saint-Esprit Jn Et mĂȘme dans la gloire retrouvĂ©e, le Fils lui-mĂȘme se placera sous l’autoritĂ© de celui qui lui a tout soumis » 1 Co On ne peut que reconnaĂźtre un ordre dans la trinitĂ© le PĂšre, puis le Fils, puis le Saint-Esprit, tout en affirmant la pleine Ă©galitĂ© de ces trois personnes, en essence, en puissance, en divinitĂ©, en gloire le Fils et le PĂšre sont unis intrinsĂšquement le PĂšre est en moi et je suis dans le PĂšre Jn ; tout ce que le PĂšre a est Ă  moi Jn La trinitĂ© reste un mystĂšre pour nous Ă  nos yeux, prééminence du PĂšre et unitĂ© d’essence du PĂšre et du Fils semblent faire paradoxe, pourtant les textes bibliques affirment ces deux vĂ©ritĂ©s. L’analogie faite par l’apĂŽtre Paul Ă  plusieurs reprises entre la relation qui existe Ă  l’intĂ©rieur du couple humain avec celle qui l’est dans la trinitĂ©, aide Ă  saisir les nuances difficiles Ă  exprimer dans nos mots lorsque nous voulons dĂ©crire cette relation Paul affirme dans le couple homme-femme comme dans la trinitĂ© une unitĂ© de nature, une Ă©galitĂ© de valeur et un ordre des personnes. C’est Ă  l’homme de prendre certaines initiatives en tant que tĂȘte» du couple, mais il se doit aussi d’imiter le Christ, tĂȘte de l’Eglise » qui a aimĂ© l’Eglise et a donnĂ© sa vie pour elle, qui s’est fait serviteur lui-mĂȘme des disciples dont il Ă©tait le maĂźtre, invitant les disciples Ă  l’imiter. Devant Dieu, homme et femme sont Ă©galement objets de son amour, ont Ă©galement accĂšs au salut et Ă  sa communion Ga cependant Dieu confĂšre Ă  l’homme des responsabilitĂ©s et une mission particuliĂšre vis-Ă -vis de son Ă©pouse, responsabilitĂ©s qu’il ne peut toutefois accomplir en dominant mais en aimant et en servant. Lesfemmes du Meghalaya craignent que leurs maris ne soient influencĂ©s par le statut dont les hommes jouissent dans les autres Etats, oĂč ils continuent Ă  jouer le rĂŽle de chef de famille. Les films commerciaux de Bombay ont Ă©galement un impact sur la population du Meghalaya, oĂč la situation est en train de changer lentement mais sĂ»rement en faveur des hommes. Mais, Chers frĂšres et sƓurs,Dans ma prĂ©cĂ©dente catĂ©chĂšse sur la famille, je me suis arrĂȘtĂ© sur le premier rĂ©cit de la crĂ©ation de l’ĂȘtre humain, qui se trouve dans le premier chapitre de la GenĂšse. Il est Ă©crit Dieu crĂ©a l’homme Ă  son image ; Ă  l’image de Dieu il le crĂ©a homme et femme il les crĂ©a » Gn 1, 27.Aujourd’hui je voudrais complĂ©ter la rĂ©flexion par le second rĂ©cit, qui se trouve dans le deuxiĂšme chapitre. On y lit que le Seigneur, aprĂšs avoir créé le ciel et la terre, modela l’homme avec la poussiĂšre tirĂ©e du sol ; il insuffla dans ses narines le souffle de vie, et l’homme devint un ĂȘtre vivant » Gn 2, 7. C’est le sommet de la crĂ©ation. Mais il manque quelque chose. Ensuite Dieu va mettre l’homme dans un jardin merveilleux pour qu’il le cultive et en prenne soin. Gn 2, 15.L’Esprit Saint, qui a inspirĂ© toute la Bible, Ă©voque un instant l’image de l’homme seul – Ă  qui il manque quelque chose –, sans la femme. Et il Ă©voque la pensĂ©e de Dieu, le sentiment, mĂȘme, de Dieu qui le regarde, qui observe Adam seul dans le jardin il est libre, il est le maĂźtre,
 mais il est seul. Et Dieu voit que ceci n’est pas bon » il y a comme un manque de communion. Il lui manque une communion. Il n’a pas atteint la plĂ©nitude. Ce n’est pas bon » – dit Dieu – et il ajoute Je veux lui faire une aide qui lui corresponde » Gn 2, 18.Alors Dieu prĂ©sente Ă  l’homme tous les animaux ; l’homme leur donne Ă  chacun un nom – et c’est une autre illustration de la domination de l’homme sur la crĂ©ation –, mais il ne trouve en aucun animal un autre semblable Ă  lui-mĂȘme. L’homme continue de vivre seul. Quand finalement Dieu lui prĂ©sente la femme, l’homme reconnaĂźt avec exaltation que cette crĂ©ature, et celle-lĂ  seulement, fait partie de lui-mĂȘme os de mes os, chair de ma chair » Gn 2, 23. Enfin il trouve son reflet, son Ă©quivalent. Un exemple pour bien comprendre cela quand une personne veut serrer la main Ă  une autre, il faut que celle-ci soit en face de lui si on tend la main sans personne face Ă  soi, la main reste lĂ , tendue
, il lui manque la rĂ©ciprocitĂ©. Ainsi Ă©tait l’homme il lui manquait quelque chose pour atteindre la plĂ©nitude. Il lui manquait la rĂ©ciprocitĂ©. La femme n’est pas une rĂ©plique de l’homme ; elle vient directement du geste crĂ©ateur de Dieu. L’image de la cĂŽte » n’exprime pas du tout l’infĂ©rioritĂ© ou la subordination, mais au contraire, que l’homme et la femme sont de la mĂȘme substance et sont complĂ©mentaires ; qu’ils ont aussi cette rĂ©ciprocitĂ©. Et le fait que – toujours dans le rĂ©cit – Dieu façonne la femme pendant que l’homme dort, souligne justement qu’elle n’est en aucun cas une crĂ©ature de l’homme, mais qu’elle est crĂ©ature de Dieu. Cela suggĂšre aussi autre chose pour trouver la femme – nous pouvons traduire pour trouver l’amour de la femme – l’homme doit d’abord en rĂȘver, puis il la confiance de Dieu Ă  l’égard de l’homme et de la femme, Ă  qui il confie la terre, est gĂ©nĂ©reuse, directe et entiĂšre. Il a toute confiance en eux. Mais voilĂ  que le Malin introduit suspicion, incrĂ©dulitĂ© et mĂ©fiance dans leur esprit. Et au bout du compte, ils dĂ©sobĂ©issent au commandement qui les protĂ©geait. Ils tombent dans ce dĂ©lire de toute-puissance qui infeste tout et dĂ©truit l’harmonie. Nous tous aussi, nous ressentons cela si souvent Ă  l’intĂ©rieur de pĂ©chĂ© provoque dĂ©fiance et division entre l’homme et la femme. Leurs rapports vont ĂȘtre menacĂ©s par mille formes d’abus de pouvoir et d’assujettissement, de sĂ©duction trompeuse et d’arrogance humiliante, allant jusqu’à des formes plus dramatiques et plus violentes. L’histoire en porte les traces. Nous pensons, par exemple, aux effets nĂ©gatifs des cultures patriarcales. Nous pensons aux multiples formes de machisme oĂč la femme Ă©tait considĂ©rĂ©e comme une personne de seconde classe. Nous pensons Ă  l’instrumentalisation et la marchandisation du corps fĂ©minin dans la culture mĂ©diatique actuelle. Mais nous pensons aussi Ă  la rĂ©cente Ă©pidĂ©mie de mĂ©fiance, de scepticisme, et jusqu’à l’hostilitĂ© qui se rĂ©pand dans notre culture – en particulier Ă  partir d’une mĂ©fiance comprĂ©hensible des femmes – Ă  l’égard d’une alliance entre l’homme et la femme qui puisse Ă  la fois faire grandir l’intimitĂ© de la communion et conserver la beautĂ© de la nous n’avons pas un sursaut de sympathie pour cette alliance, capable de mettre les nouvelles gĂ©nĂ©rations Ă  l’abri de la dĂ©fiance et de l’indiffĂ©rence, les enfants viendront au monde toujours plus dĂ©tachĂ©s de cette alliance, et ce dĂšs le sein maternel. La dĂ©valorisation sociale de l’alliance stable et fĂ©conde entre l’homme et la femme est certainement une perte pour tout le monde. Nous devons remettre Ă  l’honneur le mariage et la famille. La Bible dit une chose trĂšs belle l’homme trouve la femme, ils se rencontrent, mais l’homme doit laisser quelque chose pour trouver pleinement la femme. Pour cela, l’homme quittera son pĂšre et sa mĂšre pour aller avec elle. C’est beau ! Cela signifie qu’il entame un nouveau chemin. L’homme est tout pour la femme et la femme est tout pour l’ les conditions actuelles, la sauvegarde de cette alliance entre l’homme et la femme, mĂȘme pĂ©cheurs et blessĂ©s, dĂ©sorientĂ©s et humiliĂ©s, mĂ©fiants et incertains, est donc pour nous croyants une mission exigeante et passionnante. Le mĂȘme rĂ©cit de la crĂ©ation et du pĂ©chĂ© originel, dans sa conclusion, nous en donne une trĂšs belle illustration Le Seigneur Dieu fit Ă  l’homme et Ă  sa femme des tuniques de peau et les en revĂȘtit » Gn 3, 21. C’est une image de tendresse envers ce couple pĂ©cheur qui nous laisse sans voix la tendresse de Dieu pour l’homme et pour la femme ! C’est une image de la protection paternelle du couple humain. Dieu lui-mĂȘme prend soin de son chef-d’Ɠuvre et le protĂšge. .